L'ensemble des souscripteurs au LSP (logement social participatif) seront orientés vers d'autres types de logements. Le ministère de l'habitat a décidé de supprimer cette formule suite à la défection des promoteurs immobiliers laissant les acquéreurs dans un véritable calvaire. L'ensemble des souscripteurs au LSP (logement social participatif) seront orientés vers d'autres types de logements. Le ministère de l'habitat a décidé de supprimer cette formule suite à la défection des promoteurs immobiliers laissant les acquéreurs dans un véritable calvaire. Après avoir évalué la longue attente des souscripteurs du LSP, l'Etat a décidé de faire le ménage. Le logement social participatif ne sera plus incorporé dans les futurs programmes. Le ministre de l'Habitat, Abdelmadjid Tebboune, l'a bien indiqué récemment au Conseil de la Nation en précisant qu'il "existe 9.000 logements litigieux pour lesquels nous tentons de trouver des solutions". Les acquéreurs, dont la plupart attendent depuis des années leurs clés, ont été désarçonnés par la longue attente après avoir payé rubis sur l'ongle leurs logements. Le ministre a déploré que des promoteurs non affiliés à la Caisse nationale des logements, soient derrière cet immense retard. Ces derniers ont donc failli à leurs engagements en laissant des carcasses inachevées et parfois les travaux n'ont même pas débuté selon des propriétaires désabusés. Face à la détresse de ces derniers et leurs nombreuses plaintes, le département de Tebboune a réagi en faisant savoir que des "options financières" sont envisageables. Ils seront donc soient orientés vers la formule AADL ou vers des types de logements publics aidés. Du fait que ces personnes ont déjà payé la totalité de leurs tranches, leurs logements sont programmés dans le cadre du programme AADL ou LPA. Pour ceux qui préfèrent les options financières, ils seront aidés avec l'apport de la CNL pour acquérir leurs logements qui seront fins prêts prochainement. Tebboune promet de régler ces cas en les incorporant dans une liste prioritaire comme ceux de l'AADL 2001 et 2002. Quant aux promoteurs qui ont abandonné leurs chantiers, ils seront sanctionnés par une radiation de l'activité de promotion avec une notification qui leur sera faite. Il faut savoir que chaque promoteur immobilier qui s'engage dans la commande publique du logement doit respecter la réglementation en vigueur. Il doit réaliser le projet dans les délais que l'Etat fixe par un cahier de charges. Il est obligatoire pour un promoteur de signer les garanties de respect du plan de réalisation et de ne pas modifier aucun aspect du projet sauf dérogation par les services techniques compétents. Pour mieux gérer ces projets, c'est la Caisse mutuelle des garanties de la promotion immobilière qui reste l'interlocuteur privilégié avec la tutelle sur tous les engagements en matière de logements. Tous les promoteurs immobiliers doivent souscrire à cette caisse sous peine d'être privés des avantages liés à l'activité et les bonus en cas d'achèvement des projets avant les délais souscrits. Après avoir évalué la longue attente des souscripteurs du LSP, l'Etat a décidé de faire le ménage. Le logement social participatif ne sera plus incorporé dans les futurs programmes. Le ministre de l'Habitat, Abdelmadjid Tebboune, l'a bien indiqué récemment au Conseil de la Nation en précisant qu'il "existe 9.000 logements litigieux pour lesquels nous tentons de trouver des solutions". Les acquéreurs, dont la plupart attendent depuis des années leurs clés, ont été désarçonnés par la longue attente après avoir payé rubis sur l'ongle leurs logements. Le ministre a déploré que des promoteurs non affiliés à la Caisse nationale des logements, soient derrière cet immense retard. Ces derniers ont donc failli à leurs engagements en laissant des carcasses inachevées et parfois les travaux n'ont même pas débuté selon des propriétaires désabusés. Face à la détresse de ces derniers et leurs nombreuses plaintes, le département de Tebboune a réagi en faisant savoir que des "options financières" sont envisageables. Ils seront donc soient orientés vers la formule AADL ou vers des types de logements publics aidés. Du fait que ces personnes ont déjà payé la totalité de leurs tranches, leurs logements sont programmés dans le cadre du programme AADL ou LPA. Pour ceux qui préfèrent les options financières, ils seront aidés avec l'apport de la CNL pour acquérir leurs logements qui seront fins prêts prochainement. Tebboune promet de régler ces cas en les incorporant dans une liste prioritaire comme ceux de l'AADL 2001 et 2002. Quant aux promoteurs qui ont abandonné leurs chantiers, ils seront sanctionnés par une radiation de l'activité de promotion avec une notification qui leur sera faite. Il faut savoir que chaque promoteur immobilier qui s'engage dans la commande publique du logement doit respecter la réglementation en vigueur. Il doit réaliser le projet dans les délais que l'Etat fixe par un cahier de charges. Il est obligatoire pour un promoteur de signer les garanties de respect du plan de réalisation et de ne pas modifier aucun aspect du projet sauf dérogation par les services techniques compétents. Pour mieux gérer ces projets, c'est la Caisse mutuelle des garanties de la promotion immobilière qui reste l'interlocuteur privilégié avec la tutelle sur tous les engagements en matière de logements. Tous les promoteurs immobiliers doivent souscrire à cette caisse sous peine d'être privés des avantages liés à l'activité et les bonus en cas d'achèvement des projets avant les délais souscrits.