"La lutte contre la corruption n'est pas une campagne conjoncturelle, mais un travail mené sur le terrain au quotidien avec la participation de tous les secteurs de l'Etat", a indiqué, avant-hier jeudi, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh. "La lutte contre la corruption n'est pas une campagne conjoncturelle, mais un travail mené sur le terrain au quotidien avec la participation de tous les secteurs de l'Etat", a indiqué, avant-hier jeudi, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh. Il a souligné que l'action publique a déjà été "mise en mouvementconcernant plusieurs affaires de corruptionet la Justice suit son cours". Le ministre s'exprimait dans une allocution en marge de la cérémonie d'installation de Brahim Kherrabi en qualité de procureur général près la cour de Tipasa. Pour Louh, "la lutte ne se limite pas à l'aspect répressif, mais repose aussi sur la transparence dans la gestion des affaires publiques" tout en soulignant la nécessité de relancer la loi relative à la déclaration de patrimoine et d'associer les citoyens à la lutte contre ce fléau. Dans le même sillage, le ministre a rappelé que durant la période allant de2013 à 2016, les juridictions compétentesont été saisies de 3.405 affaires de corruption qualifiées de "dangereuses" et les ministère publics ont mis en mouvement l'action publique contre les auteurs de "faits graves". Il a souligné que l'action publique a déjà été "mise en mouvementconcernant plusieurs affaires de corruptionet la Justice suit son cours". Le ministre s'exprimait dans une allocution en marge de la cérémonie d'installation de Brahim Kherrabi en qualité de procureur général près la cour de Tipasa. Pour Louh, "la lutte ne se limite pas à l'aspect répressif, mais repose aussi sur la transparence dans la gestion des affaires publiques" tout en soulignant la nécessité de relancer la loi relative à la déclaration de patrimoine et d'associer les citoyens à la lutte contre ce fléau. Dans le même sillage, le ministre a rappelé que durant la période allant de2013 à 2016, les juridictions compétentesont été saisies de 3.405 affaires de corruption qualifiées de "dangereuses" et les ministère publics ont mis en mouvement l'action publique contre les auteurs de "faits graves".