Les élections législatives arrivent à grands pas. Ces joutes électorales auront lieu dans un peu plus de trois mois seulement. C'est dire que le président de la République ne va pas tarder à convoquer le corps électoral puisque, conformément à la législation, cela doit se faire trois mois avant le scrutin. Les élections législatives arrivent à grands pas. Ces joutes électorales auront lieu dans un peu plus de trois mois seulement. C'est dire que le président de la République ne va pas tarder à convoquer le corps électoral puisque, conformément à la législation, cela doit se faire trois mois avant le scrutin. Un scrutin qui donne d'ores et déjà des soucis au chef de l'Etat et à son Premier ministre. Car tout porte à croire que cette échéance électorale aura des incidences directes sur le fonctionnement du gouvernement. En effet à en croire ce qui se dit ça et là, de nombreux ministres nourrissent l'ambition de se porter candidats et de briguer un siège à l'APN. Si cela se confirme dans les toutes prochaines semaines le gouvernement risque de connaître moult remue-ménages. La candidature de nombreux ministres signifie automatiquement la vacance de leurs postes ministériels. Le chef de l'exécutif n'aura alors d'autre choix que de les remplacer par d'autres ministres. Autant dire que le président de la République sera alors contraint d'opérer un remaniement ministériel dont l'ampleur dépend, il va sans dire, du nombre de ministres qui comptent briguer un siège à la Chambre basse du Parlement. Car la gestion des affaires courantes ne saurait être mise entre parenthèses le temps du déroulement de ces élections. Et, d'ores et déjà, des médias font cas de ce remaniement à cause de la prochaine candidature de plusieurs ministres. Si ce remaniement se confirme cela sera une première car par le passé cela n'a pas été le cas. Lors des précédentes élections législatives des ministres sont restés en poste malgré le fait qu'ils soient candidats. Ils ont mené la campagne électorale tout en assumant en parallèle leur charge ministérielle. Il faut dire que cette situation n'a pas été du goût des partis de l'opposition qui n'ont eu de cesse de critiquer cette attitude. A juste titre d'ailleurs car les ministres candidats ne s'encombrant guère d'une quelconque considération d'ordre éthique, ne montraient aucune gêne à user des moyens de l'Etat pour faire la campagne électorale. Cette fois il semble que la donne a changé puisque le pouvoir veut donner les meilleurs gages possibles sur la transparence du prochain scrutin législatif. D'ailleurs le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès, a été on ne peut plus clair à ce propos. "Tout ministre qui veut être candidat doit démissionner du gouvernement" a-t-il en effet clamé avanthier en marge de l'installation de la Haute instance de surveillance des élections. Bien sûr Djamel Ould Abbès parlait des ministres affiliés à son parti, mais la règle doit s'appliquer à tout le monde. Pour le chef de file du FLN la loi organique portant code électoral est claire sur cette question. Nul besoin de dire que les ministres appartenant au FLN sont plus nombreux que ceux affiliés au RND puisque pas moins de 14 ministres sont issus du vieux parti. Tous, apparemment, veulent siéger à l'APN, ce d'autant qu'avec la formation du gouvernement post-élections législatives il n'est pas dit qu'ils feront partie de l'exécutif. Un scrutin qui donne d'ores et déjà des soucis au chef de l'Etat et à son Premier ministre. Car tout porte à croire que cette échéance électorale aura des incidences directes sur le fonctionnement du gouvernement. En effet à en croire ce qui se dit ça et là, de nombreux ministres nourrissent l'ambition de se porter candidats et de briguer un siège à l'APN. Si cela se confirme dans les toutes prochaines semaines le gouvernement risque de connaître moult remue-ménages. La candidature de nombreux ministres signifie automatiquement la vacance de leurs postes ministériels. Le chef de l'exécutif n'aura alors d'autre choix que de les remplacer par d'autres ministres. Autant dire que le président de la République sera alors contraint d'opérer un remaniement ministériel dont l'ampleur dépend, il va sans dire, du nombre de ministres qui comptent briguer un siège à la Chambre basse du Parlement. Car la gestion des affaires courantes ne saurait être mise entre parenthèses le temps du déroulement de ces élections. Et, d'ores et déjà, des médias font cas de ce remaniement à cause de la prochaine candidature de plusieurs ministres. Si ce remaniement se confirme cela sera une première car par le passé cela n'a pas été le cas. Lors des précédentes élections législatives des ministres sont restés en poste malgré le fait qu'ils soient candidats. Ils ont mené la campagne électorale tout en assumant en parallèle leur charge ministérielle. Il faut dire que cette situation n'a pas été du goût des partis de l'opposition qui n'ont eu de cesse de critiquer cette attitude. A juste titre d'ailleurs car les ministres candidats ne s'encombrant guère d'une quelconque considération d'ordre éthique, ne montraient aucune gêne à user des moyens de l'Etat pour faire la campagne électorale. Cette fois il semble que la donne a changé puisque le pouvoir veut donner les meilleurs gages possibles sur la transparence du prochain scrutin législatif. D'ailleurs le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès, a été on ne peut plus clair à ce propos. "Tout ministre qui veut être candidat doit démissionner du gouvernement" a-t-il en effet clamé avanthier en marge de l'installation de la Haute instance de surveillance des élections. Bien sûr Djamel Ould Abbès parlait des ministres affiliés à son parti, mais la règle doit s'appliquer à tout le monde. Pour le chef de file du FLN la loi organique portant code électoral est claire sur cette question. Nul besoin de dire que les ministres appartenant au FLN sont plus nombreux que ceux affiliés au RND puisque pas moins de 14 ministres sont issus du vieux parti. Tous, apparemment, veulent siéger à l'APN, ce d'autant qu'avec la formation du gouvernement post-élections législatives il n'est pas dit qu'ils feront partie de l'exécutif.