Dans cette bataille électorale qui s'est engagée dimanche dernier, d'aucun s'interrogent sur les chances des candidats sans casquettes partisanes c'est-à-dire les indépendants. Dans cette bataille électorale qui s'est engagée dimanche dernier, d'aucun s'interrogent sur les chances des candidats sans casquettes partisanes c'est-à-dire les indépendants. Les listes indépendantes sont bel et bien présentes et, à l'instar de celles des partis politiques, comptent bien séduire les électeurs afin d'obtenir le maximum de sièges à l'assemblée populaire nationale (APN). Ainsi pas moins de 97 listes électorales indépendantes sont de la course pour briguer les 462 sièges de l'APN alors que les listes présentées par les partis politiques sont au nombre de 716 listes. Par ailleurs 125 listes électorales vont concourir sous l'égide des alliances comme c'est le cas de l'alliance du MSP avec le front du changement ou encore l'alliance de trois autres partis islamistes, en l'occurrence le FJD de Abdallah Djaballah, le mouvement Enahda et le mouvement El Bina. C'est dire combien les listes indépendantes sont noyées dans ce marais de listes partisanes. Un nombre qui atteste, en tout cas, de la difficulté pour les indépendants d'aller damer le pion aux partis politiques et gagner un nombre appréciable de sieges à la chambre basse du parlement. La partie sera difficle et ce ,d'autant que les partis politiques sont largement mieux outillés. Au contraire des candidats indépendants, ceux affiliés aux partis politiques peuvent compter sur la mobilisation des militants et sympathisants durant la campagne électorale. En somme l'ensemble de l'appareil du parti sera mis au service exclusif des candidats du parti. Autant dire que sur le plan de la logistique et des moyens financiers,la comparaison n'a pas lieu d'étre. Les forces en présence sont pour ainsi dire nettement incomparables. A quelques nuances,il est vrai car certaines listes indépendantes peuvent se distinguer du lot. En effet,certains candidats tètes de listes disposent certainement des moyens nécessaires, financiers et humains s'entend, pour pouvoir faire jeu égal avec les partis politiques. Cela en plus de l'aura dont il dispose qui pourrait servir leurs ambitions et séduire les électeurs de leur circonscription. Nombreux sont ceux parmi les candidats indépendants qui ont longtemps milité au sein des partis politiques avant de partir pour une raison ou pour une autre. De fait,ils sont aguerris puisque connaissant parfaitement les tenants et aboutissants de l'ensemble de l'opération électorale. Par le passé,certains indépendants ont même pu infliger de lourdes pertes à la liste électorale du parti qu'ils ont quitté. En sera –t-il de même pour les élections législatives du 4 mai prochain ? Nul ne peut prédire quel serait le score des indépendants même si certains observateurs se hasardent à dire que ce sera extrêmement difficile de faire mieux que lors des élections législatives de 2012. Lors des législatives de cette année là, les indépendants ont pu décrocher 18 sièges dont cinq pour des femmes. Les indépendants, avec 671190 voix, se sont classes en sixième position derrière le FLN, le RND l'alliance de l'Algérie verte, le FFS et le parti des travailleurs. Les indépendants avaient alors fait nettement moins bien que lors des élections législatives de 2007 ou, avec 33 sièges décrochés,ils sont arrivés en quatrième position derrière l'indétrônable FLN, le RND et le MSP. Autant dire qu'ils sont sur une courbe décroissante. Cette courbe va –t-elle se confirmer le 4 mai ? Les listes indépendantes sont bel et bien présentes et, à l'instar de celles des partis politiques, comptent bien séduire les électeurs afin d'obtenir le maximum de sièges à l'assemblée populaire nationale (APN). Ainsi pas moins de 97 listes électorales indépendantes sont de la course pour briguer les 462 sièges de l'APN alors que les listes présentées par les partis politiques sont au nombre de 716 listes. Par ailleurs 125 listes électorales vont concourir sous l'égide des alliances comme c'est le cas de l'alliance du MSP avec le front du changement ou encore l'alliance de trois autres partis islamistes, en l'occurrence le FJD de Abdallah Djaballah, le mouvement Enahda et le mouvement El Bina. C'est dire combien les listes indépendantes sont noyées dans ce marais de listes partisanes. Un nombre qui atteste, en tout cas, de la difficulté pour les indépendants d'aller damer le pion aux partis politiques et gagner un nombre appréciable de sieges à la chambre basse du parlement. La partie sera difficle et ce ,d'autant que les partis politiques sont largement mieux outillés. Au contraire des candidats indépendants, ceux affiliés aux partis politiques peuvent compter sur la mobilisation des militants et sympathisants durant la campagne électorale. En somme l'ensemble de l'appareil du parti sera mis au service exclusif des candidats du parti. Autant dire que sur le plan de la logistique et des moyens financiers,la comparaison n'a pas lieu d'étre. Les forces en présence sont pour ainsi dire nettement incomparables. A quelques nuances,il est vrai car certaines listes indépendantes peuvent se distinguer du lot. En effet,certains candidats tètes de listes disposent certainement des moyens nécessaires, financiers et humains s'entend, pour pouvoir faire jeu égal avec les partis politiques. Cela en plus de l'aura dont il dispose qui pourrait servir leurs ambitions et séduire les électeurs de leur circonscription. Nombreux sont ceux parmi les candidats indépendants qui ont longtemps milité au sein des partis politiques avant de partir pour une raison ou pour une autre. De fait,ils sont aguerris puisque connaissant parfaitement les tenants et aboutissants de l'ensemble de l'opération électorale. Par le passé,certains indépendants ont même pu infliger de lourdes pertes à la liste électorale du parti qu'ils ont quitté. En sera –t-il de même pour les élections législatives du 4 mai prochain ? Nul ne peut prédire quel serait le score des indépendants même si certains observateurs se hasardent à dire que ce sera extrêmement difficile de faire mieux que lors des élections législatives de 2012. Lors des législatives de cette année là, les indépendants ont pu décrocher 18 sièges dont cinq pour des femmes. Les indépendants, avec 671190 voix, se sont classes en sixième position derrière le FLN, le RND l'alliance de l'Algérie verte, le FFS et le parti des travailleurs. Les indépendants avaient alors fait nettement moins bien que lors des élections législatives de 2007 ou, avec 33 sièges décrochés,ils sont arrivés en quatrième position derrière l'indétrônable FLN, le RND et le MSP. Autant dire qu'ils sont sur une courbe décroissante. Cette courbe va –t-elle se confirmer le 4 mai ?