Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib et son collègue de l'Energie, Mustapha Guitouni, ont entériné la décision portant réalisation de deux usines de dessalement d'eau de mer après avoir reçu un «accord formel» du Premier ministre. Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib et son collègue de l'Energie, Mustapha Guitouni, ont entériné la décision portant réalisation de deux usines de dessalement d'eau de mer après avoir reçu un «accord formel» du Premier ministre. Pour ce faire, les deux ministres ont examiné les modalités pratiques de ces deux chantiers d'une capacité chacun de 300.000m3/j. La première usine qui, profitera à la région Centre, est localisée à Zéralda dans la wilaya d'Alger, et la deuxième qui alimentera l'est du pays sera installée à Echatt dans la wilaya d'El- Tarf. Dans un communiqué rendu public hier, le ministère des Ressources en eau souligne que ces deux projets ont été autorisés lors du Conseil interministériel (CIM) du 24 octobre 2017 conformément au Plan d'action du gouvernement. Le gouvernement qui semble avoir pris la mesure du stress hydrique qui frappe le pays, a donc décidé de «renforcer et de sécuriser l'alimentation en eau potable des populations notamment à l'est du pays et dans le grand Alger», lit-on dans le communiqué. El-Tarf et Zéralda On y apprend que les deux stations seront réalisées en mode BOT (Build Operate and Transfer) qui signifie «Construire, Exploiter et Transférer»sous la conduite d'Algerian EnergyCompagny (AEC), filiale deSonatrach et de Sonelgaz.Pour ce faire, les deux ministres ontdécidé de mettre en place un comité de pilotage, composé des cadres desdeux secteurs, chargé d'élaborer une feuille de route définissant les différentesétapes de la réalisation des deux projets avec un calendrier de mise en oeuvre. Dans le même ordre d'idées, les deux ministres ont insisté sur la «capitalisation» de l'expérience acquise dansce domaine à travers les 11 stations déjà réalisées et mises en exploitationet ont exhorté les cadres des deux secteurs à en tirer les enseignementsnécessaires. Pou rappel, le programme de dessalement mis en oeuvre à partir de 2003, prévoit la réalisation de 13 stations dedessalement d'une capacité nominaletotale de 2,31 millions de m3/j, ce qui représente près de 850 millions dem3/an, pour desservir une population de 8 millions d'habitants. «A ce jour, onze (11) stations ont été réalisées et mises en service pour une capacité de 2,1 millions de m3/j, soitun volume de 770 millions de m3/an représentant 17% de la productionnationale d'eau potable», précise lecommuniqué du ministère des Ressources en eau. Pour ce faire, les deux ministres ont examiné les modalités pratiques de ces deux chantiers d'une capacité chacun de 300.000m3/j. La première usine qui, profitera à la région Centre, est localisée à Zéralda dans la wilaya d'Alger, et la deuxième qui alimentera l'est du pays sera installée à Echatt dans la wilaya d'El- Tarf. Dans un communiqué rendu public hier, le ministère des Ressources en eau souligne que ces deux projets ont été autorisés lors du Conseil interministériel (CIM) du 24 octobre 2017 conformément au Plan d'action du gouvernement. Le gouvernement qui semble avoir pris la mesure du stress hydrique qui frappe le pays, a donc décidé de «renforcer et de sécuriser l'alimentation en eau potable des populations notamment à l'est du pays et dans le grand Alger», lit-on dans le communiqué. El-Tarf et Zéralda On y apprend que les deux stations seront réalisées en mode BOT (Build Operate and Transfer) qui signifie «Construire, Exploiter et Transférer»sous la conduite d'Algerian EnergyCompagny (AEC), filiale deSonatrach et de Sonelgaz.Pour ce faire, les deux ministres ontdécidé de mettre en place un comité de pilotage, composé des cadres desdeux secteurs, chargé d'élaborer une feuille de route définissant les différentesétapes de la réalisation des deux projets avec un calendrier de mise en oeuvre. Dans le même ordre d'idées, les deux ministres ont insisté sur la «capitalisation» de l'expérience acquise dansce domaine à travers les 11 stations déjà réalisées et mises en exploitationet ont exhorté les cadres des deux secteurs à en tirer les enseignementsnécessaires. Pou rappel, le programme de dessalement mis en oeuvre à partir de 2003, prévoit la réalisation de 13 stations dedessalement d'une capacité nominaletotale de 2,31 millions de m3/j, ce qui représente près de 850 millions dem3/an, pour desservir une population de 8 millions d'habitants. «A ce jour, onze (11) stations ont été réalisées et mises en service pour une capacité de 2,1 millions de m3/j, soitun volume de 770 millions de m3/an représentant 17% de la productionnationale d'eau potable», précise lecommuniqué du ministère des Ressources en eau.