Le président du Haut conseil islamique (HCI) Bouabdellah Ghlamallah a accusé "ceux qui ont ramené Boudiaf de l'avoir tué". "Boudiaf a été assassiné par ceux qui l'ont ramené. Le président du Haut conseil islamique (HCI) Bouabdellah Ghlamallah a accusé "ceux qui ont ramené Boudiaf de l'avoir tué". "Boudiaf a été assassiné par ceux qui l'ont ramené. Ces gens-là lui ont fait dire que l'école était sinistrée et il ne s'est pas passé une semaine, ils l'ont tué", a déclaré l'ancien ministre des Affaires religieuses, lors d'une conférence au Forum du quotidien arabophone Echaâb. "Ceux qui ont tué le président Boudiaf, c'est ceux-là même qui lui ont fait dire que l'école nationale était sinistrée", a-t-il insisté. Et "depuis l'assassinat de Boudiaf, l'école est sinistrée et n'a pas encore retrouvé son chemin", a-t-il ajouté. "Le courant salafiste ne nous convient pas" Le président du HCI s'est attaqué également au courant salafiste. "Le salafisme est un courant étranger. Culturellement, c'est un courant étranger. Il n'accepte pas l'échange, le débat. C'est un courant issu du Hanbalisme qui a été adopté par les Saoudiens. Ils sont libres. Il leur convient, mais il ne nous convient pas", a-t-il dit. Ces gens-là lui ont fait dire que l'école était sinistrée et il ne s'est pas passé une semaine, ils l'ont tué", a déclaré l'ancien ministre des Affaires religieuses, lors d'une conférence au Forum du quotidien arabophone Echaâb. "Ceux qui ont tué le président Boudiaf, c'est ceux-là même qui lui ont fait dire que l'école nationale était sinistrée", a-t-il insisté. Et "depuis l'assassinat de Boudiaf, l'école est sinistrée et n'a pas encore retrouvé son chemin", a-t-il ajouté. "Le courant salafiste ne nous convient pas" Le président du HCI s'est attaqué également au courant salafiste. "Le salafisme est un courant étranger. Culturellement, c'est un courant étranger. Il n'accepte pas l'échange, le débat. C'est un courant issu du Hanbalisme qui a été adopté par les Saoudiens. Ils sont libres. Il leur convient, mais il ne nous convient pas", a-t-il dit.