Une rencontre est prévue aujourd'hui mercredi entre le ministère de la Santé et les représentants des médecins résidents en grève ouverte depuis dimanche, a indiqué le membre du Collectif autonome des médecins ésidents algériens (Camra), Taïleb Mohamed. Une rencontre est prévue aujourd'hui mercredi entre le ministère de la Santé et les représentants des médecins résidents en grève ouverte depuis dimanche, a indiqué le membre du Collectif autonome des médecins ésidents algériens (Camra), Taïleb Mohamed. Les membres du Collectif "ont été invités par le ministère de la Santé à un dialogue sérieux mercredi pour écouter leurs revendications et parvenir à des solutions acceptées par toutes les parties", a indiqué à l'APS M. Taïleb, soulignant "la confiance des médecins résidents en la tutelle et le gouvernement et leur grand espoir quant à l'aboutissement de ce dialogue à des résultats positifs". Qualifiant de "très profonds" les problèmes auxquels est confrontés le secteur de la santé, M. Taïleb a estimé que l'ouverture du dialogue est "un pas positif" pour trouver des solutions aux préoccupations soulevées. Il a salué également le travail de la commission mixte installée depuis 4 semaines pour examiner les revendications des médecins résidents, portant principalement sur l'abrogation du service civil, qui est, a-t-il dit, "contraire aux dispositions de la Constitution" et à l'égalité entre le médecin et le citoyen en matière de service militaire vu que "les médecins sont actuellement exclus des décisions de dispense émanant du président de la République", en sus de "l'amélioration des conditions de travail et la garantie de la sécurité". Les médecins résidents en grève revendiquent également l'amélioration des oeuvres sociales, l'amendement de la nouvelle loi portant conditions d'ouverture de laboratoires d'analyses pour les médecins biologistes, outre l'accompagnement des praticiens de spécialités rares, à l'instar de l'autopsie et l'histologie, "en proie au chômage après 12 d'études". Concernant le taux de suivi au deuxième jour de la grève ouverte, M. Taïleb a indiqué qu'il était "difficile pour l'heure de le déterminer avec précision vu qu'un grand nombre de médecins résidents sont actuellement en période d'examen et en raison de la nécessité de garantir un service minimum", avançant un taux approximatif de près de "80%". De son côté, le conseiller chargé de la communication au niveau du ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Salim Belkacem a confirmé à l'APS la tenue mercredi d'une réunion avec les représentants de cette organisation syndicale pour "présenter des propositions et trouver des solutions aux revendications des médecins grévistes". Les membres du Collectif "ont été invités par le ministère de la Santé à un dialogue sérieux mercredi pour écouter leurs revendications et parvenir à des solutions acceptées par toutes les parties", a indiqué à l'APS M. Taïleb, soulignant "la confiance des médecins résidents en la tutelle et le gouvernement et leur grand espoir quant à l'aboutissement de ce dialogue à des résultats positifs". Qualifiant de "très profonds" les problèmes auxquels est confrontés le secteur de la santé, M. Taïleb a estimé que l'ouverture du dialogue est "un pas positif" pour trouver des solutions aux préoccupations soulevées. Il a salué également le travail de la commission mixte installée depuis 4 semaines pour examiner les revendications des médecins résidents, portant principalement sur l'abrogation du service civil, qui est, a-t-il dit, "contraire aux dispositions de la Constitution" et à l'égalité entre le médecin et le citoyen en matière de service militaire vu que "les médecins sont actuellement exclus des décisions de dispense émanant du président de la République", en sus de "l'amélioration des conditions de travail et la garantie de la sécurité". Les médecins résidents en grève revendiquent également l'amélioration des oeuvres sociales, l'amendement de la nouvelle loi portant conditions d'ouverture de laboratoires d'analyses pour les médecins biologistes, outre l'accompagnement des praticiens de spécialités rares, à l'instar de l'autopsie et l'histologie, "en proie au chômage après 12 d'études". Concernant le taux de suivi au deuxième jour de la grève ouverte, M. Taïleb a indiqué qu'il était "difficile pour l'heure de le déterminer avec précision vu qu'un grand nombre de médecins résidents sont actuellement en période d'examen et en raison de la nécessité de garantir un service minimum", avançant un taux approximatif de près de "80%". De son côté, le conseiller chargé de la communication au niveau du ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Salim Belkacem a confirmé à l'APS la tenue mercredi d'une réunion avec les représentants de cette organisation syndicale pour "présenter des propositions et trouver des solutions aux revendications des médecins grévistes".