Le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Hassan Mermouri, a annoncé hier l'arrêt définitif de l'opération d'expansion des zones touristiques et le réexamen des dossiers des projets déjà lancés. Le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Hassan Mermouri, a annoncé hier l'arrêt définitif de l'opération d'expansion des zones touristiques et le réexamen des dossiers des projets déjà lancés. Il existe près de "225 zones d'expansion touristiques en Algérie. Certaines de ces zones ont bénéficié du plan d'aménagement. D'autres zones, de l'ordre 24, sont déjà entrées en exploitation. Mais ce qu'il faut dire, c'est que ces zones d'expansion subissent des transgressions de la part des citoyens, des hommes d'affaires et parfois de certains organismes", a-t-il expliqué lors d'un entretien accordé à une chaine de télévision privée. "La décision que nous avons prise est de mettre un terme à cela. Il faut au minimum préserver ce qui reste (de ces zones d'expansion). Par la suite, une étude au cas par cas sera faite", a-t-il révélé. Ce n'est pas tout : le nouveau ministre veut s'attaquer aussi aux retards accusés dans les projets d'aménagement des complexes étatiques. Pour M. Mermouri, l'absence de main d'oeuvre qualifiée dans ce domaine est une raison valable à ces retards. Toutefois, elle ne "les justifie pas". "Il reste 9 complexes où les travaux n'ont pas été entamés. Quand on voit que l'année de l'opération d'aménagement date de 2011, on se pose de nombreuses questions (...) Il y a parfois des raisons objectives, notamment l'absence d'entreprises spécialisées dans ce domaine (...) Mais cela ne justifie pas le grand retard de six ans", a-t-il pointé. Premier salon de l'investissement touristique et des équipement Quelque 250 participants locaux et étrangers prendront part au premier Salon international de l'investissement touristique et des équipements, prévu du 27 au 30 septembre au Palais des expositions des pins maritimes à Alger, ont annoncé hier à Alger les organisateurs. Organisé par le groupe Touba Tourisme en collaboration avec des organismes du secteur du tourisme, cette manifestation qui vise à "promouvoir l'investissement touristique", verra la participation d'opérateurs et de professionnels de plusieurs pays qui ont de grandes traditions touristiques, à l'instar de l'Espagne, l'Italie, la Tunisie, le Maroc, la Turquie, la Chine, la Pologne et la Grèce. Selon les organisateurs, ce salon vise la promotion et le développement de la filière touristique à travers la relance de l'investissement et de la valorisation du potentiel touristique existant. Le directeur général du groupe Touba tourisme, Ayache Salim, a souligné dans une déclaration à l'APS "l'importance de l'organisation de ce salon qui entre dans le cadre de la promotion et le développement du tourisme, afin de lui donner un nouvel élan et de valoriser le potentiel touristique dont dispose l'Algérie" . A cet effet, M. Ayache a indiqué que "cet évènement sera un véritable lieu de rencontre et d'échange, regroupant tous les acteurs activant dans le domaine du tourisme pour évoquer et étudier les moyens et mécanismes à mettre en place visant sa promotion, et ce, à travers la réalisation de nouvelles infrastructures touristiques (hôtels, parcs aquatiques, parcs de camping et de loisirs), l'amélioration des prestations des services et de la décoration et du design". Le même responsable considère que la formation dans le domaine du tourisme à savoir la restauration, l'accueil et l'hôtellerie, demeure "plus que nécessaire pour assurer aux clients de meilleures prestations de service". Une conférence nationale portant sur des thématiques qui appréhendent les problématiques de la filière touristique et les réponses adaptées aux contraintes et difficultés posées au développement du potentiel touristique, est prévue en marge du salon. Par ailleurs, ce salon sera selon les explications des organisateurs, une "opportunité" afin de réunir les acteurs nationaux et internationaux de la filière touristique pour discuter notamment de l'aménagement et de la réalisation des complexes touristiques (hôtels, parcs d'attraction, prestations de design, décoration...). Ils prévoient une forte participation des aménageurs et réalisateurs d'infrastructures touristiques et de producteurs d'équipements dans l'ameublement, restauration et la cuisine. Selon M. Ayachi, cette démarche est inspirée par les orientations des pouvoirs publics reposant sur la nouvelle stratégie d'aménagement touristique à l'horizon 2030 fondée sur la valorisation de la destination Algérie, le développement de l'offre par l'investissement ainsi que le renforcement du partenariat public et privé. A rappeler que l'Algérie dispose d'un parc hôtelier de 1.199 établissements, totalisant une capacité de 104.24 lits dont 65 établissements relevant du secteur public avec une capacité de 18.163 lits, qui font l'objet d'une opération de réhabilitation et de modernisation. Quelque 1.600 projets touristiques au niveau national ont été agréés par le ministèredu