La ministre a rappelé qu'il est fait obligation au candidat dans la convocation du baccalauréat de "se présenter une demi-heure avant le début des épreuves" et qu'il est averti que "tout retard le privera de passer l'examen et l'exposera à l'exclusion définitive". La ministre a rappelé qu'il est fait obligation au candidat dans la convocation du baccalauréat de "se présenter une demi-heure avant le début des épreuves" et qu'il est averti que "tout retard le privera de passer l'examen et l'exposera à l'exclusion définitive". La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a déclaré avanthier à Alger que la fermeté observée par le ministère à l'égard des retardataires lors des épreuves du Baccalauréat "vise à consacrer le principe de l'égalité des chances et à éviter la fraude". "Priver un candidat retardataire de passer l'examen du Baccalauréat n'a pas pour but essentiel son exclusion mais appliquer le principe de l'égalité des chances (...) et éviter la fraude", a expliqué Mme Benghebrit lors d'une séance plénière de l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales. En réponse à une question sur la nécessité de rendre justice aux candidats exclus de l'examen du Baccalauréat en 2016 pour trois minutes de retard, la ministre a affirmé que ces propos "ne sont pas vrais" et que les concernés "étaient en retard de plus d'une demi heure" soulignant que l'entrée aux centres d'examen est prévue 30 minutes avant le début des épreuves. La ministre a rappelé qu'il est fait obligation au candidat dans la convocation du baccalauréat de "se présenter une demiheure avant le début des épreuves" et qu'il est averti que "tout retard le privera de passer l'examen et l'exposera à l'exclusion définitive". Cette obligation vise à permettre au candidat d'avoir "une préparation psychologique" et de bénéficier des orientations des enseignants surveillants. L'ouverture des plis des sujets se fait à 8h30 après quoi aucun candidat n'est autorisé à accéder au centre d'examen. Cette interdiction a pour objectif également de contrecarrer toute tentative de fraude par l'envoi des sujets à l'extérieur via les nouvelles technologies, ce qui constitue une atteinte à la crédibilité de l'examen et au principe d'équité et de mérite. Mettant l'accent sur l'importance de campagnes d'information et de sensibilisation pour amener les élèves au respect des horaires, la ministre a appelé à l'introduction de cette valeur dans les cours d'éducation civile. 15 milliards DA dédiés à l'entretien des écoles et des cantines scolaires en 2016 De son côté, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a annoncé avant-hier à Alger, que le Fonds de solidarité des collectivités locales a alloué un montant de 15,25 milliards DA en 2016 à l'entretien des écoles primaires et la prise en charge des cantines scolaires. Le fonds de solidarité des collectivités locales a alloué 15,25 milliards DA en 2016 à l'entretien des écoles primaires et la prise en charge des cantines scolaires, a indiqué Bedoui qui répondait à une question d'un membre de l'Assemblée populaire nationale, Mohamed Fodhil, lors d'une plénière consacrée aux questions orales sur la prise en charge des écoles primaires par les communes, avant de rappeler qu'un budget de 136,6 milliards DA avait été consacré entre 2007 et 2015 à cet effet. Il a affirmé que le Fonds a dédié en 2016 une enveloppe financière de 6 milliards DA au transport scolaire, soulignant que le parc des communes à travers le territoire national comptait 7.414 bus réservés au transport scolaire dont 2.166 bus exploités par des privés en vertu d'une convention avec les communes à raison de 5 bus pour chaque commune. Il a précisé également que la réalisation et l'entretien des établissements scolaires et la prise encharge du transport scolaire et la restauration rentraient dans les prérogatives des communes en vertu d'un décret exécutif numéro 16-266. Concernant le rôle des services de Daïras après transfert de leurs prestations aux communes, il a relevé que le chef de daïra "contribue aux cotés du wali à l'animation et au contrôle des activités de la commune, à l'application des décisions du gouvernement et à l'accompagnement des programmes de développement". Il a ajouté enfin, que le programme initié par le ministère pour la promotion de la structure publique "est ambitieux et s'inspire de la feuille de route arrêtée par le président de la République pour mettre fin à la bureaucratie". Un programme qui "a enregistré un saut qualitatif à la faveur de l'utilisation des technologies modernes", a-t-il conclu. