Le limogeage des entraîneurs au sein des clubs algériens semble être l'unique alternative aux yeux des responsables pour faire face à la pression des supporters, alors que le championnat n'en est qu'à sa 10e journée de compétition. Le limogeage des entraîneurs au sein des clubs algériens semble être l'unique alternative aux yeux des responsables pour faire face à la pression des supporters, alors que le championnat n'en est qu'à sa 10e journée de compétition. Jamais de mémoire de puriste, une première phase de championnat n'a été marquée par un pareil nombre de changement dans les staffs techniques. Malgré la décision prise par la Ligue de football professionnel (LFP), en limitant le nombre de licence à deux pour les entraîneurs durant une saison, la valse a atteint un seuil très élevé cette fois-ci. L'USM Alger, qui n'est autre que l'actuel leader du championnat national de Ligue 1 Mobilis, a changé trois fois de staff technique. Adel Amrouche, qui n'a assuré que la préparation d'intersaison, a cédé sa place au technicien français Jean-Michel Cavalli. Ce dernier, signalons-le, n'a pas fait l'unanimité chez les inconditionnels des Rouge et Noir. Il voulait rester encore à l'USM Alger, Cavalli a été remercié juste après la défaite contre le CA Batna. Ce fut la goutte qui a fait déborder le vase. Les responsables de la formation phare de Soustara ont choisi cette fois-ci la piste belge. Le technicien Paul Put succède à Cavalli à la tête de la barre technique des Rouge et Noir. "J'éspere que Paul Put apportera le plus attendu de lui'', a indiqué le premier responsable du club Rebouh Haddad. Autrement dit, même les clubs qui dominent le championnat n'y ont pas échappé. La JS Kabylie, qui voulait prôner la stabilité cette saison, a vécu un début de saison délicat. Et puisque c'est l'entraîneur qui paye toujours les conséquences, Kamel Mouassa quitte le club en raison des résultats qui ne suivaient pas. Cet entraîneur qui a, pourtant, offert une honorable troisième place à la JS Kabylie cède sa place au technicien tunisien, Sofiene Hidoussi. Idem pour le MC Alger qui s'est séparé à l'amiable de son entraîneur Djamel Menad. Ce dernier n'a pas pu trouver la solution adéquate. Le président de la vieille formation algéroise n'a pas hésité pour accepter la démission de l'entraineur Menad. Une chose est sûre, le premier responsable du club Omar Ghrib n'état pas totalement satisfait du travail de l'entraineur Djamel Menad. Ce dernier a été remplacé par Kamel Mouassa qui va gérer le club jusqu'à la fin de la saison. Le CR Belouizdad qui a débuté la saison avec l'entraîneur, Fouad Bouali, l'a limogé après deux journées seulement de compétition, en rappelant le technicien français, Alain Michel. Mais celui-là n'a pas supporté les changements effectués dans l'effectif et quitte le club après sept journées seulement. Le NA Hussein Dey connu pourtant pour sa stabilité, s'est séparé de son "fidèle'' entraîneur Youcef Bouzidi. L'entraîneur français, Alain Michel, a été appelé la rescousse. Le CS Constantine a connu tout un feuilleton cette saison. En effet, après le limogeage de l'entraineur portugais Didier Gomez, plusieurs autres entraineurs ont été sollicités mais sans pour autant trouver un accord en raison des exigences financières de certains d'entre eux. Plusieurs autres entraineurs sont sur des chaises éjectables, à commencer par Liamine Bougherrara du DRB Tadjenanet qui a annoncé son départ à maintes reprises, Cherif Louzani de l'USM Bel Abbès, Nacer Sandjak du MO Béjaïa, Abdelkader Amrani de l'ES Sétif. Ces techniciens peuvent à tout moment rendre le tablier. Tout indique donc que l'on se dirige droit vers un autre record en termes de changement de staffs techniques. Si une relative accalmie a été enregistrée la saison dernière concernant la valse des entraîneurs, cette saison pourra battre tous les records puisque tous les clubs peuvent être secoués par ce phénomène. Jamais de mémoire de puriste, une première phase de championnat n'a été marquée par un pareil nombre de changement dans les staffs techniques. Malgré la décision prise par la Ligue de football professionnel (LFP), en limitant le nombre de licence à deux pour les entraîneurs durant une saison, la valse a atteint un seuil très élevé cette fois-ci. L'USM Alger, qui n'est autre que l'actuel leader du championnat national de Ligue 1 Mobilis, a changé trois fois de staff technique. Adel Amrouche, qui n'a assuré que la préparation d'intersaison, a cédé sa place au technicien français Jean-Michel Cavalli. Ce dernier, signalons-le, n'a pas fait l'unanimité chez les inconditionnels des Rouge et Noir. Il voulait rester encore à l'USM Alger, Cavalli a été remercié juste après la défaite contre le CA Batna. Ce fut la goutte qui a fait déborder le vase. Les responsables de la formation phare de Soustara ont choisi cette fois-ci la piste belge. Le technicien Paul Put succède à Cavalli à la tête de la barre technique des Rouge et Noir. "J'éspere que Paul Put apportera le plus attendu de lui'', a indiqué le premier responsable du club Rebouh Haddad. Autrement dit, même les clubs qui dominent le championnat n'y ont pas échappé. La JS Kabylie, qui voulait prôner la stabilité cette saison, a vécu un début de saison délicat. Et puisque c'est l'entraîneur qui paye toujours les conséquences, Kamel Mouassa quitte le club en raison des résultats qui ne suivaient pas. Cet entraîneur qui a, pourtant, offert une honorable troisième place à la JS Kabylie cède sa place au technicien tunisien, Sofiene Hidoussi. Idem pour le MC Alger qui s'est séparé à l'amiable de son entraîneur Djamel Menad. Ce dernier n'a pas pu trouver la solution adéquate. Le président de la vieille formation algéroise n'a pas hésité pour accepter la démission de l'entraineur Menad. Une chose est sûre, le premier responsable du club Omar Ghrib n'état pas totalement satisfait du travail de l'entraineur Djamel Menad. Ce dernier a été remplacé par Kamel Mouassa qui va gérer le club jusqu'à la fin de la saison. Le CR Belouizdad qui a débuté la saison avec l'entraîneur, Fouad Bouali, l'a limogé après deux journées seulement de compétition, en rappelant le technicien français, Alain Michel. Mais celui-là n'a pas supporté les changements effectués dans l'effectif et quitte le club après sept journées seulement. Le NA Hussein Dey connu pourtant pour sa stabilité, s'est séparé de son "fidèle'' entraîneur Youcef Bouzidi. L'entraîneur français, Alain Michel, a été appelé la rescousse. Le CS Constantine a connu tout un feuilleton cette saison. En effet, après le limogeage de l'entraineur portugais Didier Gomez, plusieurs autres entraineurs ont été sollicités mais sans pour autant trouver un accord en raison des exigences financières de certains d'entre eux. Plusieurs autres entraineurs sont sur des chaises éjectables, à commencer par Liamine Bougherrara du DRB Tadjenanet qui a annoncé son départ à maintes reprises, Cherif Louzani de l'USM Bel Abbès, Nacer Sandjak du MO Béjaïa, Abdelkader Amrani de l'ES Sétif. Ces techniciens peuvent à tout moment rendre le tablier. Tout indique donc que l'on se dirige droit vers un autre record en termes de changement de staffs techniques. Si une relative accalmie a été enregistrée la saison dernière concernant la valse des entraîneurs, cette saison pourra battre tous les records puisque tous les clubs peuvent être secoués par ce phénomène.