Des projets à fort potentiel économique, à l'exemple de l'autoroute des Hauts-Plateaux, dont les travaux ont été différés en raison de la crise financière, pourraient s'en trouver relancés grâce à des financements extérieurs ou émanant du privé algérien. Des projets à fort potentiel économique, à l'exemple de l'autoroute des Hauts-Plateaux, dont les travaux ont été différés en raison de la crise financière, pourraient s'en trouver relancés grâce à des financements extérieurs ou émanant du privé algérien. S'exprimant, hier, à l'émission L'invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, le ministre des Transports et des Travaux publics cite, à ce propos, le Port Centre, destiné à devenir la plus grande infrastructure maritime en Afrique et en Méditerranée, "premier projet indique-t-il, à faire l'objet d'un financement extérieur". Les travaux du port, connecté au réseau routier du continent africain, débuteront, assure Boudjemâ Talai, durant le premier trimestre de 2017, et la réception et la mise en exploitation de la première tranche commencera en 2021. Pour ce qui concerne l'autoroute Est- Ouest, dont il précise que les derniers 84 km à réaliser, entre Constantine et Skikda, vont s'étaler sur une année et demie, le ministre déclare que le système de péage n'est pas encore à l'ordre du jour, les infrastructures d'accompagnement n'étant pas toutes terminées. A propos du transport maritime de marchandises, entre l'Algérie et le reste du monde, dont environ 97 % est assuré par des navires étrangers, "la vraie solution", pour en augmenter les capacités, réside, selon le ministre, dans le partenariat avec des pavillons étrangers. S'il fait, par ailleurs, état d'une législation offrant la possibilité à des opérateurs privés algériens de s'investir dans la création d'entreprises maritimes, le ministre repousse d'un revers de main l'idée de leur permettre de créer des sociétés de transport aérien. "La question, dit-il n'est pas posée". Commentant, d'autre part, les travaux en cours tendant à développer le réseau ferroviaire, l'invité signale, qu'à terme, celui s'étalera sur quelque 12.000 km, dont une large partie sera électrifiée. S'exprimant, hier, à l'émission L'invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, le ministre des Transports et des Travaux publics cite, à ce propos, le Port Centre, destiné à devenir la plus grande infrastructure maritime en Afrique et en Méditerranée, "premier projet indique-t-il, à faire l'objet d'un financement extérieur". Les travaux du port, connecté au réseau routier du continent africain, débuteront, assure Boudjemâ Talai, durant le premier trimestre de 2017, et la réception et la mise en exploitation de la première tranche commencera en 2021. Pour ce qui concerne l'autoroute Est- Ouest, dont il précise que les derniers 84 km à réaliser, entre Constantine et Skikda, vont s'étaler sur une année et demie, le ministre déclare que le système de péage n'est pas encore à l'ordre du jour, les infrastructures d'accompagnement n'étant pas toutes terminées. A propos du transport maritime de marchandises, entre l'Algérie et le reste du monde, dont environ 97 % est assuré par des navires étrangers, "la vraie solution", pour en augmenter les capacités, réside, selon le ministre, dans le partenariat avec des pavillons étrangers. S'il fait, par ailleurs, état d'une législation offrant la possibilité à des opérateurs privés algériens de s'investir dans la création d'entreprises maritimes, le ministre repousse d'un revers de main l'idée de leur permettre de créer des sociétés de transport aérien. "La question, dit-il n'est pas posée". Commentant, d'autre part, les travaux en cours tendant à développer le réseau ferroviaire, l'invité signale, qu'à terme, celui s'étalera sur quelque 12.000 km, dont une large partie sera électrifiée.