Les négociations bilatérales entre les dirigeants des parties grecque et turque de Chypre se sont achevées mercredi 11 janvier à Genève. Les négociations bilatérales entre les dirigeants des parties grecque et turque de Chypre se sont achevées mercredi 11 janvier à Genève. Elles sont suivies ce 12 janvier d'une conférence réunissant les dirigeants chypriotes, les trois Etats garants de la sécurité de Chypre (la Turquie, la Grèce et le Royaume-Uni), ainsi que le secrétaire général de l'Onu et le président de la Commission européenne. Pour la première fois depuis la division de Chypre il y a 42 ans, les cartes d'un futur Etat fédéral ont été échangées mercredi soir à Genève entre délégations grecque et turque. L'échange a eu lieu à huis clos, en présence de seulement cinq personnes. Le médiateur de l'Onu, le Norvégien Espen Barth Eide, a qualifié le moment d'"historique". Il a toutefois précisé que les documents échangés seront déposés dans un coffre de l'Onu et ne seront pas rendus publics "en raison de l'extrême sensibilité de la question". Selon le médiateur, "toutes les questions" ont été abordées depuis le début des négociations lundi 9 janvier, surtout "les plus difficiles" : la gouvernance du futur Etat, la sécurité des deux entités, les propriétés spoliées et bien sûr le découpage territorial. Espen Barth Eide a également affirmé que le futur Etat chypriote serait membre de l'Union européenne. Elles sont suivies ce 12 janvier d'une conférence réunissant les dirigeants chypriotes, les trois Etats garants de la sécurité de Chypre (la Turquie, la Grèce et le Royaume-Uni), ainsi que le secrétaire général de l'Onu et le président de la Commission européenne. Pour la première fois depuis la division de Chypre il y a 42 ans, les cartes d'un futur Etat fédéral ont été échangées mercredi soir à Genève entre délégations grecque et turque. L'échange a eu lieu à huis clos, en présence de seulement cinq personnes. Le médiateur de l'Onu, le Norvégien Espen Barth Eide, a qualifié le moment d'"historique". Il a toutefois précisé que les documents échangés seront déposés dans un coffre de l'Onu et ne seront pas rendus publics "en raison de l'extrême sensibilité de la question". Selon le médiateur, "toutes les questions" ont été abordées depuis le début des négociations lundi 9 janvier, surtout "les plus difficiles" : la gouvernance du futur Etat, la sécurité des deux entités, les propriétés spoliées et bien sûr le découpage territorial. Espen Barth Eide a également affirmé que le futur Etat chypriote serait membre de l'Union européenne.