Le secrétaire général du parti du FLN est de nouveau dans l'oeil du cyclone. Djamal Ould Abbès subit en effet de multiples attaques ces nderniers jours. Le secrétaire général du parti du FLN est de nouveau dans l'oeil du cyclone. Djamal Ould Abbès subit en effet de multiples attaques ces nderniers jours. Des attaques qui semblent coordonnées. Tour à tour, en effet, Salah Goudjil, Abdelkrim Abada et Abderrahmane Belayat sont montés au créneau pour épingler le chef de file du FLN. Ces trois personnalités veulent la tête de Djamal Ould Abbès. Ils revendiquent sa destitution et l'installation d'une instance de transition jusqu'a la tenue d'un congrès extraordinaire. Pour ce faire ils ont même lancé un appel dans ce sens en direction du président du parti, qui n'est autre que le président de la république, Abdelaziz Bouteflika. « Nous avons dit qu'il y a nécessité impérieuse de changer la tête du FLN. Nous avons fait part de notre proposition d'une direction transitoire au chef de l'Etat dans laquelle il aura son représentant personnel», a indiqué Belayat dans une déclaration à un journal électronique. "Nous avons fait appel au président de la République qui n'est autre que le président du FLN, afin qu'il puisse intervenir. Il faut évincer Djamel Ould Abbès. Il faut nommer un nouveau secrétaire général" martèle de son coté Abdelkrim Abada. Ce dernier, qui s'est opposé aux prédécesseurs de Djamal Ould Abbès, à savoir à Abdelaziz Belkhadem et Amar Saadani, plaide en faveur de "quelqu'un de clean, avec un bon CV, qui connait le parti et qui n'ait pas d'antécédents judiciaires, un homme honnête et qui comprend les valeurs de ce parti. Nous en avons marre des Belkhadem, Saadani etOuld Abbès, il est grand temps de redonnerson lustre d'antan au FLN". AbdelkrimAbada, qui a son propre groupe d'opposants,rejoint la proposition expriméepar Abderahmane Belayat s'agissant del'institution d'une instance transitoirepour gérer les affaires du vieux parti. "Nous exigeons la mise en place d'un comité de transition et la tenue d'un congrèsextraordinaire" a-t-il, en effet, soutenutout récemment. C'est dire que Djamal Ould Abbès a vraiment des soucis à se faire avec ces attaques. Ce d'autant que ces deux opposants exigent son départ dans lesplus brefs délais. Car pour Abada, le FLN"perd en crédibilité et il n'est pas question d'aller aux élections locales et encoremoins à la présidentielle de 2019 avecOuld Abbès. Il ne faut pas que le FLNperde les élections communales, comme il a perdu les législatives. Car, perdre lesélections locales, c'est l'échec annoncé àla présidentielle pour le FLN" lance de son côté Abderrahmane Belayat. Les élections locales auront lieu, pour rappel, enautomne probablement au mois d'octobreou novembre. Belayat et Abada veulent donc un changement avant la tenue des élections locales. Ces doléances trouveront- ils une oreille auprès du présidentdu parti ? Aucun observateur ne pourra se hasarder à faire le moindre pronostic tantles intentions du président Bouteflika ne sont pas connues. Face à cette nouvelleoffensive Djamal Ould Abbès reste de marbre. Le secretaire général contesté du vieuxparti se montre en effet imperturbable et mieux encore, comme il l'a d'ailleurs souligné, il se montre même optimistepuisqu'il martèle un peu partout qu'il neva pas quitter son poste de sitôt et qu'il sera là durant de longues années encore. Des attaques qui semblent coordonnées. Tour à tour, en effet, Salah Goudjil, Abdelkrim Abada et Abderrahmane Belayat sont montés au créneau pour épingler le chef de file du FLN. Ces trois personnalités veulent la tête de Djamal Ould Abbès. Ils revendiquent sa destitution et l'installation d'une instance de transition jusqu'a la tenue d'un congrès extraordinaire. Pour ce faire ils ont même lancé un appel dans ce sens en direction du président du parti, qui n'est autre que le président de la république, Abdelaziz Bouteflika. « Nous avons dit qu'il y a nécessité impérieuse de changer la tête du FLN. Nous avons fait part de notre proposition d'une direction transitoire au chef de l'Etat dans laquelle il aura son représentant personnel», a indiqué Belayat dans une déclaration à un journal électronique. "Nous avons fait appel au président de la République qui n'est autre que le président du FLN, afin qu'il puisse intervenir. Il faut évincer Djamel Ould Abbès. Il faut nommer un nouveau secrétaire général" martèle de son coté Abdelkrim Abada. Ce dernier, qui s'est opposé aux prédécesseurs de Djamal Ould Abbès, à savoir à Abdelaziz Belkhadem et Amar Saadani, plaide en faveur de "quelqu'un de clean, avec un bon CV, qui connait le parti et qui n'ait pas d'antécédents judiciaires, un homme honnête et qui comprend les valeurs de ce parti. Nous en avons marre des Belkhadem, Saadani etOuld Abbès, il est grand temps de redonnerson lustre d'antan au FLN". AbdelkrimAbada, qui a son propre groupe d'opposants,rejoint la proposition expriméepar Abderahmane Belayat s'agissant del'institution d'une instance transitoirepour gérer les affaires du vieux parti. "Nous exigeons la mise en place d'un comité de transition et la tenue d'un congrèsextraordinaire" a-t-il, en effet, soutenutout récemment. C'est dire que Djamal Ould Abbès a vraiment des soucis à se faire avec ces attaques. Ce d'autant que ces deux opposants exigent son départ dans lesplus brefs délais. Car pour Abada, le FLN"perd en crédibilité et il n'est pas question d'aller aux élections locales et encoremoins à la présidentielle de 2019 avecOuld Abbès. Il ne faut pas que le FLNperde les élections communales, comme il a perdu les législatives. Car, perdre lesélections locales, c'est l'échec annoncé àla présidentielle pour le FLN" lance de son côté Abderrahmane Belayat. Les élections locales auront lieu, pour rappel, enautomne probablement au mois d'octobreou novembre. Belayat et Abada veulent donc un changement avant la tenue des élections locales. Ces doléances trouveront- ils une oreille auprès du présidentdu parti ? Aucun observateur ne pourra se hasarder à faire le moindre pronostic tantles intentions du président Bouteflika ne sont pas connues. Face à cette nouvelleoffensive Djamal Ould Abbès reste de marbre. Le secretaire général contesté du vieuxparti se montre en effet imperturbable et mieux encore, comme il l'a d'ailleurs souligné, il se montre même optimistepuisqu'il martèle un peu partout qu'il neva pas quitter son poste de sitôt et qu'il sera là durant de longues années encore.