Le phénomène des mères célibataires connaît-il une hausse, comme le croit un député qui a posé la question à la ministre de la Solidarité nationale ? Cette dernière n'a pas décliné un chiffre global, sans doute ne l'a-t-elle pas, mais elle a indiqué que le nombre d'enfants qui se trouvent actuellement dans les centres d'accueil dans 41 wilayas est de 1.237. Le phénomène des mères célibataires connaît-il une hausse, comme le croit un député qui a posé la question à la ministre de la Solidarité nationale ? Cette dernière n'a pas décliné un chiffre global, sans doute ne l'a-t-elle pas, mais elle a indiqué que le nombre d'enfants qui se trouvent actuellement dans les centres d'accueil dans 41 wilayas est de 1.237. La ministre ajoutera que "363 mères biologiques ont décidé de ne pas abandonner leurs enfants.» Mais au-delà de ces chiffres parcellaires, la ministre estime que le phénomène est de "la responsabilité de tous, élite, familles et société civile." Les centres d'accueil où trouvent actuellement refuge ces mères apportent, selon elle une aide psychologique, sociale et éducative dans le cadre de la politique de l'action sociale et de la solidarité nationale comme le prévoit la Constitution. Mme Meslem a appelé les acteurs concernés "à contribuer à aider les mères célibataires en situation sociale difficile", d'autant, a-t-elle ajouté que "la plupar d'entre elles ont contracté un mariage coutumier ou sont victimes de violences ou de problèmes familiaux et sociaux". La ministre a profité de son passage devant les députés jeudi pour faire état d'une étude réalisée par son département, en coordination avec le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) sur la violence infligée aux adolescentes. Cette étude, explique-t-elle, est couronnée par un plan d'action, annoncé en juin 2016, qui renferme des programmes pédagogiques et autres de prévention contre la violence sexuelle, ainsi que des programmes de soutien à la formation visant à optimiser les potentialités des spécialistes. La ministre ajoutera que "363 mères biologiques ont décidé de ne pas abandonner leurs enfants.» Mais au-delà de ces chiffres parcellaires, la ministre estime que le phénomène est de "la responsabilité de tous, élite, familles et société civile." Les centres d'accueil où trouvent actuellement refuge ces mères apportent, selon elle une aide psychologique, sociale et éducative dans le cadre de la politique de l'action sociale et de la solidarité nationale comme le prévoit la Constitution. Mme Meslem a appelé les acteurs concernés "à contribuer à aider les mères célibataires en situation sociale difficile", d'autant, a-t-elle ajouté que "la plupar d'entre elles ont contracté un mariage coutumier ou sont victimes de violences ou de problèmes familiaux et sociaux". La ministre a profité de son passage devant les députés jeudi pour faire état d'une étude réalisée par son département, en coordination avec le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) sur la violence infligée aux adolescentes. Cette étude, explique-t-elle, est couronnée par un plan d'action, annoncé en juin 2016, qui renferme des programmes pédagogiques et autres de prévention contre la violence sexuelle, ainsi que des programmes de soutien à la formation visant à optimiser les potentialités des spécialistes.