Une hausse des prix des produits agricoles frais a été constatée ces derniers jours suscitant les appréhensions et les interrogations des consommateurs. Une hausse des prix des produits agricoles frais a été constatée ces derniers jours suscitant les appréhensions et les interrogations des consommateurs. Les prix des fruits et légumes ont en effet flambé sur les marchés. Pour le directeur général de la régulation et des activités commerciales au ministère du Commerce, cette situation résulterait simplement de la fluctuation de l'offre, notant que c'est par suite de la baisse de production des produits saisonniers que les prix ont recommencé à repartir à la hausse. S'exprimant, hier durant l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio nationale, Abdelaziz Aït Abderrahmane, signale que parmi les légumes à avoir été objet d'une "perturbation" figure, en particulier, la tomate dont le coût est, en peu de temps, passé de 50 à 180, voire 200 DA le kg. Comme ses prédécesseurs, l'invité de la radio croit utile d'abonder dans le sens de la création de nouvelles unités de transformation des productions excédentaires de tomate, afin d'éviter une forte chute de leur prix sur les marchés de gros, entraînant le mécontentement des producteurs, ainsi que leur peu d'intérêt à la produire à nouveau. Pressé d'expliquer pourquoi il n'a pas encore été possible de "mettre de l'ordre" dans le marché des produits verts, le DG de la régulation et des activités commerciales avance à nouveau l'argument de l'impact de l'offre et de la demande. Pour lui, c'est simple : lorsqu'il y avait eu une offre, "comme durant le mois deRamadhan, il n'y a pas eu de flambée des prix", en raison, explique-til de la période de "plein champ" deslégumes. M. Aït Abderrahmane finit cependant par admettre que lorsqu'y a surproduction, il faudrait pouvoirdisposer de mécanismes pour la"récupérer", afin de la canaliser versdes unités de production, vers les chambres froides "ou vers l'exportation,ce qui permettra de faire face àune éventuelle montrée des prix",déclare-t-il. Amené à dire si la"désorganisation" du marché des légumes n'est pas la suite logique dufaible nombre des circuits de distribution,l'invité fait état d'un vasteprogramme initié par le ministère del'Intérieur et celui du Commerce, àl'effet de créer des marchés de groset des marchés couverts de proximitépour stabiliser la chaine allantde la production à laconsommation". Les prix des fruits et légumes ont en effet flambé sur les marchés. Pour le directeur général de la régulation et des activités commerciales au ministère du Commerce, cette situation résulterait simplement de la fluctuation de l'offre, notant que c'est par suite de la baisse de production des produits saisonniers que les prix ont recommencé à repartir à la hausse. S'exprimant, hier durant l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio nationale, Abdelaziz Aït Abderrahmane, signale que parmi les légumes à avoir été objet d'une "perturbation" figure, en particulier, la tomate dont le coût est, en peu de temps, passé de 50 à 180, voire 200 DA le kg. Comme ses prédécesseurs, l'invité de la radio croit utile d'abonder dans le sens de la création de nouvelles unités de transformation des productions excédentaires de tomate, afin d'éviter une forte chute de leur prix sur les marchés de gros, entraînant le mécontentement des producteurs, ainsi que leur peu d'intérêt à la produire à nouveau. Pressé d'expliquer pourquoi il n'a pas encore été possible de "mettre de l'ordre" dans le marché des produits verts, le DG de la régulation et des activités commerciales avance à nouveau l'argument de l'impact de l'offre et de la demande. Pour lui, c'est simple : lorsqu'il y avait eu une offre, "comme durant le mois deRamadhan, il n'y a pas eu de flambée des prix", en raison, explique-til de la période de "plein champ" deslégumes. M. Aït Abderrahmane finit cependant par admettre que lorsqu'y a surproduction, il faudrait pouvoirdisposer de mécanismes pour la"récupérer", afin de la canaliser versdes unités de production, vers les chambres froides "ou vers l'exportation,ce qui permettra de faire face àune éventuelle montrée des prix",déclare-t-il. Amené à dire si la"désorganisation" du marché des légumes n'est pas la suite logique dufaible nombre des circuits de distribution,l'invité fait état d'un vasteprogramme initié par le ministère del'Intérieur et celui du Commerce, àl'effet de créer des marchés de groset des marchés couverts de proximitépour stabiliser la chaine allantde la production à laconsommation".