Lors d'une visite inopinée à l'école primaire du martyr Mahmoud-Turki dans la commune de Chéraga (Alger- Ouest), la ministre a souligné la nécessité de régler "en urgence" le problème de la surcharge des classes. Lors d'une visite inopinée à l'école primaire du martyr Mahmoud-Turki dans la commune de Chéraga (Alger- Ouest), la ministre a souligné la nécessité de régler "en urgence" le problème de la surcharge des classes. ContenuLa surcharge des classes est, désormais, un fait pjus qu'avéré. Aucun responsable ne peut nier cette évidence. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, a insisté mercredi à Alger sur la nécessité de régler "en urgence" le problème de la surcharge des classes au niveau des établissements éducatifs, selon un communiqué du ministère. Le ministere admet, ainsi, l'existence de cette problématique alors qu'il y a peu de temps encore l'on minimisait le phénomène contrairement aux associations des parents d'élèves qui n'ont eu de cesse de monter au créneau et de tirer la sonnette d'alarme . Lors d'une visite inopinée à l'école primaire du martyr Mahmoud-Turki dans la commune de Chéraga (Alger-Ouest), la ministre a souligné la nécessité de régler "en urgence" le problème de la surcharge des classes, notamment après avoir constaté l'existence dans cet établissement de deux classes de 43 élèves, a précisé la même source. Cette école n'est, désormaiset hélas , qu'un petit exemple. Il n'en demeure pasmoins que la ministre de l'Education semble avoirpris la mesure de cetteépineuse question enplaidant pour l'urgence de trouver des solutionsadéquates à la mesure de la gravité de la situation.Mme Benghabrit a égalementmis l'accent sur "l'impératifd'améliorer la performancepédagogique etde l'adapter au niveau desélèves et de leur nombre enclasse".La ministre a en outreinsisté sur l'importance d'assurer la disponibilitédes livres scolaires danstous les établissements éducatifsà l'échelle nationaleune fois la période d'évaluationdiagnostique achevée.Lors de sa visite, la ministrea constaté que "tous lesélèves disposaient de leurslivres scolaires dans toutesles matières". Certes, maisdans d'autres écoles larareté des livres a été constatéemême par les responsablesdu ministère de l'Education.Un problèmeauquel il est impératif detrouver des solutions au plus vite. La visite a égalementpermis à MmeBenghabrit de s'enquérir dudéroulement de la premièresemaine de la rentrée scolaire, de la mise en oeuvrede la circulaire-cadreadressée par le ministère de l'Education nationale en juillet 2017 à l'ensembledes directions de l'éducationà l'échelle nationale, etdu déroulement des coursdans cette école qui compte 371 élèves répartis sur 12 classes et encadrés par 14 instituteurs. ContenuLa surcharge des classes est, désormais, un fait pjus qu'avéré. Aucun responsable ne peut nier cette évidence. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, a insisté mercredi à Alger sur la nécessité de régler "en urgence" le problème de la surcharge des classes au niveau des établissements éducatifs, selon un communiqué du ministère. Le ministere admet, ainsi, l'existence de cette problématique alors qu'il y a peu de temps encore l'on minimisait le phénomène contrairement aux associations des parents d'élèves qui n'ont eu de cesse de monter au créneau et de tirer la sonnette d'alarme . Lors d'une visite inopinée à l'école primaire du martyr Mahmoud-Turki dans la commune de Chéraga (Alger-Ouest), la ministre a souligné la nécessité de régler "en urgence" le problème de la surcharge des classes, notamment après avoir constaté l'existence dans cet établissement de deux classes de 43 élèves, a précisé la même source. Cette école n'est, désormaiset hélas , qu'un petit exemple. Il n'en demeure pasmoins que la ministre de l'Education semble avoirpris la mesure de cetteépineuse question enplaidant pour l'urgence de trouver des solutionsadéquates à la mesure de la gravité de la situation.Mme Benghabrit a égalementmis l'accent sur "l'impératifd'améliorer la performancepédagogique etde l'adapter au niveau desélèves et de leur nombre enclasse".La ministre a en outreinsisté sur l'importance d'assurer la disponibilitédes livres scolaires danstous les établissements éducatifsà l'échelle nationaleune fois la période d'évaluationdiagnostique achevée.Lors de sa visite, la ministrea constaté que "tous lesélèves disposaient de leurslivres scolaires dans toutesles matières". Certes, maisdans d'autres écoles larareté des livres a été constatéemême par les responsablesdu ministère de l'Education.Un problèmeauquel il est impératif detrouver des solutions au plus vite. La visite a égalementpermis à MmeBenghabrit de s'enquérir dudéroulement de la premièresemaine de la rentrée scolaire, de la mise en oeuvrede la circulaire-cadreadressée par le ministère de l'Education nationale en juillet 2017 à l'ensembledes directions de l'éducationà l'échelle nationale, etdu déroulement des coursdans cette école qui compte 371 élèves répartis sur 12 classes et encadrés par 14 instituteurs.