Malgré la mesure de désactivation de la 3G et la 4G, utilisée par les fraudeurs, les sujets de mathématiques, de langue arabe, se sont encore retrouvés sur les réseaux sociaux, à peine un quart d'heure après le début des épreuves. Malgré la mesure de désactivation de la 3G et la 4G, utilisée par les fraudeurs, les sujets de mathématiques, de langue arabe, se sont encore retrouvés sur les réseaux sociaux, à peine un quart d'heure après le début des épreuves. Meziane Mériane, leader du Snapest, se dit "scandalisé" par ce qui arrive, tout en défendant les enseignants contre les accusations portées contre eux. "Il n'y a pas de fuites à proprement parler, mais on constate encore aujourd'hui, au deuxième jour de l'examen, que les sujets sont publiés sur les réseaux sociaux, à peine un quart d'heure après leur distribution aux candidats" déplore Méziane Mériane qui se demande "à qui profite le crime, qui est à l'origine de cette action criminelle." Face à l'échec avéré du dispositif mis en place par le ministère de l'Education en partenariat avec le MDN et la DGSN, Mériane propose une alternative plus radicale. "Moi je propose qu'on compare les notes obtenues par les candidats durant l'année scolaire à celles de l'examen. Celui qui a l'habitude d'avoir des mauvaises notes en classe ne peut pas par miracle, devenir un génie le jour de l'examen", détaille-t-il, ajoutant que cette comparaison servira de point d'appui à une enquête pour "identifier le réseau." Car le patron du Snapest est convaincu que "c'est un réseau organisé qui est derrière ces fuites et qui vend les sujets". En revanche, il s'insurge contre les accusations portées contre les enseignants comme étant les responsables des fuites. "Il faut arrêter d'incriminer les enseignants. La triche n'intervient pas au niveau des salles d'examens, mais au niveau des secrétariats où les personnels en charge de la répartition des sujets ont la latitude de photographier puis de balancer sur le Net, de recevoir et rédiger des réponses, de remplacer la copie du candidat ou des candidats en déchirant la première." Méziane Mériane appelle à une commission d'enquête "mais pas une commission d'enquête folklorique", précise-t-il, pour "en finir avec ces scénarios qui font de notre pays la risée." Enfin, Mériane estime que "pour l'année dernière si l'objectif des fraudeurs étaient de tailler des croupières à la ministre de l'Education, cette année le but c'est uniquement le copiage." Meziane Mériane, leader du Snapest, se dit "scandalisé" par ce qui arrive, tout en défendant les enseignants contre les accusations portées contre eux. "Il n'y a pas de fuites à proprement parler, mais on constate encore aujourd'hui, au deuxième jour de l'examen, que les sujets sont publiés sur les réseaux sociaux, à peine un quart d'heure après leur distribution aux candidats" déplore Méziane Mériane qui se demande "à qui profite le crime, qui est à l'origine de cette action criminelle." Face à l'échec avéré du dispositif mis en place par le ministère de l'Education en partenariat avec le MDN et la DGSN, Mériane propose une alternative plus radicale. "Moi je propose qu'on compare les notes obtenues par les candidats durant l'année scolaire à celles de l'examen. Celui qui a l'habitude d'avoir des mauvaises notes en classe ne peut pas par miracle, devenir un génie le jour de l'examen", détaille-t-il, ajoutant que cette comparaison servira de point d'appui à une enquête pour "identifier le réseau." Car le patron du Snapest est convaincu que "c'est un réseau organisé qui est derrière ces fuites et qui vend les sujets". En revanche, il s'insurge contre les accusations portées contre les enseignants comme étant les responsables des fuites. "Il faut arrêter d'incriminer les enseignants. La triche n'intervient pas au niveau des salles d'examens, mais au niveau des secrétariats où les personnels en charge de la répartition des sujets ont la latitude de photographier puis de balancer sur le Net, de recevoir et rédiger des réponses, de remplacer la copie du candidat ou des candidats en déchirant la première." Méziane Mériane appelle à une commission d'enquête "mais pas une commission d'enquête folklorique", précise-t-il, pour "en finir avec ces scénarios qui font de notre pays la risée." Enfin, Mériane estime que "pour l'année dernière si l'objectif des fraudeurs étaient de tailler des croupières à la ministre de l'Education, cette année le but c'est uniquement le copiage."