Trois constructeurs japonais sont intéressés par l'implantation d'usines de fabrication de véhicules et camions en Algérie, et deux d'entre eux ont déjà entrepris les démarches pour la concrétisation de leurs projets, a indiqué à Alger, l'ambassadeur du Japon en Algérie, Masaya Fujiwara. Trois constructeurs japonais sont intéressés par l'implantation d'usines de fabrication de véhicules et camions en Algérie, et deux d'entre eux ont déjà entrepris les démarches pour la concrétisation de leurs projets, a indiqué à Alger, l'ambassadeur du Japon en Algérie, Masaya Fujiwara. "Le Japon est beaucoup intéressé par l'investissement en Algérie dans différents domaines d'activités. On y travaille, et il y a de bons signes d'ailleurs, car nous avons déjà des constructeurs automobiles comme Nissan et Suzuki qui ont des projets d'usines de montage de véhicules en Algérie et n'attendent que le feu vert des autorités algériennes pour les concrétiser", a souligné M. Fujiwara. Il s'exprimait lors d'une conférence de presse conjointe avec le président du Club d'affaires algéro-japonais, Mustapha Mekideche à l'issue de la deuxième réunion de ce club à laquelle une trentaine d'hommes d'affaires et représentants d'institutions économiques algériennes ont pris part en compagnie d'une dizaine de leurs homologues japonais. Espérant la concrétisation de ces projets "très prochainement", l'ambassadeur a également révélé que le constructeur nippon Toyota est également intéressé par la réalisation d'une usine de montage en Algérie à travers sa filiale Hino Motors, spécialisée dans la construction des camions et des bus. En plus de contribuer à la création de richesses et d'emplois, ces projets permettraient, selon lui, de saisir ensemble "beaucoup d'opportunités existantes dans différents domaines pour développer nos relations économiques". Estimant que les relations économiques entre l'Algérie et son pays "ne sont pas à la hauteur" des potentialités existantes, M. Fujiwara a indiqué qu'un nouvel accord entre le ministère algérien des Affaires étrangères et son homologue japonais "est en phase de finalisation", pour la création d'une commission mixte entre les deux pays avec l'objectif de hisser le partenariat économique bilatéral. Selon lui, la commission devrait tenir sa première réunion au courant du premier trimestre 2017. Pour l'ambassadeur, l'Algérie est le troisième partenaire commercial du Japon en Afrique, alors que le Japon est le 15e client de l'Algérie dans le monde. M. Fujiwara, dont le pays prévoit des investissements à hauteur de 30 milliards de dollars en Afrique sur les trois prochaines années, notamment dans les infrastructures et la formation, a souhaité que "ces engagements soient bien appliqués en Algérie", notant que l'environnement est "très favorable" pour lancer une coopération économique forte. "Le Japon est beaucoup intéressé par l'investissement en Algérie dans différents domaines d'activités. On y travaille, et il y a de bons signes d'ailleurs, car nous avons déjà des constructeurs automobiles comme Nissan et Suzuki qui ont des projets d'usines de montage de véhicules en Algérie et n'attendent que le feu vert des autorités algériennes pour les concrétiser", a souligné M. Fujiwara. Il s'exprimait lors d'une conférence de presse conjointe avec le président du Club d'affaires algéro-japonais, Mustapha Mekideche à l'issue de la deuxième réunion de ce club à laquelle une trentaine d'hommes d'affaires et représentants d'institutions économiques algériennes ont pris part en compagnie d'une dizaine de leurs homologues japonais. Espérant la concrétisation de ces projets "très prochainement", l'ambassadeur a également révélé que le constructeur nippon Toyota est également intéressé par la réalisation d'une usine de montage en Algérie à travers sa filiale Hino Motors, spécialisée dans la construction des camions et des bus. En plus de contribuer à la création de richesses et d'emplois, ces projets permettraient, selon lui, de saisir ensemble "beaucoup d'opportunités existantes dans différents domaines pour développer nos relations économiques". Estimant que les relations économiques entre l'Algérie et son pays "ne sont pas à la hauteur" des potentialités existantes, M. Fujiwara a indiqué qu'un nouvel accord entre le ministère algérien des Affaires étrangères et son homologue japonais "est en phase de finalisation", pour la création d'une commission mixte entre les deux pays avec l'objectif de hisser le partenariat économique bilatéral. Selon lui, la commission devrait tenir sa première réunion au courant du premier trimestre 2017. Pour l'ambassadeur, l'Algérie est le troisième partenaire commercial du Japon en Afrique, alors que le Japon est le 15e client de l'Algérie dans le monde. M. Fujiwara, dont le pays prévoit des investissements à hauteur de 30 milliards de dollars en Afrique sur les trois prochaines années, notamment dans les infrastructures et la formation, a souhaité que "ces engagements soient bien appliqués en Algérie", notant que l'environnement est "très favorable" pour lancer une coopération économique forte.