Lors de sa visite dimanche dernier au pôle pétrochimique d'Arzew, Ahmed Ouyahia a souligné la nécessité d'investir dans le gaz de schiste, eu égard aux énormes gisements dont dispose le pays Lors de sa visite dimanche dernier au pôle pétrochimique d'Arzew, Ahmed Ouyahia a souligné la nécessité d'investir dans le gaz de schiste, eu égard aux énormes gisements dont dispose le pays Face aux innombrables réactions suscitées par l'annonce de la révision de la loi sur les hydrocarbures et la relance du projet de l'exploitation de gaz de schiste, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, est de nouveau monté au créneau en faisant notamment part de son mécontentement par rapport à certaines positions exprimées ça et là. Il a ainsi tenu à apporter quelques clarifications. La relance du projet d'exploitation du gaz de schiste sera accompagné d'explications et de dialogue et rien ne sera entrepris au détriment de la santé des Algériens, a, en effet, indiqué jeudi le Premier ministère sur son site web. "L'annonce de la relance du projet d'exploitation du gaz de schiste a réveillé les agitateurs politiques qui tentent de manipuler la population, notamment du sud du pays. Il est donc utile de rappeler que la reprise des tests sera accompagnée d'explications envers l'opinion et de dialogue avec la population des régions concernées. Rien ne sera entrepris en mettant en danger la santé des Algériens. Mais rien n'empêchera l'Algérie d'exploiter ses richesses au profit des Algériens", précise le Premier ministre. Il est évident que le Premier ministre n'a pas du tout apprécié quelques réactions émanant, notamment, des partis de l'opposition. Ces derniers ont, globalement, mis en garde contre le danger qui guette l'environnement et ne se sont pas privés derappeler la mobilisation citoyenne d'In-Salah il y a quelques années.Lors de sa visite dimanche dernier au pôle pétrochimique d'Arzew, le Premierministre, Ahmed Ouyahia, a souligné lanécessité d'investir dans le gaz du schiste eu égard aux énormes gisements dont dispose le pays.Ouyahia a également relevé que legouvernement "encourage l'investissementdans cette ressource tout en soulignantqu'il ne s'agit pas là d'unedémarche aventurière mais d'une optionvisant à garantir l'avenir du pays enmatière énergétique". Pour sa part, le ministre de l'Energie,Mustapha Guitouni, avait déclaré récemment à l'APS que le dossier du gaz duschiste était encore au stade d'étude etsera traité d'une manière "convenable" àl'instar de ce qui se fait dans les autrespays. "on va y aller et on doit y aller" anotamment souligné le ministre.Par ailleurs le Premier ministère s'est aussi exprimé, par le biais du mêmecanal, sur la question relative à la révisionde la loi sur les hydrocarbures en yapportant, là aussi, des clarifications. Larévision de la loi sur les hydrocarburesen vigueur "ne portera sur aucune questionde souveraineté" y compris la règle51/49 % régissant les investissementsétrangers en Algérie, a en effet indiquéle Premier ministère sur son site web."L'annonce de la révision de la loi surles hydrocarbures a ouvert la voie à denombreuses spéculations. Il est donc utile de préciser que cette révision neportera sur aucune question de souveraineté,y compris la règle 51/49 %dans les partenariats avec l'étranger",affirme le Premier ministère. Pour rappel,lors de sa visite dimanche dernier aupôle pétrochimique d'Arzew, le Premierministre, Ahmed Ouyahia, avait soutenuqu'une révision de la loi sur les hydrocarburesen vigueur était nécessaire"pour attirer de nouveaux investisseurset améliorer les recettes financières du pays".Dans une conjoncture marquée, cesdernières années, par une chute drastiquedes cours du pétrole et ses répercussionssur les recettes des hydrocarbures,Ouyahia a souligné la nécessité pour Sonatrach de faire face aux défis actuelsdu secteur de l'énergie et de mettretoutes ses potentialités et ses ressourcesau service du pays. Pour sa part, le ministre de l'Energie, Mustapha Guitouni,avait aussi déclaré récemment qu'une "réflexion était engagée pour réviser laloi sur les hydrocarbures à l'effetd'améliorer l'attractivité du pays endirectiondes partenaires étrangers,notamment dans la prospection et l'exploitationdes hydrocarbures". Quant aux aspects de la loi qui serontrévisés, M. Guitouni a cité essentiellement"la fiscalité" en expliquant quelorsque le dispositif fiscal avait étéintroduit dans la loi en vigueur, le barildu pétrole était à plus de 100 dollars."Ce qui n'est pas le cas aujourd'hui avec un baril qui tourne autour de 50 dollars.Nous ne pouvons appliquer le même