La facture d'importation des laits, sucre et sucreries a connu une hausse sur les onze (11) premiers mois de l'année 2017, a appris l'APS auprès des Douanes. Globalement, la facture d'importation du Groupe des produits alimentaires a augmenté à 7,75 milliards de dollars sur les onze (11) premiers mois de l'année 2017 (contre 7,53 milliards de dollars durant la même période de 2016), soit une hausse de près de 3%, détaille le Centre national de l'information et des statistiques des Douanes (Cnis). La facture d'importation des laits, sucre et sucreries a connu une hausse sur les onze (11) premiers mois de l'année 2017, a appris l'APS auprès des Douanes. Globalement, la facture d'importation du Groupe des produits alimentaires a augmenté à 7,75 milliards de dollars sur les onze (11) premiers mois de l'année 2017 (contre 7,53 milliards de dollars durant la même période de 2016), soit une hausse de près de 3%, détaille le Centre national de l'information et des statistiques des Douanes (Cnis). Cependant, sur les principaux produits alimentaires, seules les importations des céréales et des viandes ont enregistré une baisse mais légère. Ainsi, les céréales (blé dur, tendre...), semoule et farine ont été importées pour un montant de 2,54 milliards de dollars contre 2,63 milliards de dollars, en baisse de 87 millions de dollars (-3,31%), détaille le Centre national de l'information et des statistiques des Douanes (Cnis). Les viandes ont été importées pour 181,52 millions de dollars contre 219,23 millions de dollars, soit une diminution de 38 millions de dollars (- 17,2%). Pat contre, la facture d'importation du lait et produits laitiers a bondi à 1,31 milliard de dollars entre début janvier et fin novembre 2017, contre 897,92 millions de dollars durant la même période de l'année dernière, en augmentation de 412 millions de dollars correspondant à une hausse de près de 46%. Une même tendance haussière est constatée pour le sucre et sucreries dont les importations se sont chiffrées à 957,48 millions de dollars contre 830,04 millions de dollars, en hausse de plus de 127 millions de dollars (+15,3%). Quant à la facture d'importation du café et thé, elle a atteint 394,03 millions de dollars contre 371,74 millions de dollars, en hausse de plus de 22 millions de dollars (+6%). Pour les légumes secs et autres, ils ont été importés pour un montant de 376,27 millions de dollars contre 283,47 millions de dollars, soit une augmentation de près de 93 millions de dollars (+32,7%). Concernant les huiles destinées à l'industrie alimentaire (classées dans le Groupe des biens destinés au fonctionnement de l'outil de production), leurs importations ont grimpé à 779,28 millions de dollars contre 638,75 millions de dollars, en hausse de plus de 140 millions de dollars (+22%). Ainsi, la facture globale du Groupe des produits alimentaires et des huiles destinées à l'industrie alimentaire a coûté 8,53 milliards de dollars sur les onze premiers mois de 2017 (contre 8,17 milliards de dollars sur la même période de 2016). Par ailleurs, la facture d'importation des médicaments a reculé en passant à 1,71 milliard de dollars contre 1,84 milliard de dollars, en baisse de plus de 133 millions de dollars (-7,25%). Pour rappel, de nouveaux mécanismes d'encadrement des opérations d'importation de marchandises dont des produits alimentaires ont été mis en place et applicables dès le 1er janvier 2018, dans le but de réduire le déficit commercial. Cependant, sur les principaux produits alimentaires, seules les importations des céréales et des viandes ont enregistré une baisse mais légère. Ainsi, les céréales (blé dur, tendre...), semoule et farine ont été importées pour un montant de 2,54 milliards de dollars contre 2,63 milliards de dollars, en baisse de 87 millions de dollars (-3,31%), détaille le Centre national de l'information et des statistiques des Douanes (Cnis). Les viandes ont été importées pour 181,52 millions de dollars contre 219,23 millions de dollars, soit une diminution de 38 millions de dollars (- 17,2%). Pat contre, la facture d'importation du lait et produits laitiers a bondi à 1,31 milliard de dollars entre début janvier et fin novembre 2017, contre 897,92 millions de dollars durant la même période de l'année dernière, en augmentation de 412 millions de dollars correspondant à une hausse de près de 46%. Une même tendance haussière est constatée pour le sucre et sucreries dont les importations se sont chiffrées à 957,48 millions de dollars contre 830,04 millions de dollars, en hausse de plus de 127 millions de dollars (+15,3%). Quant à la facture d'importation du café et thé, elle a atteint 394,03 millions de dollars contre 371,74 millions de dollars, en hausse de plus de 22 millions de dollars (+6%). Pour les légumes secs et autres, ils ont été importés pour un montant de 376,27 millions de dollars contre 283,47 millions de dollars, soit une augmentation de près de 93 millions de dollars (+32,7%). Concernant les huiles destinées à l'industrie alimentaire (classées dans le Groupe des biens destinés au fonctionnement de l'outil de production), leurs importations ont grimpé à 779,28 millions de dollars contre 638,75 millions de dollars, en hausse de plus de 140 millions de dollars (+22%). Ainsi, la facture globale du Groupe des produits alimentaires et des huiles destinées à l'industrie alimentaire a coûté 8,53 milliards de dollars sur les onze premiers mois de 2017 (contre 8,17 milliards de dollars sur la même période de 2016). Par ailleurs, la facture d'importation des médicaments a reculé en passant à 1,71 milliard de dollars contre 1,84 milliard de dollars, en baisse de plus de 133 millions de dollars (-7,25%). Pour rappel, de nouveaux mécanismes d'encadrement des opérations d'importation de marchandises dont des produits alimentaires ont été mis en place et applicables dès le 1er janvier 2018, dans le but de réduire le déficit commercial.