Les internes en médecine des hôpitaux d'Alger ont entamé, hier, une grève générale illimitée, selon le Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra). Les internes en médecine des hôpitaux d'Alger ont entamé, hier, une grève générale illimitée, selon le Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra). Le mouvement de grève déclenché en solidarité avec les résidents en grèvedepuis quatre mois coïncide avec lacréation du Collectif autonome desinternes en médecine algériens (Caima).Avec la création de ce nouveau collectif,il faut s'attendre à ce que la grève des internes s'étende à tous les CHU du paysdans les prochains jours. "Les internes ont arrêté toutes leurs activitéset ne se sont même pas présentéspour obtenir leurs nouvelles affectations,ce mardi étant le premier jour d'un nouveau cycle de stages où les internes devaient rejoindre leurs nouveaux services", a expliqué à TSA le docteurBoutaleb, porte-parole du Camra.Pour le Camra, la grève des internes aura,sur les hôpitaux, un impact bien plusgrave que celle des résidents. "Depuis le début de notre grève et surtoutdepuis l'arrêt des astreintes de jour, les internes ont été chargés de toutes lestâches, y compris celles qui nécessitent les compétences spécialisées des résidents",a affirmé le porte-parole du Camraqui prédit "une paralysie totale des hôpitaux par cette grève".Les internes, par cette grève, comptent rappeler "qu'ils sont concernés par toutes les revendications portées par le Camra, puisqu'à l'avenir, ils seront, pour la plupart, amenés à subir les mêmes conditions sociales et professionnelles si on n'arrive pas à changer les choses", a insisté le docteur Boutaleb. Les médecins spécialistes diplômés ont, quant à eux, déposé un préavis de grève nationale cyclique qui débutera le 27 mars.Les médecins spécialistes avaient, dansleur grande majorité, quitté les deux syndicats principaux de médecins spécialistes (SNPSSP et SNPSP) pour s'organiser au sein du Collectif autonome des médecins spécialistes algériens (Camsa). C'est ce collectif qui est derrière le préavis de grève. Le mouvement de grève déclenché en solidarité avec les résidents en grèvedepuis quatre mois coïncide avec lacréation du Collectif autonome desinternes en médecine algériens (Caima).Avec la création de ce nouveau collectif,il faut s'attendre à ce que la grève des internes s'étende à tous les CHU du paysdans les prochains jours. "Les internes ont arrêté toutes leurs activitéset ne se sont même pas présentéspour obtenir leurs nouvelles affectations,ce mardi étant le premier jour d'un nouveau cycle de stages où les internes devaient rejoindre leurs nouveaux services", a expliqué à TSA le docteurBoutaleb, porte-parole du Camra.Pour le Camra, la grève des internes aura,sur les hôpitaux, un impact bien plusgrave que celle des résidents. "Depuis le début de notre grève et surtoutdepuis l'arrêt des astreintes de jour, les internes ont été chargés de toutes lestâches, y compris celles qui nécessitent les compétences spécialisées des résidents",a affirmé le porte-parole du Camraqui prédit "une paralysie totale des hôpitaux par cette grève".Les internes, par cette grève, comptent rappeler "qu'ils sont concernés par toutes les revendications portées par le Camra, puisqu'à l'avenir, ils seront, pour la plupart, amenés à subir les mêmes conditions sociales et professionnelles si on n'arrive pas à changer les choses", a insisté le docteur Boutaleb. Les médecins spécialistes diplômés ont, quant à eux, déposé un préavis de grève nationale cyclique qui débutera le 27 mars.Les médecins spécialistes avaient, dansleur grande majorité, quitté les deux syndicats principaux de médecins spécialistes (SNPSSP et SNPSP) pour s'organiser au sein du Collectif autonome des médecins spécialistes algériens (Camsa). C'est ce collectif qui est derrière le préavis de grève.