Les participants au 1er Colloque sur le "Dr Abou El-Kacem Sâadallahà sa vie et ses oeuvres", tenu samedi à El-Oued, ont appelé à la création d'une fondation pour l'histoire et la pensée du défunt. A cette occasion, le président du Haut Conseil à la langue arabe, Salah Belaid, a affirmé que la future fondation aura pour mission prioritaire la mise en valeur du legs culturel et intellectuel et des contributions du défunt Dr Abdou El-Kacem Sâadallah dans les domaines de l'histoire, la littérature et la poésie. Les participants au 1er Colloque sur le "Dr Abou El-Kacem Sâadallahà sa vie et ses oeuvres", tenu samedi à El-Oued, ont appelé à la création d'une fondation pour l'histoire et la pensée du défunt. A cette occasion, le président du Haut Conseil à la langue arabe, Salah Belaid, a affirmé que la future fondation aura pour mission prioritaire la mise en valeur du legs culturel et intellectuel et des contributions du défunt Dr Abdou El-Kacem Sâadallah dans les domaines de l'histoire, la littérature et la poésie. Les participants à cette conférence qui a eu pour cadre le centre culturel de la ville de Guemar, ont évoqué, par ailleurs, le rôle grandiose du défunt dans l'écriture de l'Histoire de la glorieuse guerre de Libération nationale, d'une part, et la fondation d'une méthode ancrée dans la recherche scientifique, d'autre part. Le Dr Mohamed Saïd Aguieb, de l'Université d'El-Oued, a dans son intervention, indiqué que "l'homme de lettre historien", comme nommé par ses pairs dans le monde arabe, est l'une des figures ayant contribué à l'écriture de l'Histoire de l'Algérie et ce à travers son livre le mouvement national algérien et d'autres ouvrages servant de références académiques par excellence. Pour sa part, le docteur Abderrahmane Torki, de l'université d'El-Oued, a relevé que le défunt Abou El-Kacem Saâdallah a enrichi la bibliothèque algérienne d'un précieux référent historique. Les participants ont, au terme de cette conférence d'une journée, initiée par la bibliothèque principale d'El-Oued, témoigné unanimement que le défunt était l'une des éminentes personnalités de la réforme sociale et religieuse, aussi bien en Algérie qu'au monde arabe. Né à Guemar, le 1er juillet 1930, le défunt a commencé ses études à la Zitouna (Tunisie), entre 1947 et 1954. Il étudia le Coran, la religion, la langue arabe et le Fikh. Docteur Abou El-Kacem Sâadallah publia ses premiers écrits dans la revue El- Bassaïr, organe de l'Association des oulémas musulmans algériens. Il obtient un diplôme de magister en 1962 au caire et un doctorat en histoire moderne et contemporaine en 1965 à l'université du Minnesota. Il maîtrisait plusieurs langues outre l'arabe. Les participants à cette conférence qui a eu pour cadre le centre culturel de la ville de Guemar, ont évoqué, par ailleurs, le rôle grandiose du défunt dans l'écriture de l'Histoire de la glorieuse guerre de Libération nationale, d'une part, et la fondation d'une méthode ancrée dans la recherche scientifique, d'autre part. Le Dr Mohamed Saïd Aguieb, de l'Université d'El-Oued, a dans son intervention, indiqué que "l'homme de lettre historien", comme nommé par ses pairs dans le monde arabe, est l'une des figures ayant contribué à l'écriture de l'Histoire de l'Algérie et ce à travers son livre le mouvement national algérien et d'autres ouvrages servant de références académiques par excellence. Pour sa part, le docteur Abderrahmane Torki, de l'université d'El-Oued, a relevé que le défunt Abou El-Kacem Saâdallah a enrichi la bibliothèque algérienne d'un précieux référent historique. Les participants ont, au terme de cette conférence d'une journée, initiée par la bibliothèque principale d'El-Oued, témoigné unanimement que le défunt était l'une des éminentes personnalités de la réforme sociale et religieuse, aussi bien en Algérie qu'au monde arabe. Né à Guemar, le 1er juillet 1930, le défunt a commencé ses études à la Zitouna (Tunisie), entre 1947 et 1954. Il étudia le Coran, la religion, la langue arabe et le Fikh. Docteur Abou El-Kacem Sâadallah publia ses premiers écrits dans la revue El- Bassaïr, organe de l'Association des oulémas musulmans algériens. Il obtient un diplôme de magister en 1962 au caire et un doctorat en histoire moderne et contemporaine en 1965 à l'université du Minnesota. Il maîtrisait plusieurs langues outre l'arabe.