Rien ne va plus dans la maison RCD. De déboires en déboires, le Rassemblement pour la culture et la démocratie s'enlise dans une crise sans précédent, ces derniers temps. Sorti des dernières élections législatives avec un résultat pompeusement présenté comme une victoire alors qu'en réalité, le RCD, a même reculé dans son propre fief traditionnel en comparaison aux précédentes législatives. Rien ne va plus dans la maison RCD. De déboires en déboires, le Rassemblement pour la culture et la démocratie s'enlise dans une crise sans précédent, ces derniers temps. Sorti des dernières élections législatives avec un résultat pompeusement présenté comme une victoire alors qu'en réalité, le RCD, a même reculé dans son propre fief traditionnel en comparaison aux précédentes législatives. Le départ de Noredine Ait Hammouda, considéré comme l'un des cadres le plus écouté et le plus médiatisé, a fait couler beaucoup d'encre. Mais aussi, a fait basculer et déstabiliser les structures du parti. Pour ce qui est des dernières élections législatives, la confection des listes, leur préparation, faites dans des conditions opaques où seul le copinage a gouverné, pour services rendus et allégeance aux chefs, a vu retenir des noms pour la candidature et cela a soulevé un vent de colère dans le parti jusqu'à provoquer des démissions en chaîne. Le parti s'est vidé de ses cadres. Il s'est définitivement débarrassé de tous les membres fondateurs du parti, qui était présenté dans les années 90, comme un parti démocrate et moderniste. Des cadres qui, après quelques années de militantisme démocratique, ont quitté la mort dans l'âme le parti, pour ne laisser du RCD que ses glorieuses initiales. Cette fois encore, c'est un autre cadre qui a décidé de claquer la porte. De qui s'agit-il ? Tout simplement du président de l'Assemblée Populaire Communale (APC) de Tizi Ouzou, M. Ouahab Ait Menguellet. L'annonce a été faite au cours d'un point de presse animé, hier mercredi au siège de la mairie. Même si cette dernière était dans l'air depuis plusieurs semaines après avoir été écarté des listes des candidats aux dernières législatives. Le démissionnaire affirme avoir pris cette décision avec chagrin et sous la contrainte tout en qualifiant de «cruelle». Mais il souligne que «cet acte solennel» qu'il a voulu «à la hauteur de la gravité de la démission». Ouahab Ait Menguellet dit avoir toujours considéré «la création du RCD» comme «l'aboutissement d'un combat juste des générations antérieures» d'où «son adhésion y était naturelle, volontaire voire impérieuse pour apporter ma contribution à l'oeuvre». Ait Menguellet avait, en effet, pris ses distances avec son parti depuis l'annonce de la liste des candidats aux dernières législatives dans la wilaya de Tizi Ouzou, dont il critique le choix des candidats allant jusqu'à accuser son parti d'avoir élaboré la liste des candidatures «grâce aux sacs d'argent». Le Rassemblement pour la culture et la démocratie est en perte de vitesse. Décidément, c'est la descente aux enfers ! Le départ de Noredine Ait Hammouda, considéré comme l'un des cadres le plus écouté et le plus médiatisé, a fait couler beaucoup d'encre. Mais aussi, a fait basculer et déstabiliser les structures du parti. Pour ce qui est des dernières élections législatives, la confection des listes, leur préparation, faites dans des conditions opaques où seul le copinage a gouverné, pour services rendus et allégeance aux chefs, a vu retenir des noms pour la candidature et cela a soulevé un vent de colère dans le parti jusqu'à provoquer des démissions en chaîne. Le parti s'est vidé de ses cadres. Il s'est définitivement débarrassé de tous les membres fondateurs du parti, qui était présenté dans les années 90, comme un parti démocrate et moderniste. Des cadres qui, après quelques années de militantisme démocratique, ont quitté la mort dans l'âme le parti, pour ne laisser du RCD que ses glorieuses initiales. Cette fois encore, c'est un autre cadre qui a décidé de claquer la porte. De qui s'agit-il ? Tout simplement du président de l'Assemblée Populaire Communale (APC) de Tizi Ouzou, M. Ouahab Ait Menguellet. L'annonce a été faite au cours d'un point de presse animé, hier mercredi au siège de la mairie. Même si cette dernière était dans l'air depuis plusieurs semaines après avoir été écarté des listes des candidats aux dernières législatives. Le démissionnaire affirme avoir pris cette décision avec chagrin et sous la contrainte tout en qualifiant de «cruelle». Mais il souligne que «cet acte solennel» qu'il a voulu «à la hauteur de la gravité de la démission». Ouahab Ait Menguellet dit avoir toujours considéré «la création du RCD» comme «l'aboutissement d'un combat juste des générations antérieures» d'où «son adhésion y était naturelle, volontaire voire impérieuse pour apporter ma contribution à l'oeuvre». Ait Menguellet avait, en effet, pris ses distances avec son parti depuis l'annonce de la liste des candidats aux dernières législatives dans la wilaya de Tizi Ouzou, dont il critique le choix des candidats allant jusqu'à accuser son parti d'avoir élaboré la liste des candidatures «grâce aux sacs d'argent». Le Rassemblement pour la culture et la démocratie est en perte de vitesse. Décidément, c'est la descente aux enfers !