L'Algérie a été classée 111e sur 149 pays évalués par l'index de prospérité établi, ce vendredi 4 novembre, par le Legatum Institute, think tank indépendant au sein de la firme d'investissement Legatum group basé à Dubaï. L'Algérie a été classée 111e sur 149 pays évalués par l'index de prospérité établi, ce vendredi 4 novembre, par le Legatum Institute, think tank indépendant au sein de la firme d'investissement Legatum group basé à Dubaï. Cet indice de prospérité vise à évaluer le succès national et la prospérité en fonction non seulement de la richesse matérielle, mais aussi du bonheur quotidien et des perspectives d'avenir, selon l'institut. Neuf critères sont pris en compte dans ce classement : la qualité de l'économie, l'environnement des affaires, la gouvernance, l'éducation, la santé, la sécurité, la liberté personnelle, le capital social et l'environnement naturel. À la 111e place dans le classement global, l'Algérie perd 15 places par rapport à 2015, où elle était classée 96e. Suivant les critères posés par l'index, l'Algérie est 53e en matière de santé (63e en 2015), 60e pour la sécurité (82e en 2015), 75e pour l'environnement naturel (pas de données en 2015), 90e pour l'éducation (81e en 2015), 116e pour l'ouverture économique (50e en 2015) et 120e pour la gouvernance (102e en 2015). L'Algérie obtient la 131e place pour l'environnement des affaires (97e en 2015 dans l'ancienne catégorie « entrepreneuriat et opportunité »), la 136e pour la liberté personnelle (135e en 2015) et la 138e pour le capital social (105e en 2015). En tête du classement, on retrouve principalement des pays d'Europe occidentale, la première place étant toutefois occupée par la Nouvelle Zélande, suivi de la Norvège et de la Finlande. Le Royaume-Uni est 10e, la France 18e et les Etats-Unis 17e. Du côté du Maghreb, le Maroc est 101e et la Tunisie 93e. En bas du classement, on trouve principalement des pays africains et les pays en proie aux conflits au Moyen-Orient, parmi lesquels le Nigéria, la Libye, l'Irak, le Soudan, la République centrafricaine, l'Afghanistan et le Yémen. Cet indice de prospérité vise à évaluer le succès national et la prospérité en fonction non seulement de la richesse matérielle, mais aussi du bonheur quotidien et des perspectives d'avenir, selon l'institut. Neuf critères sont pris en compte dans ce classement : la qualité de l'économie, l'environnement des affaires, la gouvernance, l'éducation, la santé, la sécurité, la liberté personnelle, le capital social et l'environnement naturel. À la 111e place dans le classement global, l'Algérie perd 15 places par rapport à 2015, où elle était classée 96e. Suivant les critères posés par l'index, l'Algérie est 53e en matière de santé (63e en 2015), 60e pour la sécurité (82e en 2015), 75e pour l'environnement naturel (pas de données en 2015), 90e pour l'éducation (81e en 2015), 116e pour l'ouverture économique (50e en 2015) et 120e pour la gouvernance (102e en 2015). L'Algérie obtient la 131e place pour l'environnement des affaires (97e en 2015 dans l'ancienne catégorie « entrepreneuriat et opportunité »), la 136e pour la liberté personnelle (135e en 2015) et la 138e pour le capital social (105e en 2015). En tête du classement, on retrouve principalement des pays d'Europe occidentale, la première place étant toutefois occupée par la Nouvelle Zélande, suivi de la Norvège et de la Finlande. Le Royaume-Uni est 10e, la France 18e et les Etats-Unis 17e. Du côté du Maghreb, le Maroc est 101e et la Tunisie 93e. En bas du classement, on trouve principalement des pays africains et les pays en proie aux conflits au Moyen-Orient, parmi lesquels le Nigéria, la Libye, l'Irak, le Soudan, la République centrafricaine, l'Afghanistan et le Yémen.