Le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès, s'en est pris avec véhémence à l'opposition. En tout cas les voix qui invoquent la nécessité d'appliquer l'article 102 de la Constitution, où il est question de destitution du président, ont été les principales cibles du chef de file du FLN. Le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès, s'en est pris avec véhémence à l'opposition. En tout cas les voix qui invoquent la nécessité d'appliquer l'article 102 de la Constitution, où il est question de destitution du président, ont été les principales cibles du chef de file du FLN. "Ce qui se dit actuellement nous rappelle les déclarations faites durant l'été 1998 notamment dans la presse. Il y a du copié collé. Mais cela ne nous inquiète pas, cela me fait même rire. C'était avec Zeroual, mais celui qui ne connaît pas Bouteflika se trompe. Zeroual a démissionné après trois mois de déclarations. Certains veulent rééditer le scénario de 1998", a-t-il accusé, ce lundi 4 septembre au siège duConseil de la Nation à Alger,en marge de l'ouverture de lanouvelle session parlementaire. "Le président Bouteflika vabien", a lancé Ould Abbès auxjournalistes. Est-il en bonnesanté ? "Sa santé est ordinaire.Si vous dites bonne, vousouvrez la voie au doute. Je ledis et le répète en tant quemédecin, sa santé est ordin ire.Il assume pleinementses responsabilités en tant quepremier magistrat du paysd'une manière normale", a-t-ilappuyé. Le SG du FLN a citél'exemple du président américainFranklin Roosevelt."Roosevelt a assuré troismandats présidentiels et demiassissur un fauteuil roulant.Pourquoi vous ne le rappelezpas ? C'est Roosevelt qui asigné les accords de Yalta(février 1945) avec Staline etChurchill", a-t-il comparé."Faites votre travail. Le présidentfait son travail. Mais,laissez le président tranquille !Qui gère le pays, qui désignele gouvernement, qui signeles textes ? C'est le présidentde la République", a-t-il répliqué lorsque les journalistes l'ont nterpellé. "Ce qui se dit actuellement nous rappelle les déclarations faites durant l'été 1998 notamment dans la presse. Il y a du copié collé. Mais cela ne nous inquiète pas, cela me fait même rire. C'était avec Zeroual, mais celui qui ne connaît pas Bouteflika se trompe. Zeroual a démissionné après trois mois de déclarations. Certains veulent rééditer le scénario de 1998", a-t-il accusé, ce lundi 4 septembre au siège duConseil de la Nation à Alger,en marge de l'ouverture de lanouvelle session parlementaire. "Le président Bouteflika vabien", a lancé Ould Abbès auxjournalistes. Est-il en bonnesanté ? "Sa santé est ordinaire.Si vous dites bonne, vousouvrez la voie au doute. Je ledis et le répète en tant quemédecin, sa santé est ordin ire.Il assume pleinementses responsabilités en tant quepremier magistrat du paysd'une manière normale", a-t-ilappuyé. Le SG du FLN a citél'exemple du président américainFranklin Roosevelt."Roosevelt a assuré troismandats présidentiels et demiassissur un fauteuil roulant.Pourquoi vous ne le rappelezpas ? C'est Roosevelt qui asigné les accords de Yalta(février 1945) avec Staline etChurchill", a-t-il comparé."Faites votre travail. Le présidentfait son travail. Mais,laissez le président tranquille !Qui gère le pays, qui désignele gouvernement, qui signeles textes ? C'est le présidentde la République", a-t-il répliqué lorsque les journalistes l'ont nterpellé.