Les relations entre le Cnapeste et la ministre del'éducation sont loin d'êtreapaisées, malgré une reprise des cours, après une grèved'un mois et le risque d'un nouveau blocage n'est pas tout à fait à exclure. Les relations entre le Cnapeste et la ministre del'éducation sont loin d'êtreapaisées, malgré une reprise des cours, après une grèved'un mois et le risque d'un nouveau blocage n'est pas tout à fait à exclure. Le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique de l'éducation (Cnapeste) a appelé, hier, les "hautes autorités du pays et ceux quisont attachés au secteur de l'Education nationale à intervenir afin de dévoilerla vérité du complot, de réhabiliter l'école algérienne et de l'éloigner de toutes les formes de provocations et demanoeuvres qui peuvent la pousser versde nouvelles tensions". Dans son communiqué, l'organisationsyndicale revient sur les blocages dans les négociations avec le ministère del'Education nationale. "Le bureaunational a répondu à l'invitation quilui a été adressée le 4 mars pour uneséance de travail qui a duré onze heureset qui s'est terminée sur un blocageconcernant la non reprise des enseignantsde Blida après l'arrêt de la grève,vu que la tutelle leur a imposé le dépôt de recours afin d'annuler leurs radiations illégales", assure-t-elle."Et malgré l'initiative du syndicat pourmettre fin à la grève dans la wilaya deBlida qui a permis la reprise des enseignants au moment où un accord a été trouvé pour mettre un calendrier pour les retenues relatives aux journéesde grèves, le bureau national a été surprispar les instructions envoyées parle ministère de l'Education nationaleaux directions de l'éducation portantsur la ponction de tout le salaire du mois de mars (...)", poursuit la mêmesource. Le Cnapeste affirme également avoirpris part à une séance de négociations,hier dimanche, qui a duré dix heures.Selon lui, cette rencontre s'est également terminée sur un blocage vu que le"ministère de l'Education nationale afait machine arrière sur son engagement portant sur le 31 mars fixécomme une date limite pour la fin des travaux de la commission technique mixte afin de déterminer le pourcentagepour la promotion dans certainsrangs".L'organisation syndicale évoque également"la décision surprenante etimprovisée et non étudiée" du ministèrerelative à l'ouverture d'une consultationen vue de fixer une autre datepour l'examen du baccalauréat et prévientcontre ses conséquences. Le Cnapeste estime que la "situation estdangereuse et accuse les responsables du ministère de l'Education de pratiquespoussant le secteur vers le blocagedans une période sensible". L'organisation a appelé les enseignantsà tenir des assemblées générales avantle 15 mars et des assemblées de wilayas le 17 mars afin de terminer les moyes de répondre aux provocations et préparr la tenue des travaux du conseil nation l dont la date sera fixéeultérieurement. Le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique de l'éducation (Cnapeste) a appelé, hier, les "hautes autorités du pays et ceux quisont attachés au secteur de l'Education nationale à intervenir afin de dévoilerla vérité du complot, de réhabiliter l'école algérienne et de l'éloigner de toutes les formes de provocations et demanoeuvres qui peuvent la pousser versde nouvelles tensions". Dans son communiqué, l'organisationsyndicale revient sur les blocages dans les négociations avec le ministère del'Education nationale. "Le bureaunational a répondu à l'invitation quilui a été adressée le 4 mars pour uneséance de travail qui a duré onze heureset qui s'est terminée sur un blocageconcernant la non reprise des enseignantsde Blida après l'arrêt de la grève,vu que la tutelle leur a imposé le dépôt de recours afin d'annuler leurs radiations illégales", assure-t-elle."Et malgré l'initiative du syndicat pourmettre fin à la grève dans la wilaya deBlida qui a permis la reprise des enseignants au moment où un accord a été trouvé pour mettre un calendrier pour les retenues relatives aux journéesde grèves, le bureau national a été surprispar les instructions envoyées parle ministère de l'Education nationaleaux directions de l'éducation portantsur la ponction de tout le salaire du mois de mars (...)", poursuit la mêmesource. Le Cnapeste affirme également avoirpris part à une séance de négociations,hier dimanche, qui a duré dix heures.Selon lui, cette rencontre s'est également terminée sur un blocage vu que le"ministère de l'Education nationale afait machine arrière sur son engagement portant sur le 31 mars fixécomme une date limite pour la fin des travaux de la commission technique mixte afin de déterminer le pourcentagepour la promotion dans certainsrangs".L'organisation syndicale évoque également"la décision surprenante etimprovisée et non étudiée" du ministèrerelative à l'ouverture d'une consultationen vue de fixer une autre datepour l'examen du baccalauréat et prévientcontre ses conséquences. Le Cnapeste estime que la "situation estdangereuse et accuse les responsables du ministère de l'Education de pratiquespoussant le secteur vers le blocagedans une période sensible". L'organisation a appelé les enseignantsà tenir des assemblées générales avantle 15 mars et des assemblées de wilayas le 17 mars afin de terminer les moyes de répondre aux provocations et préparr la tenue des travaux du conseil nation l dont la date sera fixéeultérieurement.