Malgré les multiples campagnes et plaidoyers, en faveur de la non-violence en milieu scolaire, le phénomène continue. Malgré les multiples campagnes et plaidoyers, en faveur de la non-violence en milieu scolaire, le phénomène continue. Elle est bien présente dans la société et l'école ne peut y échapper. Quelle que soit sa forme, la violence en milieu scolaire influe négativement sur le développement des jeunes, leur réussite scolaire et sur la qualité de vie à l'école. Malheureusement, malgré les efforts des autorités et de leurs partenaires pour lutter contre le phénomène, il persiste et continue à faire des victimes. Y a-t-il preuve plus accablante que celle d'un membre du gouvernement reconnaissant l'ampleur de ce phénomène ? Insultes, bastonnades, bagarres, stigmatisation, viols, constituent la typologie des violences que l'on retrouve dans nos établissements scolaires. Comme le prouvent les chiffres rapportés régulièrement à travers les medias, en écho au travail d'association comme la Forem qui fait un travail remarquable, sous la direction du professeur Khiati. Ce phénomène a, reconnaissons- le, atteint des ampleurs intolérables et bloque toutes les démarches entreprises, de part et d'autre, pour mettre l'école sur les rails afin qu'elle revienne à son rôle : former la génération qui devra prendre le relais. La mise en place de ce chantier nous réjouit énormément parce qu'aucune réforme de l'école ne pourra aboutir si on n'éradique pas ou du moins, on n'atténue pas la violence dans nos écoles. Assurer le bien-être et la réussite de tous les élèves est l'objectif premier de l'école. D'ailleurs, à ce titre, la tutelle, représentée par la ministre de l'Education nationale, remet encore sur le tapis l'épineux dossier de la violence dans le milieu scolaire. Mme Benghebrit, qui se trouvait en visite d'inspection à Jijel, a évoqué dimanche, dans une conférence de presse la question en donnant quelques pistes de travail pour lutter contre ce fléau qui ronge les établissements scolaires. Elle propose notamment l'adaptation des règlements intérieurs des établissements scolaires et le contenu de certains cours, ainsi que l'organisation de campagnes de sensibilisation outre la coordination avec les associations de parents d'élèves. La ministre, est revenue aussi sur l'option "sécuritaire" avec les conventions signées conjointement avec la Direction générale de la Sûreté nationale et le ministère de la Défense nationale pour contenir la violence en milieu scolaire. Autre levier : cette commission mise en place avec le partenaire social pour justement élaborer une stratégie nationale de lutte contre la violence; son travail devrait être terminé vers la fin février prochain. Dans un autre registre, la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a profité de cette tribune en appellent les syndicats à faire preuve de "sagesse" et à favoriser l'intérêt de l'élève. Elle a assuré, à ce propos, que "les enseignants ont certes le droit d'exprimer leurs positions, mais doivent faire preuve de sagesse, en tenant compte de l'intérêt des élèves", a-t-elle précisé. Le dossier des logements d'astreinte occupés par des cadres de l'Education, admis à la retraite, depuis plusieurs années et qui ne veulent pas les libérer, a été évoqué lors cette visite de travail à Jijel. Nouria Benghebrit, promet d'en finir avec ce problème qui a fait couler beaucoup d'encre, par le biais des responsables du secteur au niveau de chaque wilaya. Elle est bien présente dans la société et l'école ne peut y échapper. Quelle que soit sa forme, la violence en milieu scolaire influe négativement sur le développement des jeunes, leur réussite scolaire et sur la qualité de vie à l'école. Malheureusement, malgré les efforts des autorités et de leurs partenaires pour lutter contre le phénomène, il persiste et continue à faire des victimes. Y a-t-il preuve plus accablante que celle d'un membre du gouvernement reconnaissant l'ampleur de ce phénomène ? Insultes, bastonnades, bagarres, stigmatisation, viols, constituent la typologie des violences que l'on retrouve dans nos établissements scolaires. Comme le prouvent les chiffres rapportés régulièrement à travers les medias, en écho au travail d'association comme la Forem qui fait un travail remarquable, sous la direction du professeur Khiati. Ce phénomène a, reconnaissons- le, atteint des ampleurs intolérables et bloque toutes les démarches entreprises, de part et d'autre, pour mettre l'école sur les rails afin qu'elle revienne à son rôle : former la génération qui devra prendre le relais. La mise en place de ce chantier nous réjouit énormément parce qu'aucune réforme de l'école ne pourra aboutir si on n'éradique pas ou du moins, on n'atténue pas la violence dans nos écoles. Assurer le bien-être et la réussite de tous les élèves est l'objectif premier de l'école. D'ailleurs, à ce titre, la tutelle, représentée par la ministre de l'Education nationale, remet encore sur le tapis l'épineux dossier de la violence dans le milieu scolaire. Mme Benghebrit, qui se trouvait en visite d'inspection à Jijel, a évoqué dimanche, dans une conférence de presse la question en donnant quelques pistes de travail pour lutter contre ce fléau qui ronge les établissements scolaires. Elle propose notamment l'adaptation des règlements intérieurs des établissements scolaires et le contenu de certains cours, ainsi que l'organisation de campagnes de sensibilisation outre la coordination avec les associations de parents d'élèves. La ministre, est revenue aussi sur l'option "sécuritaire" avec les conventions signées conjointement avec la Direction générale de la Sûreté nationale et le ministère de la Défense nationale pour contenir la violence en milieu scolaire. Autre levier : cette commission mise en place avec le partenaire social pour justement élaborer une stratégie nationale de lutte contre la violence; son travail devrait être terminé vers la fin février prochain. Dans un autre registre, la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a profité de cette tribune en appellent les syndicats à faire preuve de "sagesse" et à favoriser l'intérêt de l'élève. Elle a assuré, à ce propos, que "les enseignants ont certes le droit d'exprimer leurs positions, mais doivent faire preuve de sagesse, en tenant compte de l'intérêt des élèves", a-t-elle précisé. Le dossier des logements d'astreinte occupés par des cadres de l'Education, admis à la retraite, depuis plusieurs années et qui ne veulent pas les libérer, a été évoqué lors cette visite de travail à Jijel. Nouria Benghebrit, promet d'en finir avec ce problème qui a fait couler beaucoup d'encre, par le biais des responsables du secteur au niveau de chaque wilaya.