Le parti du FLN compte bien rafler la mise lors des prochaines élections législatives. Le vieux parti affiche désormais au grand jour ses ambitions. Son secrétaire général, Djamel Ould Abbès, place même la barre très haut Le parti du FLN compte bien rafler la mise lors des prochaines élections législatives. Le vieux parti affiche désormais au grand jour ses ambitions. Son secrétaire général, Djamel Ould Abbès, place même la barre très haut Avant-hier jeudi il a en effet fait cas de son ambition pour la circonscription électorale d'Alger. Lors de l'installation de la commission de la wilaya d'Alger, chargée d'examiner les candidatures, Ould Abbès a indiqué que le FLN doit gager au moins 20 sièges dans la capitale. Un nombre de sièges qui équivaut presque à 60% de l'ensemble des places réservée à la capitale puisque cette dernière, de loin la plus importante circonscription électorale du pays, dispose de 37 sièges à l'APN. Le chef de file du vieux parti voit ainsi les choses en grand ce d'autant qu'aucun parti politique n'a eu à réaliser ce score par le passé. Lors des élections législatives de 2012 la liste du FLN n'a pas obtenu ce score. En effet le vieux parti, arrivé en seconde position derrière l'alliance de l'Algérie verte (AAV), a juste obtenu une dizaine de sièges. «C'est une honte que le parti des martyrs comme Didouche Mourad, Larbi Ben M'Hidi, Abane Ramdane n'ait obtenu que dix sièges dans la capitale, on doit obtenir au moins 20 sièges», a martelé le secrétaire général du FLN comme pour galvaniser davantage ses troupes. A l'évidenve , à travers ses propos, il est clair que le FLN vise l'obtention de la majorité absolue des sièges dans la prochaine APN. Il l'a d'ailleurs dit textuellement. « le FLN vise une majorité absolue et confortable » a-t-il clamé. Aux élections législatives de 2012 le FLN a raflé 221 sièges dépassant de très loin le RND, arrivé en seconde position, qui n'en a obtenu que 70 sièges. Ces scores ont été par la suite très légèrement revus par le Conseil constitutionnel, mais cela n'a pas chamboulé l'équation. Pour rassurer la base militante il a aussi indiqué que « tous les militants ont le droit de présenter leur candidature.» Il veut mettre fin aux méthodes du passé où des cadres et militants ont été marginalisés et éjectés des listes électorales. Des situations qui ont été à l'origine de moult problèmes internes. «J'ai reçu pas moins de 400 plaintes des militants et pour la plupart elles sont recevables», dira -t-il a ce propos comme pour mettre en garde contre certaines pratiques. Sur la campagne électorale Djamel Ould Abbès a aussi tracé la ligne de conduite. « Nous respectons les partis qui respecteront les règles éthiques, mais je ne permets à personne de toucher à ,l'honneur et la dignité du FLN. Qui a signé l'acte de naissance de la République algérienne ?» dira -t-il. Il n'a pas manqué aussi d'évoquer les remous internes du FLN lesquels, selon lui et grâce aux efforts entrepris dans le sens de l'apaisement, font désormais partie du passé. En plaçant la barre à un tel niveau le FLN ne cache plus sa volonté de confirmer son statut de première force politique du pays. Avant-hier jeudi il a en effet fait cas de son ambition pour la circonscription électorale d'Alger. Lors de l'installation de la commission de la wilaya d'Alger, chargée d'examiner les candidatures, Ould Abbès a indiqué que le FLN doit gager au moins 20 sièges dans la capitale. Un nombre de sièges qui équivaut presque à 60% de l'ensemble des places réservée à la capitale puisque cette dernière, de loin la plus importante circonscription électorale du pays, dispose de 37 sièges à l'APN. Le chef de file du vieux parti voit ainsi les choses en grand ce d'autant qu'aucun parti politique n'a eu à réaliser ce score par le passé. Lors des élections législatives de 2012 la liste du FLN n'a pas obtenu ce score. En effet le vieux parti, arrivé en seconde position derrière l'alliance de l'Algérie verte (AAV), a juste obtenu une dizaine de sièges. «C'est une honte que le parti des martyrs comme Didouche Mourad, Larbi Ben M'Hidi, Abane Ramdane n'ait obtenu que dix sièges dans la capitale, on doit obtenir au moins 20 sièges», a martelé le secrétaire général du FLN comme pour galvaniser davantage ses troupes. A l'évidenve , à travers ses propos, il est clair que le FLN vise l'obtention de la majorité absolue des sièges dans la prochaine APN. Il l'a d'ailleurs dit textuellement. « le FLN vise une majorité absolue et confortable » a-t-il clamé. Aux élections législatives de 2012 le FLN a raflé 221 sièges dépassant de très loin le RND, arrivé en seconde position, qui n'en a obtenu que 70 sièges. Ces scores ont été par la suite très légèrement revus par le Conseil constitutionnel, mais cela n'a pas chamboulé l'équation. Pour rassurer la base militante il a aussi indiqué que « tous les militants ont le droit de présenter leur candidature.» Il veut mettre fin aux méthodes du passé où des cadres et militants ont été marginalisés et éjectés des listes électorales. Des situations qui ont été à l'origine de moult problèmes internes. «J'ai reçu pas moins de 400 plaintes des militants et pour la plupart elles sont recevables», dira -t-il a ce propos comme pour mettre en garde contre certaines pratiques. Sur la campagne électorale Djamel Ould Abbès a aussi tracé la ligne de conduite. « Nous respectons les partis qui respecteront les règles éthiques, mais je ne permets à personne de toucher à ,l'honneur et la dignité du FLN. Qui a signé l'acte de naissance de la République algérienne ?» dira -t-il. Il n'a pas manqué aussi d'évoquer les remous internes du FLN lesquels, selon lui et grâce aux efforts entrepris dans le sens de l'apaisement, font désormais partie du passé. En plaçant la barre à un tel niveau le FLN ne cache plus sa volonté de confirmer son statut de première force politique du pays.