Le Premier ministre va dépêcher une inspection mixte composée de l'Inspection générale des finances, de l'Inspection générale des douanes et de l'Inspection générale de l'industrie qui se déplacera demain(aujourd'hui ndlr) ou, au plus tard, après-demain, sur les lieux. Le Premier ministre va dépêcher une inspection mixte composée de l'Inspection générale des finances, de l'Inspection générale des douanes et de l'Inspection générale de l'industrie qui se déplacera demain(aujourd'hui ndlr) ou, au plus tard, après-demain, sur les lieux. L'entreprise Tahkout manufacturing company (TMC), qui dispose d'une usine de montage de véhicules Hyundai à Tiaret, est peutêtre dans l'oeil du cyclone. En effet les soupçons de tricherie pèsent sur cette entreprise au point ou le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a décidé de dépêcher une commission d'enquête à Tiaret pour démêler le vrai du faux. Il y a quelques jours des photos publiées sur facebook montrant des containers de véhicules Hyundai importés en l'état et entièrement assemblés, ont suscité, en effet, l'ire des Algériens. Ce d'autant que d'autres photos montraient aussi des containers importés ramenant jusqu'à l'usine de Tiaret des roues qui seront ensuite montés sur place sur les véhicules importés. Une affaire qui a porté un sérieux coup à la crédibilité de la démarche du gouvernement qui a fait de la promotion de l'industrie automobile une de ses priorités. C'est pourquoi le gouvernement ne pouvait rester les bras croisés face à ce qui semble être un vrai scandale et se devait, par conséquent, de réagir. "Le Premier ministre va dépêcher une inspection mixte composée de l'Inspection générale des finances, de l'Inspection générale des douanes et de l'Inspection générale de l'industrie qui se déplacera demain(aujourd'hui ndlr) ou, au plus tard, après demain, sur les lieux" a ainsi indiqué, hier, le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdessalam Bouchouareb. Le représentant du gouvernement confirme ainsi les informations sur une commission d'enquête ordonnée par le Premier ministre. "Tahkout a signé le cahier des charges. La première inspection a donné lieu à un résultat positif. J'avais déjà signalé que ceux qui s'inscrivent dans le montage seront observés. Les conséquences seront tirées en cas de défaillance", a, en outre ajouté le ministre de l'Industrie. Le gouvernement a donc réagi avec célérité et cela atteste que cette affaire l'a grandement préoccupée. Le patron de TMC, Mahieddine Tahkout, est lui aussi monté au créneau pour se défendre. Il a ainsi fermement démenti ces informations. "Les gens n'arrivent pas à croire que l'Algérie va construire des voitures, qu'elle évolue et qu'elle fera le montage des véhicules tout en fabriquant des pièces de rechange", a déclaré le patron de Tahkout manufacturing company avant-hier sur une chaîne de télévision. Pour lui "ceux qui sont derrière ces rumeurs féroces sont connus". Pour lui, en effet, "ceux qui ont payé d'autres personnes pour faire cette déclaration mensongère sur Facebook sont connus, ce sont les ennemis de la réussite et de l'Algérie, ce sont des gens de la propagande. Ils n'ont rien à faire d'autre". Pour prouver sa bonne foi il les a invités à visiter l'usine de montage de Tiaret. "Nous avons un agrément et un cahier des charges que nous appliquons. Ils disent que je monte seulement les roues. C'est une propagande ! Comment ça ? Donc il ne manquerait plus que de faire le plein et de commercialiser la voiture" a-t-il tonné laissant éclater sa colère. L'entreprise Tahkout manufacturing company (TMC), qui dispose d'une usine de montage de véhicules Hyundai à Tiaret, est peutêtre dans l'oeil du cyclone. En effet les soupçons de tricherie pèsent sur cette entreprise au point ou le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a décidé de dépêcher une commission d'enquête à Tiaret pour démêler le vrai du faux. Il y a quelques jours des photos publiées sur facebook montrant des containers de véhicules Hyundai importés en l'état et entièrement assemblés, ont suscité, en effet, l'ire des Algériens. Ce d'autant que d'autres photos montraient aussi des containers importés ramenant jusqu'à l'usine de Tiaret des roues qui seront ensuite montés sur place sur les véhicules importés. Une affaire qui a porté un sérieux coup à la crédibilité de la démarche du gouvernement qui a fait de la promotion de l'industrie automobile une de ses priorités. C'est pourquoi le gouvernement ne pouvait rester les bras croisés face à ce qui semble être un vrai scandale et se devait, par conséquent, de réagir. "Le Premier ministre va dépêcher une inspection mixte composée de l'Inspection générale des finances, de l'Inspection générale des douanes et de l'Inspection générale de l'industrie qui se déplacera demain(aujourd'hui ndlr) ou, au plus tard, après demain, sur les lieux" a ainsi indiqué, hier, le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdessalam Bouchouareb. Le représentant du gouvernement confirme ainsi les informations sur une commission d'enquête ordonnée par le Premier ministre. "Tahkout a signé le cahier des charges. La première inspection a donné lieu à un résultat positif. J'avais déjà signalé que ceux qui s'inscrivent dans le montage seront observés. Les conséquences seront tirées en cas de défaillance", a, en outre ajouté le ministre de l'Industrie. Le gouvernement a donc réagi avec célérité et cela atteste que cette affaire l'a grandement préoccupée. Le patron de TMC, Mahieddine Tahkout, est lui aussi monté au créneau pour se défendre. Il a ainsi fermement démenti ces informations. "Les gens n'arrivent pas à croire que l'Algérie va construire des voitures, qu'elle évolue et qu'elle fera le montage des véhicules tout en fabriquant des pièces de rechange", a déclaré le patron de Tahkout manufacturing company avant-hier sur une chaîne de télévision. Pour lui "ceux qui sont derrière ces rumeurs féroces sont connus". Pour lui, en effet, "ceux qui ont payé d'autres personnes pour faire cette déclaration mensongère sur Facebook sont connus, ce sont les ennemis de la réussite et de l'Algérie, ce sont des gens de la propagande. Ils n'ont rien à faire d'autre". Pour prouver sa bonne foi il les a invités à visiter l'usine de montage de Tiaret. "Nous avons un agrément et un cahier des charges que nous appliquons. Ils disent que je monte seulement les roues. C'est une propagande ! Comment ça ? Donc il ne manquerait plus que de faire le plein et de commercialiser la voiture" a-t-il tonné laissant éclater sa colère.