Amar Saâdani n'a pas lésiné sur les mots en commentant les initiatives du groupe des 14 moudjahidine et du groupe des 19. Il a accusé le général à la retraite, Mohamed Mediène, dit Toufik, d'en être l'instigateur et l'auteur de leurs communiqués. Amar Saâdani n'a pas lésiné sur les mots en commentant les initiatives du groupe des 14 moudjahidine et du groupe des 19. Il a accusé le général à la retraite, Mohamed Mediène, dit Toufik, d'en être l'instigateur et l'auteur de leurs communiqués. Vous n'avez "qu'à payer un avocat à votre ami si vous voulez le défendre !", a lâché le secrétaire général du FLN. Le général Toufik est, selon lui, à la tête des anciens officiers de la France. Dans un discours au vitriol prononcé à l'ouverture de sa réunion avec les mouhafedh hier, Amar Saâdani a estimé que l'ancien patron du DRS est derrière Rachid Nekkaz qu'il pousse à se présenter à l'élection pour chahuter la campagne du président Bouteflika et qu'il envoie en France pour enquêter sur les biens des responsables. Ainsi le secrétaire général du FLN s'en est à nouveau pris à l'ancien patron du Département du renseignement et de la sécurité (ex-DRS), qu'il accuse d'être derrière l'initiative des personnalités historiques qui ont appelé à restituer le Front de libération nationale au peuple et à le libérer de la mainmise de ses dirigeants actuels. Après une absence de plusieurs mois, Amar Saïdani a consacré son intervention devant les cadres du parti, dont les ministres FLN, à une attaque en règle contre le général Toufik qu'il accuse d'être derrière les graves événements qui ont secoué la wilaya de Ghardaïa et qui avaient mis aux prises les communautés malékite et ibadite. Pour Amar Saadani, le général Toufik serait également le "mentor" de Rachid Nekkaz qu'il aurait "actionné pour perturber l'élection présidentielle d'avril 2014". Que cache cet acharnement du secrétaire général du FLN contre le général Toufik ? La réponse sera connue certainement dans quelques années. Le général Toufik aura-t-il le droit de répondre alors qu'une loi l'oblige au mutisme ? Parallèlement à ces attaques, Amar Saïdani n'a pas tari d'éloges à l'égard du président Bouteflika "sans qui les élèves n'auraient pas eu de chaises pour suivre leurs cours et les enseignants n'auraient pas pu enseigner". Vous n'avez "qu'à payer un avocat à votre ami si vous voulez le défendre !", a lâché le secrétaire général du FLN. Le général Toufik est, selon lui, à la tête des anciens officiers de la France. Dans un discours au vitriol prononcé à l'ouverture de sa réunion avec les mouhafedh hier, Amar Saâdani a estimé que l'ancien patron du DRS est derrière Rachid Nekkaz qu'il pousse à se présenter à l'élection pour chahuter la campagne du président Bouteflika et qu'il envoie en France pour enquêter sur les biens des responsables. Ainsi le secrétaire général du FLN s'en est à nouveau pris à l'ancien patron du Département du renseignement et de la sécurité (ex-DRS), qu'il accuse d'être derrière l'initiative des personnalités historiques qui ont appelé à restituer le Front de libération nationale au peuple et à le libérer de la mainmise de ses dirigeants actuels. Après une absence de plusieurs mois, Amar Saïdani a consacré son intervention devant les cadres du parti, dont les ministres FLN, à une attaque en règle contre le général Toufik qu'il accuse d'être derrière les graves événements qui ont secoué la wilaya de Ghardaïa et qui avaient mis aux prises les communautés malékite et ibadite. Pour Amar Saadani, le général Toufik serait également le "mentor" de Rachid Nekkaz qu'il aurait "actionné pour perturber l'élection présidentielle d'avril 2014". Que cache cet acharnement du secrétaire général du FLN contre le général Toufik ? La réponse sera connue certainement dans quelques années. Le général Toufik aura-t-il le droit de répondre alors qu'une loi l'oblige au mutisme ? Parallèlement à ces attaques, Amar Saïdani n'a pas tari d'éloges à l'égard du président Bouteflika "sans qui les élèves n'auraient pas eu de chaises pour suivre leurs cours et les enseignants n'auraient pas pu enseigner".