dispositiffiscal aussi bien pour un baril à150 dollars qu'à 50 dollars, car l'investisseurne viendra pas puisque nonintéressé". "Il s'agit de l'avenir des futures générations", avait-il ench îné. Face aux innombrables réactions suscitées par l'annonce de la révision de la loi sur les hydrocarbures et la relance du projet de l'exploitation de gaz de schiste, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, est de nouveau monté au créneau en faisant notamment part de son mécontentement par rapport à certaines positions exprimées ça et là. Il a ainsi tenu à apporter quelques clarifications. La relance du projet d'exploitation du gaz de schiste sera accompagné d'explications et de dialogue et rien ne sera entrepris au détriment de la santé des Algériens, a, en effet, indiqué jeudi le Premier ministère sur son site web. "L'annonce de la relance du projet d'exploitation du gaz de schiste a réveillé les agitateurs politiques qui tentent de manipuler la population, notamment du sud du pays. Il est donc utile de rappeler que la reprise des tests sera accompagnée d'explications envers l'opinion et de dialogue avec la population des régions concernées. Rien ne sera entrepris en mettant en danger la santé des Algériens. Mais rien n'empêchera l'Algérie d'exploiter ses richesses au profit des Algériens", précise le Premier ministre. Il est évident que le Premier ministre n'a pas du tout apprécié quelques réactions émanant, notamment, des partis de l'opposition. Ces derniers ont, globalement, mis en garde contre le danger qui guette l'environnement et ne se sont pas privés derappeler la mobilisation citoyenne d'In-Salah il y a quelques années.Lors de sa visite dimanche dernier au pôle pétrochimique d'Arzew, le Premierministre, Ahmed Ouyahia, a souligné lanécessité d'investir dans le gaz du schiste eu égard aux énormes gisements dont dispose le pays.Ouyahia a également relevé que legouvernement "encourage l'investissementdans cette ressource tout en soulignantqu'il ne s'agit pas là d'unedémarche aventurière mais d'une optionvisant à garantir l'avenir du pays enmatière énergétique". Pour sa part, le ministre de l'Energie,Mustapha Guitouni, avait déclaré récemment à l'APS que le dossier du gaz duschiste était encore au stade d'étude etsera traité d'une manière "convenable" àl'instar de ce qui se fait dans les autrespays. "on va y aller et on doit y aller" anotamment souligné le ministre.Par ailleurs le Premier ministère s'est aussi exprimé, par le biais du mêmecanal, sur la question relative à la révisionde la loi sur les hydrocarbures en yapportant, là aussi, des clarifications. Larévision de la loi sur les hydrocarburesen vigueur "ne portera sur aucune questionde souveraineté" y compris la règle51/49 % régissant les investissementsétrangers en Algérie, a en effet indiquéle Premier ministère sur son site web."L'annonce de la révision de la loi surles hydrocarbures a ouvert la voie à denombreuses spéculations. Il est donc utile de préciser que cette révision neportera sur aucune question de souveraineté,y compris la règle 51/49 %dans les partenariats avec l'étranger",affirme le Premier ministère. Pour rappel,lors de sa visite dimanche dernier aupôle pétrochimique d'Arzew, le Premierministre, Ahmed Ouyahia, avait soutenuqu'une révision de la loi sur les hydrocarburesen vigueur était nécessaire"pour attirer de nouveaux investisseurset améliorer les recettes financières du pays".Dans une conjoncture marquée, cesdernières années, par une chute drastiquedes cours du pétrole et ses répercussionssur les recettes des hydrocarbures,Ouyahia a souligné la nécessité pour Sonatrach de faire face aux défis actuelsdu secteur de l'énergie et de mettretoutes ses potentialités et ses ressourcesau service du pays. Pour sa part, le ministre de l'Energie, Mustapha Guitouni,avait aussi déclaré récemment qu'une "réflexion était engagée pour réviser laloi sur les hydrocarbures à l'effetd'améliorer l'attractivité du pays endirectiondes partenaires étrangers,notamment dans la prospection et l'exploitationdes hydrocarbures". Quant aux aspects de la loi qui serontrévisés, M. Guitouni a cité essentiellement"la fiscalité" en expliquant quelorsque le dispositif fiscal avait étéintroduit dans la loi en vigueur, le barildu pétrole était à plus de 100 dollars."Ce qui n'est pas le cas aujourd'hui avec un baril qui tourne autour de 50 dollars.Nous ne pouvons appliquer le même dispositiffiscal aussi bien pour un baril à150 dollars qu'à 50 dollars, car l'investisseurne viendra pas puisque nonintéressé". "Il s'agit de l'avenir des futures générations", avait-il ench îné.