L'absence des députés aux séances plénières de l'APN de ces trois derniers est un signe qui ne trompe pas. L'actuelle législature tire, en effet à sa fin. L'absence des députés aux séances plénières de l'APN de ces trois derniers est un signe qui ne trompe pas. L'actuelle législature tire, en effet à sa fin. Les derniers projets de loi de cette septième législature ont été adoptés hier. Au programme il y a le projet de loi portant règlement budgétaire 2014, le projet de loi sur la métrologie et deux autres projets de lois relevant du secteur de la Justice. La séance plénière d'hier a pris un énorme retard avant d'entamer ses travaux. La faute aux députés qui ont déserté l'hémicycle et il n'était pas possible, faute de quorum, de commencer les travaux qui ont fini par être entamés avec plus de deux heures de retard. Selon des sources parlementaires aucun autre projet de loi n'est au programme dans les semaines à venir. Il y aura certainement quelques séances plénière consacrées aux questions orales, mais point de projet de loi à examiner. Il est évident que cela est dû, en premier lieu, aux élections législatives qui vont se dérouler d'ici trois mois. La date n'a pas encore été fixée par le président de la République qui n'a pas encore convoqué le corps électoral. C'est donc à cause de cette échéance électorale que les projets de lois n'ont pas été programmés et ils seront soumis aux députés issus du prochain scrutin législatif. Ce sera le cas du projet de loi sur la santé qui était pourtant prévu d'être examiné par l'actuelle législature. Une manière comme une autre d'empêcher les députés de l'actuelle législature qui veulent briguer un nouveau mandat de profiter de la tribune de l'APN pour faire la campagne électorale avant l'heure. D'ailleurs, les députés ont d'ores et déjà les yeux rivés sur la prochaine échéance électorale comme l'attestent si bien leurs discussions dans les couloirs de l'assemblée. Toutes les discussions tournent autour de cette élection et des candidatures des députés. Une situation qui a eu une incidence directe sur le déroulement des travaux de l'APN. Car la majorité des députés étaient dans leurs wilayas respectives. D'où leur absence des séances plénières qui se sont déroulées dans un hémicycle presque vide. Avant-hier lundi, à l'occasion de l'examen du projet de loi portant règlement budgétaire 2014, il y avait juste quelques dizaines de députés. Une situation franchement désolante et qui prouve une fois encore combien les élus du peuple sont peu intéressés par l'accomplissement de leur devoir. Le phénomène de l'absentéisme n'est pas en vérité une nouveauté. Les députés se sont distingués déjà sur ce plan pas uniquement durant cette législature. Autant dire que l'absentéisme est devenu une pratique courante à l'APN au point de susciter les plus vives critiques de l'opinion publique mais aussi des différents présidents de l'assemblée. Mais rien à faire puisque les députés persistent dans cette attitude négative. Une attitude qui n'est sans doute pas prête de s'estomper, ce d'autant qu'il n'ya aucune mesure qui contraint les députés à faire acte de présence. Les derniers projets de loi de cette septième législature ont été adoptés hier. Au programme il y a le projet de loi portant règlement budgétaire 2014, le projet de loi sur la métrologie et deux autres projets de lois relevant du secteur de la Justice. La séance plénière d'hier a pris un énorme retard avant d'entamer ses travaux. La faute aux députés qui ont déserté l'hémicycle et il n'était pas possible, faute de quorum, de commencer les travaux qui ont fini par être entamés avec plus de deux heures de retard. Selon des sources parlementaires aucun autre projet de loi n'est au programme dans les semaines à venir. Il y aura certainement quelques séances plénière consacrées aux questions orales, mais point de projet de loi à examiner. Il est évident que cela est dû, en premier lieu, aux élections législatives qui vont se dérouler d'ici trois mois. La date n'a pas encore été fixée par le président de la République qui n'a pas encore convoqué le corps électoral. C'est donc à cause de cette échéance électorale que les projets de lois n'ont pas été programmés et ils seront soumis aux députés issus du prochain scrutin législatif. Ce sera le cas du projet de loi sur la santé qui était pourtant prévu d'être examiné par l'actuelle législature. Une manière comme une autre d'empêcher les députés de l'actuelle législature qui veulent briguer un nouveau mandat de profiter de la tribune de l'APN pour faire la campagne électorale avant l'heure. D'ailleurs, les députés ont d'ores et déjà les yeux rivés sur la prochaine échéance électorale comme l'attestent si bien leurs discussions dans les couloirs de l'assemblée. Toutes les discussions tournent autour de cette élection et des candidatures des députés. Une situation qui a eu une incidence directe sur le déroulement des travaux de l'APN. Car la majorité des députés étaient dans leurs wilayas respectives. D'où leur absence des séances plénières qui se sont déroulées dans un hémicycle presque vide. Avant-hier lundi, à l'occasion de l'examen du projet de loi portant règlement budgétaire 2014, il y avait juste quelques dizaines de députés. Une situation franchement désolante et qui prouve une fois encore combien les élus du peuple sont peu intéressés par l'accomplissement de leur devoir. Le phénomène de l'absentéisme n'est pas en vérité une nouveauté. Les députés se sont distingués déjà sur ce plan pas uniquement durant cette législature. Autant dire que l'absentéisme est devenu une pratique courante à l'APN au point de susciter les plus vives critiques de l'opinion publique mais aussi des différents présidents de l'assemblée. Mais rien à faire puisque les députés persistent dans cette attitude négative. Une attitude qui n'est sans doute pas prête de s'estomper, ce d'autant qu'il n'ya aucune mesure qui contraint les députés à faire acte de présence.