tourisme avec une capacité deplus de 200.000 lits (d'un coût de 747milliards de DA), alors qu'actuellement550 projets sont en cours de réalisation d'une capacité de 77.793 lits et un coût de 248 milliards DA. Il existe près de "225 zones d'expansion touristiques en Algérie. Certaines de ces zones ont bénéficié du plan d'aménagement. D'autres zones, de l'ordre 24, sont déjà entrées en exploitation. Mais ce qu'il faut dire, c'est que ces zones d'expansion subissent des transgressions de la part des citoyens, des hommes d'affaires et parfois de certains organismes", a-t-il expliqué lors d'un entretien accordé à une chaine de télévision privée. "La décision que nous avons prise est de mettre un terme à cela. Il faut au minimum préserver ce qui reste (de ces zones d'expansion). Par la suite, une étude au cas par cas sera faite", a-t-il révélé. Ce n'est pas tout : le nouveau ministre veut s'attaquer aussi aux retards accusés dans les projets d'aménagement des complexes étatiques. Pour M. Mermouri, l'absence de main d'oeuvre qualifiée dans ce domaine est une raison valable à ces retards. Toutefois, elle ne "les justifie pas". "Il reste 9 complexes où les travaux n'ont pas été entamés. Quand on voit que l'année de l'opération d'aménagement date de 2011, on se pose de nombreuses questions (...) Il y a parfois des raisons objectives, notamment l'absence d'entreprises spécialisées dans ce domaine (...) Mais cela ne justifie pas le grand retard de six ans", a-t-il pointé. Premier salon de l'investissement touristique et des équipement Quelque 250 participants locaux et étrangers prendront part au premier Salon international de l'investissement touristique et des équipements, prévu du 27 au 30 septembre au Palais des expositions des pins maritimes à Alger, ont annoncé hier à Alger les organisateurs. Organisé par le groupe Touba Tourisme en collaboration avec des organismes du secteur du tourisme, cette manifestation qui vise à "promouvoir l'investissement touristique", verra la participation d'opérateurs et de professionnels de plusieurs pays qui ont de grandes traditions touristiques, à l'instar de l'Espagne, l'Italie, la Tunisie, le Maroc, la Turquie, la Chine, la Pologne et la Grèce. Selon les organisateurs, ce salon vise la promotion et le développement de la filière touristique à travers la relance de l'investissement et de la valorisation du potentiel touristique existant. Le directeur général du groupe Touba tourisme, Ayache Salim, a souligné dans une déclaration à l'APS "l'importance de l'organisation de ce salon qui entre dans le cadre de la promotion et le développement du tourisme, afin de lui donner un nouvel élan et de valoriser le potentiel touristique dont dispose l'Algérie" . A cet effet, M. Ayache a indiqué que "cet évènement sera un véritable lieu de rencontre et d'échange, regroupant tous les acteurs activant dans le domaine du tourisme pour évoquer et étudier les moyens et mécanismes à mettre en place visant sa promotion, et ce, à travers la réalisation de nouvelles infrastructures touristiques (hôtels, parcs aquatiques, parcs de camping et de loisirs), l'amélioration des prestations des services et de la décoration et du design". Le même responsable considère que la formation dans le domaine du tourisme à savoir la restauration, l'accueil et l'hôtellerie, demeure "plus que nécessaire pour assurer aux clients de meilleures prestations de service". Une conférence nationale portant sur des thématiques qui appréhendent les problématiques de la filière touristique et les réponses adaptées aux contraintes et difficultés posées au développement du potentiel touristique, est prévue en marge du salon. Par ailleurs, ce salon sera selon les explications des organisateurs, une "opportunité" afin de réunir les acteurs nationaux et internationaux de la filière touristique pour discuter notamment de l'aménagement et de la réalisation des complexes touristiques (hôtels, parcs d'attraction, prestations de design, décoration...). Ils prévoient une forte participation des aménageurs et réalisateurs d'infrastructures touristiques et de producteurs d'équipements dans l'ameublement, restauration et la cuisine. Selon M. Ayachi, cette démarche est inspirée par les orientations des pouvoirs publics reposant sur la nouvelle stratégie d'aménagement touristique à l'horizon 2030 fondée sur la valorisation de la destination Algérie, le développement de l'offre par l'investissement ainsi que le renforcement du partenariat public et privé. A rappeler que l'Algérie dispose d'un parc hôtelier de 1.199 établissements, totalisant une capacité de 104.24 lits dont 65 établissements relevant du secteur public avec une capacité de 18.163 lits, qui font l'objet d'une opération de réhabilitation et de modernisation. Quelque 1.600 projets touristiques au niveau national ont été agréés par le ministèredu tourisme avec une capacité deplus de 200.000 lits (d'un coût de 747milliards de DA), alors qu'actuellement550 projets sont en cours de réalisation d'une capacité de 77.793 lits et un coût de 248 milliards DA.