Hadj 2025 : réunion de la Commission intersectorielle permanente    Projet de loi sur les Wakfs : les députés saluent le projet et appellent à l'accélération de sa mise en œuvre    Importance de construire un front médiatique uni pour défendre l'Algérie et son image    Les médias nationaux doivent faire preuve d'"un sens élevé de responsabilité" dans la défense des intérêts du pays    Sadaoui annonce la création du "Prix de l'innovation scolaire"    Mois du patrimoine: un programme culturel et scientifique pour la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel algérien    Mascara : décès du Moudjahid Mouffok Malek    Tassili Airlines obtient pour la 8e fois de suite le label IOSA relatif à la sécurité opérationnelle    Enseignement supérieur: des professeurs promus au rang de professeur émérite et de professeur Hospitalo-Universitaire émérite    1e Festival national "Printemps d'Oran" en mai à Oran    Oran : M. Meziane préside l'ouverture d'une rencontre régionale réunissant journalistes et professionnels des médias    Journée du Savoir: Chaib participe par visioconférence à une activité organisée par le consulat d'Algérie à Bobigny    Conseil de sécurité : le groupe "A3+" condamne fermement toutes les violences en République démocratique du Congo et appelle les parties à reprendre le dialogue    L'interdiction par l'entité sioniste des médias internationaux à Ghaza dnoncée    Mansouri entame une visite de travail en Angola    Sonatrach renforce sa coopération avec le groupe américain ''Oxy''    L'Algérie prend acte    L'arbitre Ghorbal hors-jeu...    Malgré le déstockage d'énormes quantités, la pomme de terre reste chère    USMA – CRB en finale    Le Quai d'Orsay et le lobby pro-israélien, principaux soutiens de Boualem Sansal    Les frappes israéliennes continuent de tuer des civils    Un projet et vision de développement de l'art    Diverses activités culturelles au programme    Sport/Jeux Méditerranéens-Tarente 2026: organisation d'un séminaire international pour mettre en lumière les préparatifs    Foot/formation des préparateurs physiques: début du 4ème module à Tipasa    Un risque de dévaster les économies les plus vulnérables    Les dernières pluies sauvent les céréales    Plus de 3.600 véhicules volés en 2024 !    Les conditions d'un produit intérieur brut de 400 milliards de dollars et d'une production de 200 milliards de m3 gazeux 2028/2030    «Je reviendrai plus fort et meilleur qu'avant»    Lorsque le stratagème de l'ALN l'emporte face à l'arsenal militaire colonial    Foot/ Coupe d'Algérie 2024-2025 (1/2 finale) : l'USMA donne rendez-vous au CRB pour une finale passionnante    Hamlaoui présente trois projets d'aide pour les femmes du mouvement associatif    La Fifa organise un séminaire à Alger    Khaled Ouennouf intègre le bureau exécutif    L'Algérie et la Somalie demandent la tenue d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité    30 martyrs dans une série de frappes à Shuja'iyya    La Coquette se refait une beauté    Un rempart nommé ANP    Lancement imminent d'une plate-forme antifraude    Les grandes ambitions de Sonelgaz    La force et la détermination de l'armée    Tebboune présente ses condoléances    Lutte acharnée contre les narcotrafiquants    Cheikh Aheddad ou l'insurrection jusqu'à la mort    Un historique qui avait l'Algérie au cœur    Création «prochaine» de délégations de wilayas de la société civile    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



"Il ne sera plus comme avant"
Djamal Kaouane à propos du soutien de l'état à la presse
Publié dans Le Midi Libre le 25 - 12 - 2017

Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a assuré, dimanche à Oran, que le soutien de l'état à la presse "n'est pas suspendu", mais ne "sera plus comme avant".
Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a assuré, dimanche à Oran, que le soutien de l'état à la presse "n'est pas suspendu", mais ne "sera plus comme avant".
ContenuI nvité au forum du quotidien Ouest Tribune, le ministre a en effet indiqué que le soutien de l'Etat à la presse "n'est pas suspendu mais ne sera plus comme avant et ce, en raison de la crise économique qui a touché le pays et les différents secteurs." Le soutien de l'Etat à la presse "ne sera pas suspendu. C'est le cas également pour la publicité publique dont a toujours bénéficié la presse", a indiqué Djamel Kaouane, ajoutant que sans ce soutien permanent de l'Etat "de nombreux journaux auraient cessé de paraître". "Nous ne faisons aucune distinction entre presse publique et presse privée.
Les pouvoirs publics ont soutenu la presse ainsi que la création de titres privés. Cette dernière a vu le jour dans les années 90 grâce à la contribution et à l'aide de l'Etat qui a octroyé de nombreux avantages comme les exonérations fiscales et parafiscales, l'attribution de locaux, le versement d'avances salariales et l'octroi d'espaces publicitaires", a rappelé, dans ce contexte, le ministre. Il a également signalé l'existence d'un fonds de soutien à la presse en cours de constitution, "mais, il n'est qu'un outil de soutien", a-t-il ajouté, soulignant que le responsable de la gestion d'un journal est son propriétaire ainsi que le personnel.
"L'Etat ne peut être considéré responsable de l'essor ou de l'échec et de la fermeture d'un journal". Djamel Kaouane a également rappelé que le soutien à l'impression n'a pas changé depuis les années 90 du siècle dernier.C'est un soutien indirect à la presse. Par ailleurs, le ministre a appelé les journalisteset les responsables des journaux à développer la performance des médias afind'augmenter leurs lectorats et attirer davantage d'annonceurs.
Dans le mêmecontexte, il a invité les propriétaires de journaux à octroyer aux journalistes unsalaire respectable car, "il ne peut y avoirde dignité de la presse sans la dignité dujournaliste", a-t-il estimé.Concernant la polémique au sujet de tamazight,Djamel Kaouane a indiqué que "ceproblème a été intentionnellement suscitépour manipuler les jeunes".
Dans cecontexte, il a rappelé que "tamazight estenseignée dans 38 wilayas du pays".En réponse à une question sur la formulepartenariat entre les secteurs public et privé et ses éventuelles mises en oeuvredans le secteur de la communication, leministre a expliqué que cette "formuleconcerne uniquement les entreprises économiques".S'agissant de l'installation de l'Autorité derégulation de la presse écrite, le ministrede la Communication a déclaré que "l'importantne réside pas dans la date d'installationde cet organe mais dans son étudeglobale conformément à la loi et dans leprocessus devant le régir"."Nous oeuvrons, dans ce sens, pour garantirl'installation de cet organe dans lesbrefs délais", a-t-il ajouté.
ContenuI nvité au forum du quotidien Ouest Tribune, le ministre a en effet indiqué que le soutien de l'Etat à la presse "n'est pas suspendu mais ne sera plus comme avant et ce, en raison de la crise économique qui a touché le pays et les différents secteurs." Le soutien de l'Etat à la presse "ne sera pas suspendu. C'est le cas également pour la publicité publique dont a toujours bénéficié la presse", a indiqué Djamel Kaouane, ajoutant que sans ce soutien permanent de l'Etat "de nombreux journaux auraient cessé de paraître". "Nous ne faisons aucune distinction entre presse publique et presse privée.
Les pouvoirs publics ont soutenu la presse ainsi que la création de titres privés. Cette dernière a vu le jour dans les années 90 grâce à la contribution et à l'aide de l'Etat qui a octroyé de nombreux avantages comme les exonérations fiscales et parafiscales, l'attribution de locaux, le versement d'avances salariales et l'octroi d'espaces publicitaires", a rappelé, dans ce contexte, le ministre. Il a également signalé l'existence d'un fonds de soutien à la presse en cours de constitution, "mais, il n'est qu'un outil de soutien", a-t-il ajouté, soulignant que le responsable de la gestion d'un journal est son propriétaire ainsi que le personnel.
"L'Etat ne peut être considéré responsable de l'essor ou de l'échec et de la fermeture d'un journal". Djamel Kaouane a également rappelé que le soutien à l'impression n'a pas changé depuis les années 90 du siècle dernier.C'est un soutien indirect à la presse. Par ailleurs, le ministre a appelé les journalisteset les responsables des journaux à développer la performance des médias afind'augmenter leurs lectorats et attirer davantage d'annonceurs.
Dans le mêmecontexte, il a invité les propriétaires de journaux à octroyer aux journalistes unsalaire respectable car, "il ne peut y avoirde dignité de la presse sans la dignité dujournaliste", a-t-il estimé.Concernant la polémique au sujet de tamazight,Djamel Kaouane a indiqué que "ceproblème a été intentionnellement suscitépour manipuler les jeunes".
Dans cecontexte, il a rappelé que "tamazight estenseignée dans 38 wilayas du pays".En réponse à une question sur la formulepartenariat entre les secteurs public et privé et ses éventuelles mises en oeuvredans le secteur de la communication, leministre a expliqué que cette "formuleconcerne uniquement les entreprises économiques".S'agissant de l'installation de l'Autorité derégulation de la presse écrite, le ministrede la Communication a déclaré que "l'importantne réside pas dans la date d'installationde cet organe mais dans son étudeglobale conformément à la loi et dans leprocessus devant le régir"."Nous oeuvrons, dans ce sens, pour garantirl'installation de cet organe dans lesbrefs délais", a-t-il ajouté.


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.