Les lourdes présomptions d'intrusion de l'argent sale qui pèsent sur les prochaines législatives, suite aux dernières révélations de la presse ont amené naturellement Abdelwahab Derbal, à réagir. Invité hier à la radio, l'homme qui est censé assurer la "propreté" des élections reconnaît que son instance est bien confrontée à "quelques cas de fraude" au moment de la collecte des signatures. Les lourdes présomptions d'intrusion de l'argent sale qui pèsent sur les prochaines législatives, suite aux dernières révélations de la presse ont amené naturellement Abdelwahab Derbal, à réagir. Invité hier à la radio, l'homme qui est censé assurer la "propreté" des élections reconnaît que son instance est bien confrontée à "quelques cas de fraude" au moment de la collecte des signatures. Selon lui, les auteurs de ces fraudes et ceux encore impliqués dans le marchandage des candidatures sont débusqués, présentés à la justice et incarcérés. De qui s'agit-il ? Abdelwahab Derbal, visiblement très encombré par cette affaire ne donnera pas plus de détails. "En ce qui nous concerne, déclare-t-il, nous allons assurer la propreté des élections, en appliquant la loi et en faisant barrage à tous ceux qui chercheraient à être élus en usant de tous les moyens", tente-t-il de convaincre. Mais le président de la HIISE explique que son instance ne saurait assumer toute seule la mission de transparence et de régularité des élections, considérant que l'affaire est aussi celle du gouvernement et des partis politiques. C'est bien ces partis politiques qui sont montés au créneau le week-end dernier pour faire état de l'achat des voix. Louisa Hanoune, SG du Parti des travailleurs, Abdelmalek Bouchafa, premier secrétaire du FFS et M. Farhi du MDS ont dénoncé des "pratiques immorales." Si Abdelwahab Derbal réaffirme la détermination de son instance à faire respecter tant que faire se peut, le libre choix des électeurs, il n'en admet pas moins que le poids du passé risque encore de peser sur les prochaines éléctions, avouant humblement "on ne peut changer toutes les choses à la fois." Interrogé de savoir si l'instance qu'il préside a bénéficié des moyens propres à mener sa mission à bon port, il répond laconique qu'elle a "peu de moyens, pas tous les moyens". Il assure, cependant, qu'elle entend, malgré tout rester "indépendante" dans ses actions. Selon lui, les auteurs de ces fraudes et ceux encore impliqués dans le marchandage des candidatures sont débusqués, présentés à la justice et incarcérés. De qui s'agit-il ? Abdelwahab Derbal, visiblement très encombré par cette affaire ne donnera pas plus de détails. "En ce qui nous concerne, déclare-t-il, nous allons assurer la propreté des élections, en appliquant la loi et en faisant barrage à tous ceux qui chercheraient à être élus en usant de tous les moyens", tente-t-il de convaincre. Mais le président de la HIISE explique que son instance ne saurait assumer toute seule la mission de transparence et de régularité des élections, considérant que l'affaire est aussi celle du gouvernement et des partis politiques. C'est bien ces partis politiques qui sont montés au créneau le week-end dernier pour faire état de l'achat des voix. Louisa Hanoune, SG du Parti des travailleurs, Abdelmalek Bouchafa, premier secrétaire du FFS et M. Farhi du MDS ont dénoncé des "pratiques immorales." Si Abdelwahab Derbal réaffirme la détermination de son instance à faire respecter tant que faire se peut, le libre choix des électeurs, il n'en admet pas moins que le poids du passé risque encore de peser sur les prochaines éléctions, avouant humblement "on ne peut changer toutes les choses à la fois." Interrogé de savoir si l'instance qu'il préside a bénéficié des moyens propres à mener sa mission à bon port, il répond laconique qu'elle a "peu de moyens, pas tous les moyens". Il assure, cependant, qu'elle entend, malgré tout rester "indépendante" dans ses actions.