L'opération de dépôt des dossiers de candidature aux prochaines élections législatives de 2017 débutera demain au niveau du parti du Front de libération nationale (FLN) pour s'étendre jusqu'au 30 janvier, tandis que la confirmation des candidatures se fera entre le 7 et le 27 février prochain. L'opération de dépôt des dossiers de candidature aux prochaines élections législatives de 2017 débutera demain au niveau du parti du Front de libération nationale (FLN) pour s'étendre jusqu'au 30 janvier, tandis que la confirmation des candidatures se fera entre le 7 et le 27 février prochain. Les mouhafadhate et les kasmate du FLN au niveau national ont été destinataires d'une instruction qui servira de "feuille de route pour les commissions de wilaya préparatoires des élections législatives". Cette instruction porte sur les différents mécanismes qui permettront au parti de préserver sa place de leader sur la scène politique en "plaçant l'intérêt du parti au dessus de toute considération". En vue de relever le défi des prochaines échéances et conforter sa place sur la scène politique, une stratégie a été mise en place en prévision de ces échéances portant sur les critères devant être remplis par les futurs candidats dont le "soutien au président de la République, président du parti, et à son programme". Les candidats doivent également répondre aux critères de compétence, d'expérience, de bonne réputation et d'intégrité outre la crédibilité, selon l'instruction. La commission de wilaya préparatoire des élections législatives est composée des membres du comité central, des deux chambres du Parlement, des bureaux des commissions transitoires et des présidents des assemblées de wilaya. Elle est également composée de sous-commissions dont la commission de mobilisation matérielle et de logistique, la commission de la campagne électorale, celle des contentieux et la commission de suivi des candidatures. En vertu de cette instruction, les membres de ladite commission n'ont pas le droit de se porter candidats aux élections. Il est également préconisé d'élaborer les listes nominales des candidats "sans tenir compte de l'ordre de classement" et qui seront envoyées, en dernière étape, au secrétariat général qui tranchera selon les critères fixés outre les conditions fixées par la loi. Les mêmes dispositifs sont adoptés pour la communauté nationale résidant à l'étranger. L'opération devrait s'achever 70 jours avant la date du scrutin. Dans une déclaration à la presse en marge de la réunion tenue par le secrétaire général du parti du FLN, Djamel Ould Abbès, avec les mouhafidhine du parti et les présidents des commissions transitoires, M. Moussa Benhamadi, conseiller chargé de l'information, a estimé que la confirmation de l'intégrité des candidats se fera par l'enquête, ajoutant que les parties compétentes "seront appelées à fournir des informations sur tous les candidats". L'intervenant a abordé la question d'interférence entre l'argent et la politique ainsi que celle liée à l'achat des consciences. Il a dans ce sens déclaré : "Il se peut qu'il y ait une certaine exagération de la part de certaines personnes qui n'ont pas réussi dans le passé à introduire leurs noms dans les listes de candidature. Nous oeuvrons au sein du parti au règlement de nos problèmes et tout autre chose est considérée comme immoral". Il a évoqué en outre la place de certains noms connus au sein du parti et leur tentative de remporter des sièges lors des prochaines législatives. Il a précisé à ce propos que ces personnes "ont un parcours indéniable et ne peuvent être marginalisés, ajoutant que cela ne signifie pas l'exclusion des jeunes". Les mouhafadhate et les kasmate du FLN au niveau national ont été destinataires d'une instruction qui servira de "feuille de route pour les commissions de wilaya préparatoires des élections législatives". Cette instruction porte sur les différents mécanismes qui permettront au parti de préserver sa place de leader sur la scène politique en "plaçant l'intérêt du parti au dessus de toute considération". En vue de relever le défi des prochaines échéances et conforter sa place sur la scène politique, une stratégie a été mise en place en prévision de ces échéances portant sur les critères devant être remplis par les futurs candidats dont le "soutien au président de la République, président du parti, et à son programme". Les candidats doivent également répondre aux critères de compétence, d'expérience, de bonne réputation et d'intégrité outre la crédibilité, selon l'instruction. La commission de wilaya préparatoire des élections législatives est composée des membres du comité central, des deux chambres du Parlement, des bureaux des commissions transitoires et des présidents des assemblées de wilaya. Elle est également composée de sous-commissions dont la commission de mobilisation matérielle et de logistique, la commission de la campagne électorale, celle des contentieux et la commission de suivi des candidatures. En vertu de cette instruction, les membres de ladite commission n'ont pas le droit de se porter candidats aux élections. Il est également préconisé d'élaborer les listes nominales des candidats "sans tenir compte de l'ordre de classement" et qui seront envoyées, en dernière étape, au secrétariat général qui tranchera selon les critères fixés outre les conditions fixées par la loi. Les mêmes dispositifs sont adoptés pour la communauté nationale résidant à l'étranger. L'opération devrait s'achever 70 jours avant la date du scrutin. Dans une déclaration à la presse en marge de la réunion tenue par le secrétaire général du parti du FLN, Djamel Ould Abbès, avec les mouhafidhine du parti et les présidents des commissions transitoires, M. Moussa Benhamadi, conseiller chargé de l'information, a estimé que la confirmation de l'intégrité des candidats se fera par l'enquête, ajoutant que les parties compétentes "seront appelées à fournir des informations sur tous les candidats". L'intervenant a abordé la question d'interférence entre l'argent et la politique ainsi que celle liée à l'achat des consciences. Il a dans ce sens déclaré : "Il se peut qu'il y ait une certaine exagération de la part de certaines personnes qui n'ont pas réussi dans le passé à introduire leurs noms dans les listes de candidature. Nous oeuvrons au sein du parti au règlement de nos problèmes et tout autre chose est considérée comme immoral". Il a évoqué en outre la place de certains noms connus au sein du parti et leur tentative de remporter des sièges lors des prochaines législatives. Il a précisé à ce propos que ces personnes "ont un parcours indéniable et ne peuvent être marginalisés, ajoutant que cela ne signifie pas l'exclusion des jeunes".