Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni a réagi indirectement aux propos tenus par Emmanuel Macron au sujet de la colonisation. " La France doit assumer ses responsabilités envers l'Algérie et les dossiers en suspens entre les deux pays doivent être pris en charge", a déclaré le ministre à Khenchela dans des propos cités par l'agence officielle APS. Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni a réagi indirectement aux propos tenus par Emmanuel Macron au sujet de la colonisation. " La France doit assumer ses responsabilités envers l'Algérie et les dossiers en suspens entre les deux pays doivent être pris en charge", a déclaré le ministre à Khenchela dans des propos cités par l'agence officielle APS. Tayeb Zitouni a ainsi assuré, à son passage à la Radio algérienne depuis Khenchela, en marge de sa visite dans cette wilaya, retenue pour la célébration des festivités officielles de la Journée nationale du Chahid (18 février), qu'une "volonté sincère" de la part de la France était nécessaire pour entamer un travail sérieux entre les deux pays et régler définitivement les dossiers en suspens. Evoquant les crimes du colonisateur, M. Zitouni a indiqué que les essais nucléaires dans le Sahara algérien sont "une preuve de l'atrocité des crimes commis par la France coloniale en Algérie" soulignant qu'un séminaire national sur ces essais, tenu récemment à Illizi et auquel il a pris part, a démontré "les innombrables crimes perpétrés par le colonialisme contre le peuple algérien". Le ministre, rappelant l'héroïsme du peuple algérien à travers son histoire, la paix et la stabilité du pays grâce à ses hommes, ses femmes et les éléments de l'Armée nationale populaire, a estimé que la meilleure façon pour préserver le message des chouhada est d'oeuvrer à édifier un Etat fort et prospère. Tayeb Zitouni avait entamé sa visite dans la wilaya de Khenchela depuis la maison de la culture Ali Souaghi, où il a assisté à la projection d'un documentaire sur l'exhumation des restes de chouhada de la grotte Djemri dans la commune d'Ensigha avant la présentation d'une opérette retraçant des pans de l'histoire de l'Algérie. Le ministre a également honoré des moudjahidine et des membres des familles de chouhada de la région. La visite du ministre des Moudjahidine devra se poursuivre demain samedi avec une cérémonie d'inhumation des restes de 30 chouhada avant de présider l'ouverture des travaux du colloque régional portant "les crimes coloniaux entre la mémoire et l'histoire". Tayeb Zitouni a ainsi assuré, à son passage à la Radio algérienne depuis Khenchela, en marge de sa visite dans cette wilaya, retenue pour la célébration des festivités officielles de la Journée nationale du Chahid (18 février), qu'une "volonté sincère" de la part de la France était nécessaire pour entamer un travail sérieux entre les deux pays et régler définitivement les dossiers en suspens. Evoquant les crimes du colonisateur, M. Zitouni a indiqué que les essais nucléaires dans le Sahara algérien sont "une preuve de l'atrocité des crimes commis par la France coloniale en Algérie" soulignant qu'un séminaire national sur ces essais, tenu récemment à Illizi et auquel il a pris part, a démontré "les innombrables crimes perpétrés par le colonialisme contre le peuple algérien". Le ministre, rappelant l'héroïsme du peuple algérien à travers son histoire, la paix et la stabilité du pays grâce à ses hommes, ses femmes et les éléments de l'Armée nationale populaire, a estimé que la meilleure façon pour préserver le message des chouhada est d'oeuvrer à édifier un Etat fort et prospère. Tayeb Zitouni avait entamé sa visite dans la wilaya de Khenchela depuis la maison de la culture Ali Souaghi, où il a assisté à la projection d'un documentaire sur l'exhumation des restes de chouhada de la grotte Djemri dans la commune d'Ensigha avant la présentation d'une opérette retraçant des pans de l'histoire de l'Algérie. Le ministre a également honoré des moudjahidine et des membres des familles de chouhada de la région. La visite du ministre des Moudjahidine devra se poursuivre demain samedi avec une cérémonie d'inhumation des restes de 30 chouhada avant de présider l'ouverture des travaux du colloque régional portant "les crimes coloniaux entre la mémoire et l'histoire".