ContenuRien ne va plus. La grogne sociale gagne du terrain. C'est un mercredi de la colère qu'a vécu la wilaya de Tizi-Ouzou, hier. ContenuRien ne va plus. La grogne sociale gagne du terrain. C'est un mercredi de la colère qu'a vécu la wilaya de Tizi-Ouzou, hier. En effet, un mouvement de grève sans précédent, a paralysé l'ensemble des secteurs tels que l'Education, la Santé, l'Administration publique et l'Enseignement supérieur, pour protester contre la non-satisfaction de leurs cahiers revendicatifs. En effet, en plus de ces grèves précitées, le vent de la colère a aussi soufflé sur les commerces de la wilaya. Les commerces étaient fermés dans le cheflieu et la plupart des villes de la wilaya, a-t-on constaté sur place. Initiée par la Fédération nationale des jeunes entrepreneurs (FNJE), le Collectif d'appui à la micro-entreprise (Came) et l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), en guise de protestation contre "les agissements répressifs, les redressements abusifs, les descentes punitives et le chantage orchestrés par les services de la Casnos de Tizi Ouzou", les grévistes réclament la baisse des cotisations imposées par la Casnos. Ils réclament en effet que "celles-ci soient ramenées à 32.400DA et que les cotisants ayant payé des sommes supérieures soient remboursées". Les initiateurs de ce mouvement de grève,largement suivi par les commerçants à travers le territoire de la wilaya de Tizi-Ouzou, réclament aussi "l'alignement du barème des cotisations sociales auprès de la Casnos". Les grévistes revendiquent également la "destitution du bureau de wilaya de leur organisation, l'UGCAA et l'organisation d'élections libres et démocratiques" pour désigner ses nouveaux membres.Dans le cadre de ces revendications, "plusieurs grèves ont déjà été déclenchées au cours de l'année 2017, sans toutefois obtenir gain de cause", ont indiqué les initiateurs de cette grève. Des revendications selon eux, "qui remontent à plus d'une année déjà". En décembre 2016, les représentants des commerçants de la wilaya de Tizi-Ouzou avaient obtenu la promesse qu'elles seraient prises en charge, "une promesse qui n'a depuis jamais été concrétisée", ont-ils expliqué. A noter qu'un sit in est organisé, en appui de cette grève, devant les locaux de la Casnos, et les protestataires menacent de recourir à de nouvelles actions pour se faire entendre avec, notamment, l'observationde grèves cycliques à compter du 20 février prochain si leurs revendications ne sont pas satisfaites d'ici à cette date. En effet, un mouvement de grève sans précédent, a paralysé l'ensemble des secteurs tels que l'Education, la Santé, l'Administration publique et l'Enseignement supérieur, pour protester contre la non-satisfaction de leurs cahiers revendicatifs. En effet, en plus de ces grèves précitées, le vent de la colère a aussi soufflé sur les commerces de la wilaya. Les commerces étaient fermés dans le cheflieu et la plupart des villes de la wilaya, a-t-on constaté sur place. Initiée par la Fédération nationale des jeunes entrepreneurs (FNJE), le Collectif d'appui à la micro-entreprise (Came) et l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), en guise de protestation contre "les agissements répressifs, les redressements abusifs, les descentes punitives et le chantage orchestrés par les services de la Casnos de Tizi Ouzou", les grévistes réclament la baisse des cotisations imposées par la Casnos. Ils réclament en effet que "celles-ci soient ramenées à 32.400DA et que les cotisants ayant payé des sommes supérieures soient remboursées". Les initiateurs de ce mouvement de grève,largement suivi par les commerçants à travers le territoire de la wilaya de Tizi-Ouzou, réclament aussi "l'alignement du barème des cotisations sociales auprès de la Casnos". Les grévistes revendiquent également la "destitution du bureau de wilaya de leur organisation, l'UGCAA et l'organisation d'élections libres et démocratiques" pour désigner ses nouveaux membres.Dans le cadre de ces revendications, "plusieurs grèves ont déjà été déclenchées au cours de l'année 2017, sans toutefois obtenir gain de cause", ont indiqué les initiateurs de cette grève. Des revendications selon eux, "qui remontent à plus d'une année déjà". En décembre 2016, les représentants des commerçants de la wilaya de Tizi-Ouzou avaient obtenu la promesse qu'elles seraient prises en charge, "une promesse qui n'a depuis jamais été concrétisée", ont-ils expliqué. A noter qu'un sit in est organisé, en appui de cette grève, devant les locaux de la Casnos, et les protestataires menacent de recourir à de nouvelles actions pour se faire entendre avec, notamment, l'observationde grèves cycliques à compter du 20 février prochain si leurs revendications ne sont pas satisfaites d'ici à cette date.