Le remplacement de l'actuel président de l'APN commence à agiter la sphère politique. Des noms sont pour le moment avancés pour la succession de Larbi Ould Khelifa. Le remplacement de l'actuel président de l'APN commence à agiter la sphère politique. Des noms sont pour le moment avancés pour la succession de Larbi Ould Khelifa. Le président de l'Assemblée sortant ne se présentera pas en raison de son état de santé. Installé depuis 2012, ce dernier n'aura pas à renouveler son mandat. On laisse du coup apparaître des noms qui, selon des indiscrétions, seraient dans le giron du FLN. Un journal a révélé le nom de Hadj Laib, tête de liste du FLN à Batna et sénateur du tiers présidentiel, un candidat de taille pour succéder à Ould Khelifa. Un nom qui reste inconnu mais qui a de fortes chances d'être introduit au cénacle vu sa proximité avec le Président. Toutefois, on spécule aussi sur le nom de Sid-Ahmed Ferroukhi, tête de liste du FLN à Alger qui, dit-on, bénéficie d'une sympathie dans les rangs du FLN et même au sein de certains clans de partis politiques. Le troisième nom avancé sur l'échiquier est celui de Ghania Eddalia, ministre actuelle des Relations avec le Parlement et qui a remporté une large victoire à Blida où elle était tête de liste. Ce sera vraiment une surprise si une femme devait présider le Parlement qui n'a vu pour l'heure aucune femme le faire. A signaler que ces deux candidats précités ont occupé des portefeuilles ministérielles dans le gouvernement Sellal et qu'ils incarnent tous deux un profil de "jeunes battants" face au personnel politique vieillissant. D'autre part, la nomination du troisième homme de l'Etat n'obéit pas au seul critère administratif. Le FLN et le RND, qui représentent les forces premières de la chambre basse, imposeront également leurs fidèles à ce poste très convoité après chaque élection législative. Le Président Bouteflika dispose aussi d'une marge de manoeuvre pour nommer celui qui aura à gérer le mandat électif de la chambre basse. Il se pourrait dans cette lutte intestine que la future tête de l'APN soit plus jeune et technocrate. Mais cela reste une supputation face à une succession de tout repos. Idem pour le gouvernement où l'on parle du remplacement de Sellal à la tête du gouvernement depuis septembre 2012. On parle dès lors de Abdesslam Bouchouareb, ministre actuel de l'Industrie et qui reste le plus fidèle à Ouyahia. Un autre nom qui circule actuellement est celui de Abdemadjid Tebboune, qui en technocrate avisé ayant cumulé plusieurs postes au gouvernement a l'avantage de ne pas avoir de couleur politique. Le Président a toujours misé sur cet homme politique disposant d'une grande capacité de travail et qui n'a pas déçu pour le moment. Le président de l'Assemblée sortant ne se présentera pas en raison de son état de santé. Installé depuis 2012, ce dernier n'aura pas à renouveler son mandat. On laisse du coup apparaître des noms qui, selon des indiscrétions, seraient dans le giron du FLN. Un journal a révélé le nom de Hadj Laib, tête de liste du FLN à Batna et sénateur du tiers présidentiel, un candidat de taille pour succéder à Ould Khelifa. Un nom qui reste inconnu mais qui a de fortes chances d'être introduit au cénacle vu sa proximité avec le Président. Toutefois, on spécule aussi sur le nom de Sid-Ahmed Ferroukhi, tête de liste du FLN à Alger qui, dit-on, bénéficie d'une sympathie dans les rangs du FLN et même au sein de certains clans de partis politiques. Le troisième nom avancé sur l'échiquier est celui de Ghania Eddalia, ministre actuelle des Relations avec le Parlement et qui a remporté une large victoire à Blida où elle était tête de liste. Ce sera vraiment une surprise si une femme devait présider le Parlement qui n'a vu pour l'heure aucune femme le faire. A signaler que ces deux candidats précités ont occupé des portefeuilles ministérielles dans le gouvernement Sellal et qu'ils incarnent tous deux un profil de "jeunes battants" face au personnel politique vieillissant. D'autre part, la nomination du troisième homme de l'Etat n'obéit pas au seul critère administratif. Le FLN et le RND, qui représentent les forces premières de la chambre basse, imposeront également leurs fidèles à ce poste très convoité après chaque élection législative. Le Président Bouteflika dispose aussi d'une marge de manoeuvre pour nommer celui qui aura à gérer le mandat électif de la chambre basse. Il se pourrait dans cette lutte intestine que la future tête de l'APN soit plus jeune et technocrate. Mais cela reste une supputation face à une succession de tout repos. Idem pour le gouvernement où l'on parle du remplacement de Sellal à la tête du gouvernement depuis septembre 2012. On parle dès lors de Abdesslam Bouchouareb, ministre actuel de l'Industrie et qui reste le plus fidèle à Ouyahia. Un autre nom qui circule actuellement est celui de Abdemadjid Tebboune, qui en technocrate avisé ayant cumulé plusieurs postes au gouvernement a l'avantage de ne pas avoir de couleur politique. Le Président a toujours misé sur cet homme politique disposant d'une grande capacité de travail et qui n'a pas déçu pour le moment.