Les élections législatives du 4 mai prochain seront une "sorte de test" pour les médias algériens en matière de respect des règles de l'éthique et de la déontologie dans l'exercice du droit de la liberté d'expression, a soutenu hier à Alger le ministre de la Communication, Hamid Grine. Les élections législatives du 4 mai prochain seront une "sorte de test" pour les médias algériens en matière de respect des règles de l'éthique et de la déontologie dans l'exercice du droit de la liberté d'expression, a soutenu hier à Alger le ministre de la Communication, Hamid Grine. Ainsi, les prochaines élections législatives constitueront « un test pour le niveau de la liberté d'expression consacrée par la Constitution et qu'on doit protéger », a estimé Hamid Grine. « C'est un défi pour nous tous professionnels du secteur de la communication que d'être à la hauteur de cette liberté d'expression qui fait notre fierté. J'ose espérer que nous serons à la hauteur de ce défi », a ajouté le ministre de la Communication qui s'exprimait en marge d'une conférence animée par le journaliste italien Ugo Trembali. Dans ce contexte, Hamid Grine a appelé les chaînes de télévision privées à être « professionnelles » dans leur traitement de l'information. « Les chaînes privées aux bureaux accrédités ou autres, je leur demande d'être professionnelles, c'est à dire éthiques et déontologiques. Dire la vérité sans injurier, dire la vérité sans diffamer, sans blesser, sans manipuler, sans amplifier et en respectant la vérité d'autrui », a-t-il dit. Interrogé sur le message à adresser aux chaînes TV non accréditées en prévision des prochaines législatives, le ministre a précisé que "si on les rencontre et on le fera, on leur délivrera le même message: rigueur et exactitude dans le traitement de l'information et en tant que membre du gouvernement nous sommes contre l'abstention". "C'est juste des règles d'éthique et de déontologie, pas d'atteinte aux personnes, de diffamation, d'injures, de manipulation, c'est important d'aller vers une presse éthique et déontologique et j'ai bon espoir lors de ces élections", a-t-il assuré. Interrogé sur l'accréditation de nouvelles chaînes, Grine a indiqué que le gouvernement ne pouvait pas aller au-delà de 11 chaînes (sur les 55 environ existantes), précisant, dans ce cadre, qu'il ne restera que les "professionnelles et répondant aux cahiers de charge". Grine a relevé que l'Algérie avait une "presse responsable et consciente", ajoutant ne pas observer de "dépassements" notamment dans les chaînes de télévision, car "je les regarde toutes". Questionné par ailleurs, sur l'autorisation de création de radios privées, M. Grine a rétorqué que cela se ferait probablement dans deux ans. "Ces élections seront une sorte de test de la liberté d'expression et de professionnalisme. On va voir si cette liberté d'expression inclut l'éthique et la déontologie", a-t-il déclaré lors d'un point de presse animé, en marge d'un séminaire de formation sur le journalisme et les réseaux sociaux. Pour le ministre, la liberté d'expression passe par "le respect de l'autre" à travers "des limites éthiques, déontologiques et professionnelles", relevant que "si on va vers une presse d'attaque et d'injure, la liberté d'expression n'est pas respectée". Le ministre a soutenu, dans ce sillage, que l'Algérie avait une presse "professionnelle et exigeante", qui veut toujours aller au "fond des choses", ajoutant que la liberté d'expression est consacrée dans la Constitution et sur le terrain. Il a relevé que depuis 2014, avec le cycle de formations initié par son département, son secteur a enregistré "moins de laxisme" et "un plus d'exigence", ajoutant que l'Algérie était prête à accueillir plus de 1.000 journalistes étrangers, à condition d'être dans "l'exactitude". Ainsi, les prochaines élections législatives constitueront « un test pour le niveau de la liberté d'expression consacrée par la Constitution et qu'on doit protéger », a estimé Hamid Grine. « C'est un défi pour nous tous professionnels du secteur de la communication que d'être à la hauteur de cette liberté d'expression qui fait notre fierté. J'ose espérer que nous serons à la hauteur de ce défi », a ajouté le ministre de la Communication qui s'exprimait en marge d'une conférence animée par le journaliste italien Ugo Trembali. Dans ce contexte, Hamid Grine a appelé les chaînes de télévision privées à être « professionnelles » dans leur traitement de l'information. « Les chaînes privées aux bureaux accrédités ou autres, je leur demande d'être professionnelles, c'est à dire éthiques et déontologiques. Dire la vérité sans injurier, dire la vérité sans diffamer, sans blesser, sans manipuler, sans amplifier et en respectant la vérité d'autrui », a-t-il dit. Interrogé sur le message à adresser aux chaînes TV non accréditées en prévision des prochaines législatives, le ministre a précisé que "si on les rencontre et on le fera, on leur délivrera le même message: rigueur et exactitude dans le traitement de l'information et en tant que membre du gouvernement nous sommes contre l'abstention". "C'est juste des règles d'éthique et de déontologie, pas d'atteinte aux personnes, de diffamation, d'injures, de manipulation, c'est important d'aller vers une presse éthique et déontologique et j'ai bon espoir lors de ces élections", a-t-il assuré. Interrogé sur l'accréditation de nouvelles chaînes, Grine a indiqué que le gouvernement ne pouvait pas aller au-delà de 11 chaînes (sur les 55 environ existantes), précisant, dans ce cadre, qu'il ne restera que les "professionnelles et répondant aux cahiers de charge". Grine a relevé que l'Algérie avait une "presse responsable et consciente", ajoutant ne pas observer de "dépassements" notamment dans les chaînes de télévision, car "je les regarde toutes". Questionné par ailleurs, sur l'autorisation de création de radios privées, M. Grine a rétorqué que cela se ferait probablement dans deux ans. "Ces élections seront une sorte de test de la liberté d'expression et de professionnalisme. On va voir si cette liberté d'expression inclut l'éthique et la déontologie", a-t-il déclaré lors d'un point de presse animé, en marge d'un séminaire de formation sur le journalisme et les réseaux sociaux. Pour le ministre, la liberté d'expression passe par "le respect de l'autre" à travers "des limites éthiques, déontologiques et professionnelles", relevant que "si on va vers une presse d'attaque et d'injure, la liberté d'expression n'est pas respectée". Le ministre a soutenu, dans ce sillage, que l'Algérie avait une presse "professionnelle et exigeante", qui veut toujours aller au "fond des choses", ajoutant que la liberté d'expression est consacrée dans la Constitution et sur le terrain. Il a relevé que depuis 2014, avec le cycle de formations initié par son département, son secteur a enregistré "moins de laxisme" et "un plus d'exigence", ajoutant que l'Algérie était prête à accueillir plus de 1.000 journalistes étrangers, à condition d'être dans "l'exactitude".