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a déclaré avanthier à Alger que la fermeté observée par le ministère à l'égard des retardataires lors des épreuves du Baccalauréat "vise à consacrer le principe de l'égalité des chances et à éviter la fraude". "Priver un candidat retardataire de passer l'examen du Baccalauréat n'a pas pour but essentiel son exclusion mais appliquer le principe de l'égalité des chances (...) et éviter la fraude", a expliqué Mme Benghebrit lors d'une séance plénière de l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales. En réponse à une question sur la nécessité de rendre justice aux candidats exclus de l'examen du Baccalauréat en 2016 pour trois minutes de retard, la ministre a affirmé que ces propos "ne sont pas vrais" et que les concernés "étaient en retard de plus d'une demi heure" soulignant que l'entrée aux centres d'examen est prévue 30 minutes avant le début des épreuves. La ministre a rappelé qu'il est fait obligation au candidat dans la convocation du baccalauréat de "se présenter une demiheure avant le début des épreuves" et qu'il est averti que "tout retard le privera de passer l'examen et l'exposera à l'exclusion définitive". Cette obligation vise à permettre au candidat d'avoir "une préparation psychologique" et de bénéficier des orientations des enseignants surveillants. L'ouverture des plis des sujets se fait à 8h30 après quoi aucun candidat n'est autorisé à accéder au centre d'examen. Cette interdiction a pour objectif également de contrecarrer toute tentative de fraude par l'envoi des sujets à l'extérieur via les nouvelles technologies, ce qui constitue une atteinte à la crédibilité de l'examen et au principe d'équité et de mérite. Mettant l'accent sur l'importance de campagnes d'information et de sensibilisation pour amener les élèves au respect des horaires, la ministre a appelé à l'introduction de cette valeur dans les cours d'éducation civile. 15 milliards DA dédiés à l'entretien des écoles et des cantines scolaires en 2016 De son côté, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a annoncé avant-hier à Alger, que le Fonds de solidarité des collectivités locales a alloué un montant de 15,25 milliards DA en 2016 à l'entretien des écoles primaires et la prise en charge des cantines scolaires. Le fonds de solidarité des collectivités locales a alloué 15,25 milliards DA en 2016 à l'entretien des écoles primaires et la prise en charge des cantines scolaires, a indiqué Bedoui qui répondait à une question d'un membre de l'Assemblée populaire nationale, Mohamed Fodhil, lors d'une plénière consacrée aux questions orales sur la prise en charge des écoles primaires par les communes, avant de rappeler qu'un budget de 136,6 milliards DA avait été consacré entre 2007 et 2015 à cet effet. Il a affirmé que le Fonds a dédié en 2016 une enveloppe financière de 6 milliards DA au transport scolaire, soulignant que le parc des communes à travers le territoire national comptait 7.414 bus réservés au transport scolaire dont 2.166 bus exploités par des privés en vertu d'une convention avec les communes à raison de 5 bus pour chaque commune. Il a précisé également que la réalisation et l'entretien des établissements scolaires et la prise encharge du transport scolaire et la restauration rentraient dans les prérogatives des communes en vertu d'un décret exécutif numéro 16-266. Concernant le rôle des services de Daïras après transfert de leurs prestations aux communes, il a relevé que le chef de daïra "contribue aux cotés du wali à l'animation et au contrôle des activités de la commune, à l'application des décisions du gouvernement et à l'accompagnement des programmes de développement". Il a ajouté enfin, que le programme initié par le ministère pour la promotion de la structure publique "est ambitieux et s'inspire de la feuille de route arrêtée par le président de la République pour mettre fin à la bureaucratie". Un programme qui "a enregistré un saut qualitatif à la faveur de l'utilisation des technologies modernes", a-t-il conclu.