Ils sont quelques milliers à habiter près des oueds. Les pluies diluviennes qui s'abattent ces derniers jours menacent ces habitations de l'effondrement. La situation devient urgente pour les reloger. Ils sont quelques milliers à habiter près des oueds. Les pluies diluviennes qui s'abattent ces derniers jours menacent ces habitations de l'effondrement. La situation devient urgente pour les reloger. Dans les wilayas surtout côtières comme Alger, Béjaia et Annaba la situation des habitations érigées près des oueds devient dangereuse. Les aléas climatiques avec les précipitations accrues révèlent que ces habitations précaires peuvent à tout moment s'effondrer. Dans la capitale, ce sont des endroits près de Beni Messous, El Harrach, Rais Hamidou qui sont les plus menacés. Ces constructions anarchiques selon les responsables du logement de la wilaya d'Alger « n'ont aucune autorisation pour habiter et ne possèdent pas de permis à construire ». Ces maisonnettes faites de bric et de broc sont à proximité des oueds qui une fois remplis d'eaux peuvent déborder en laissant de gros dégâts. Les APC de ces localités ont été sommées par le wali d'Alger de les évacuer en urgence.Mais où ? Jusque-là, ces habitants qui vivent depuis des années se sont accommodés à une vie où le risque pesait à tout moment. Durant ce mois, certains ont été évacués temporairement dans des établissements scolaires où dans des chalets de fortune. Pour le président de l'APC de Béni Messous Mohamed Bouraba « le recensement de ces habitations est en cours pour permettre de les inclure dans la liste de relogement ». Ils sont probablement des centaines dont les baraques se trouvent à l'intérieur de la vallée où la menace d'une crue peut être fatale dans les prochains jours. De même que la localité de Rais Hamidou est menacée par l'existence de 7 effluves qui peuvent dévaster les habitations précaires que la mairie veut aussi mettre à l'abri. Au Frais-Vallon, il subsiste encore de l'habitat précaire mais aux dernières nouvelles, les habitants ont été informés que dans les prochaines semaines ils seront destinataires de décisions pour des logements sociaux neufs. La possibilité de crue des oueds dans d'autres régions va aggraver la situation si les pouvoirs publics ne se dépêcheraient pas à les mettre à l'abri temporairement. Pour l'heure, les services de la Protection civile font de leur mieux pour évacuer ces populations du danger de l'effondrement. On ne déplore pas de morts fort heureusement. Mais dans d'autres localités, les services de la Protection civile ont évoqué quelques blessés légers lorsqu'il y a eu de fortes précipitations qui ont envahi ces maisons de fortune. Il faut noter que les pouvoirs publics ont élaboré un arsenal de lois qui interdiraient dorénavant toute construction si elle n'est pas munie d'un permis de construire et d'une autorisation signée par les services du cadastre et de l'urbanisme. Un durcissement qui vraisemblablement mettre fin dans les années à venir les constructions anarchiques. Dans les wilayas surtout côtières comme Alger, Béjaia et Annaba la situation des habitations érigées près des oueds devient dangereuse. Les aléas climatiques avec les précipitations accrues révèlent que ces habitations précaires peuvent à tout moment s'effondrer. Dans la capitale, ce sont des endroits près de Beni Messous, El Harrach, Rais Hamidou qui sont les plus menacés. Ces constructions anarchiques selon les responsables du logement de la wilaya d'Alger « n'ont aucune autorisation pour habiter et ne possèdent pas de permis à construire ». Ces maisonnettes faites de bric et de broc sont à proximité des oueds qui une fois remplis d'eaux peuvent déborder en laissant de gros dégâts. Les APC de ces localités ont été sommées par le wali d'Alger de les évacuer en urgence.Mais où ? Jusque-là, ces habitants qui vivent depuis des années se sont accommodés à une vie où le risque pesait à tout moment. Durant ce mois, certains ont été évacués temporairement dans des établissements scolaires où dans des chalets de fortune. Pour le président de l'APC de Béni Messous Mohamed Bouraba « le recensement de ces habitations est en cours pour permettre de les inclure dans la liste de relogement ». Ils sont probablement des centaines dont les baraques se trouvent à l'intérieur de la vallée où la menace d'une crue peut être fatale dans les prochains jours. De même que la localité de Rais Hamidou est menacée par l'existence de 7 effluves qui peuvent dévaster les habitations précaires que la mairie veut aussi mettre à l'abri. Au Frais-Vallon, il subsiste encore de l'habitat précaire mais aux dernières nouvelles, les habitants ont été informés que dans les prochaines semaines ils seront destinataires de décisions pour des logements sociaux neufs. La possibilité de crue des oueds dans d'autres régions va aggraver la situation si les pouvoirs publics ne se dépêcheraient pas à les mettre à l'abri temporairement. Pour l'heure, les services de la Protection civile font de leur mieux pour évacuer ces populations du danger de l'effondrement. On ne déplore pas de morts fort heureusement. Mais dans d'autres localités, les services de la Protection civile ont évoqué quelques blessés légers lorsqu'il y a eu de fortes précipitations qui ont envahi ces maisons de fortune. Il faut noter que les pouvoirs publics ont élaboré un arsenal de lois qui interdiraient dorénavant toute construction si elle n'est pas munie d'un permis de construire et d'une autorisation signée par les services du cadastre et de l'urbanisme. Un durcissement qui vraisemblablement mettre fin dans les années à venir les constructions anarchiques.