Le FFS replonge de nouveau dans la crise. Après un répit de quelques mois le plus vieux parti d'opposition est en effet, secoué par de nouveaux remous qui touchent sa plus haute instance dirigeante, à savoir son instance présidentielle. Le FFS replonge de nouveau dans la crise. Après un répit de quelques mois le plus vieux parti d'opposition est en effet, secoué par de nouveaux remous qui touchent sa plus haute instance dirigeante, à savoir son instance présidentielle. Ali Laskri, membre de cette instance vient ainsi de jeter l'éponge en présentant sa démission. Il ne quitte pas le parti pour autant. En démissionnant de l'instance présidentielle Ali Laskri appelle à la tenue d'un congrès extraordinaire. "Je vous informe de mon retrait, en démissionnant en ma qualité de membre de l'instance présidentielle et coordinateur, à compter de ce jour et de remettre mon mandat aux militants qui m'ont élu lors du 5e congrès", a indiqué le démissionnaire dans son message. "Mon retrait de cette instance implique automatiquement l'organisation d'un congrès extraordinaire sur le plan statutaire", explique Laskri dans son message. En effet la tenue d'un ngrès extraordinaire devient, de par les statuts du parti, incontournable. Il fautdire que l'instance présidentielle, qui se composait à l'origine de 5 membres, n'encompte plus que 2 désormais. Ce qui est non conformes aux statuts du parti . D'ailleurs dans son message de démission,Ali Laskri a bel et bien rappelé cette évidence en invoquant notamment l'article 48. Rappelons que l'instance présidentielle créée lors du dernier congrès de 2013 comprenait cinq membres. Il s'agissaait de Mohamed Amokrane Cherifi, Ali Laskri, Rachid Hallet, Aziz Baloul et Saïda Ichalaméne. Avant la démission hier d'Ali Laskri, Saïda Ichalaméne a claqué elle aussi la porte de cette instance présidentielle. Une démission qui s'est deroulée dans une totale discrétion puisqu'elle ne semble pas avoir provoqué, à tout le moins publiquement, beaucoup de vagues. Ce qui n'a pas été le cas de l'épilogue de Rachid Hallet. Ce dernier, considéré comme un cadre très important a été, pour rappel, exclu des rangs du FFS vers la fin de l'année 2016. Une exclusion qui a plongé le parti dans une profonde crise organique et politique. Rachid Hallet avait alors accusé ses detracteurs de l'instance présidentielle, notamment Ali Laskri, de "putschistes". Dans la foulée , comme l'indiquait Rachid Hallet, il y a eu "une purge" au sein du FFS puisque tous lescadres qui lui sont proches ont été poussés vers la sortie. Autant dire que le FFSest, depuis lors, entré dans un profond processus de crise qui s'est aussi ponctué par le changement du secrétariat national. Abdelmalek Bouchaffa, alors premier secrétaire et qui a été tête de liste du parti à Constantine lors des élections législatives de mai dernier mais qui n'a pas eu les faveurs des électeurs, a été déchargé de sa fonction et remplacé par Hadj Djilani Mohamed. Cela dit Ali Laskri a refusé, dans sa démission, de dévoiler les raisons l'ayant poussé à quitter l'instance présidentielle. Il a promis de s'expliquer devantles membres du conseil national qui se réuniront en session ordinaire les 16 et 17 février prochains. Et c'est peut-être lors de cette session que le FFS décidera d'engager les préparatifs pour la tenue du congrès extraordinaire. Un congrès extraordinaire qui, pour Ali Laskri, sera "dans l'intérêt salvateur du parti, à travers l'élection d'une nouvelle instance présidentielle, ce qui va amener une nouvelle dynamique d'espoir de tout un peuple". Ali Laskri, membre de cette instance vient ainsi de jeter l'éponge en présentant sa démission. Il ne quitte pas le parti pour autant. En démissionnant de l'instance présidentielle Ali Laskri appelle à la tenue d'un congrès extraordinaire. "Je vous informe de mon retrait, en démissionnant en ma qualité de membre de l'instance présidentielle et coordinateur, à compter de ce jour et de remettre mon mandat aux militants qui m'ont élu lors du 5e congrès", a indiqué le démissionnaire dans son message. "Mon retrait de cette instance implique automatiquement l'organisation d'un congrès extraordinaire sur le plan statutaire", explique Laskri dans son message. En effet la tenue d'un ngrès extraordinaire devient, de par les statuts du parti, incontournable. Il fautdire que l'instance présidentielle, qui se composait à l'origine de 5 membres, n'encompte plus que 2 désormais. Ce qui est non conformes aux statuts du parti . D'ailleurs dans son message de démission,Ali Laskri a bel et bien rappelé cette évidence en invoquant notamment l'article 48. Rappelons que l'instance présidentielle créée lors du dernier congrès de 2013 comprenait cinq membres. Il s'agissaait de Mohamed Amokrane Cherifi, Ali Laskri, Rachid Hallet, Aziz Baloul et Saïda Ichalaméne. Avant la démission hier d'Ali Laskri, Saïda Ichalaméne a claqué elle aussi la porte de cette instance présidentielle. Une démission qui s'est deroulée dans une totale discrétion puisqu'elle ne semble pas avoir provoqué, à tout le moins publiquement, beaucoup de vagues. Ce qui n'a pas été le cas de l'épilogue de Rachid Hallet. Ce dernier, considéré comme un cadre très important a été, pour rappel, exclu des rangs du FFS vers la fin de l'année 2016. Une exclusion qui a plongé le parti dans une profonde crise organique et politique. Rachid Hallet avait alors accusé ses detracteurs de l'instance présidentielle, notamment Ali Laskri, de "putschistes". Dans la foulée , comme l'indiquait Rachid Hallet, il y a eu "une purge" au sein du FFS puisque tous lescadres qui lui sont proches ont été poussés vers la sortie. Autant dire que le FFSest, depuis lors, entré dans un profond processus de crise qui s'est aussi ponctué par le changement du secrétariat national. Abdelmalek Bouchaffa, alors premier secrétaire et qui a été tête de liste du parti à Constantine lors des élections législatives de mai dernier mais qui n'a pas eu les faveurs des électeurs, a été déchargé de sa fonction et remplacé par Hadj Djilani Mohamed. Cela dit Ali Laskri a refusé, dans sa démission, de dévoiler les raisons l'ayant poussé à quitter l'instance présidentielle. Il a promis de s'expliquer devantles membres du conseil national qui se réuniront en session ordinaire les 16 et 17 février prochains. Et c'est peut-être lors de cette session que le FFS décidera d'engager les préparatifs pour la tenue du congrès extraordinaire. Un congrès extraordinaire qui, pour Ali Laskri, sera "dans l'intérêt salvateur du parti, à travers l'élection d'une nouvelle instance présidentielle, ce qui va amener une nouvelle dynamique d'espoir de tout un peuple".