Plusieurs immeubles, datant de l'ère coloniale, seront concernés par la démolition. Les centres de contrôle technique les ont déjà classés orange ou rouge. Les vieux immeubles vivent leurs derniers instants. Dans plusieurs quartiers de la capitale, le programme de résorption de l'habitat précaire lancé par le ministère de l'Habitat touchera bientôt une centaine d'immeubles qui seront démolis. Plusieurs immeubles, datant de l'ère coloniale, seront concernés par la démolition. Les centres de contrôle technique les ont déjà classés orange ou rouge. Les vieux immeubles vivent leurs derniers instants. Dans plusieurs quartiers de la capitale, le programme de résorption de l'habitat précaire lancé par le ministère de l'Habitat touchera bientôt une centaine d'immeubles qui seront démolis. Selon une source de la wilaya d'Alger "les vieux immeubles situés à Bouzaréah, El Hamma, Belcourt et El Harrach seront démolies car ils présentent un risque d'effondrement". L'opération de diagnostic entamée par le service d'urbanisme de la wilaya, le CTC Sud et le Bureau d'étude et d'évaluation du vieux bâti ont décidé de "démolir les habitations qui datent de près de 100 ans car leur consolidation n'est pas plus possible". D'ores et déjà, le programme d'évacuation de ces habitations sera coordonné par les autorités en charge du dossier. Le CTC avait, depuis 2 ans, signalé des cas de fissures et d'effritement de vieux immeubles en les classant en rouge, c'est-à-dire à évacuer dans l'urgence. Les habitations sont donc évaluées au cas par cas selon l'importance de la dégradation assure-t-on du côté du CTC. Dans certains quartiers du centre-ville, quelques opérations de restauration ont été réalisées mais pour d'autres habitations comme par exemple à la rue Tanger et la rue Debbih-Chérif, les habitations datant de 1925 et 1930 ont été évacués il y a quelques semaines suite au constat relevé par les services techniques sur leur dégradations avancées. On peut d'ailleurs apercevoir les murs lézardés et les plafonds dénudés suite aux infiltrations d'eaux dans ces habitations. Les services de l'urbanisme en partenariat avec le CTC se sont mis d'accord pour une évacuation totale avant la fin de l'année pour ce quiest des cas critiques de ces immeubles. On apprend que la commission ministérielle de l'habitat s'est jointe pour établir des inspections suite aux plaintes de certains habitants au quartier d'El Hamma et toutle pourtour jusqu'à la place du 1er-Mai pour relever les incohérences constatéesdans la restauration de ces sites. Ces sitesà proximité de la gare ferroviaires ont été usés par le temps. Ils peuvent menacerruine à tout moment. La poursuite del'opération de démolition va donc se poursuivrejusqu'au dernier trimestre de l'année 2017 et qui concerne d'autres quartiers notamment à Aïn-Benian, Hammamet,Bab El-Oued dans son versant à proximitéde la façade maritime. A l'est de la capitale, les vieux immeubles des circonscriptions de Baraki, Bordj El-Bahri etSouidania seront concernés par ladémolition suite à leur classement enrouge. En attendant le relogement de ces populations, les services de la wilaya d'Alger sont en train de finaliser les retouches pour une évacuation qui en principe doit se dérouler tout au long de cet été et ce jusqu'à la fin de l'année selonle ministère de l'Habitat et la wilaya d'Alger. Selon une source de la wilaya d'Alger "les vieux immeubles situés à Bouzaréah, El Hamma, Belcourt et El Harrach seront démolies car ils présentent un risque d'effondrement". L'opération de diagnostic entamée par le service d'urbanisme de la wilaya, le CTC Sud et le Bureau d'étude et d'évaluation du vieux bâti ont décidé de "démolir les habitations qui datent de près de 100 ans car leur consolidation n'est pas plus possible". D'ores et déjà, le programme d'évacuation de ces habitations sera coordonné par les autorités en charge du dossier. Le CTC avait, depuis 2 ans, signalé des cas de fissures et d'effritement de vieux immeubles en les classant en rouge, c'est-à-dire à évacuer dans l'urgence. Les habitations sont donc évaluées au cas par cas selon l'importance de la dégradation assure-t-on du côté du CTC. Dans certains quartiers du centre-ville, quelques opérations de restauration ont été réalisées mais pour d'autres habitations comme par exemple à la rue Tanger et la rue Debbih-Chérif, les habitations datant de 1925 et 1930 ont été évacués il y a quelques semaines suite au constat relevé par les services techniques sur leur dégradations avancées. On peut d'ailleurs apercevoir les murs lézardés et les plafonds dénudés suite aux infiltrations d'eaux dans ces habitations. Les services de l'urbanisme en partenariat avec le CTC se sont mis d'accord pour une évacuation totale avant la fin de l'année pour ce quiest des cas critiques de ces immeubles. On apprend que la commission ministérielle de l'habitat s'est jointe pour établir des inspections suite aux plaintes de certains habitants au quartier d'El Hamma et toutle pourtour jusqu'à la place du 1er-Mai pour relever les incohérences constatéesdans la restauration de ces sites. Ces sitesà proximité de la gare ferroviaires ont été usés par le temps. Ils peuvent menacerruine à tout moment. La poursuite del'opération de démolition va donc se poursuivrejusqu'au dernier trimestre de l'année 2017 et qui concerne d'autres quartiers notamment à Aïn-Benian, Hammamet,Bab El-Oued dans son versant à proximitéde la façade maritime. A l'est de la capitale, les vieux immeubles des circonscriptions de Baraki, Bordj El-Bahri etSouidania seront concernés par ladémolition suite à leur classement enrouge. En attendant le relogement de ces populations, les services de la wilaya d'Alger sont en train de finaliser les retouches pour une évacuation qui en principe doit se dérouler tout au long de cet été et ce jusqu'à la fin de l'année selonle ministère de l'Habitat et la wilaya d'Alger.