Nouria Benghabrit, a lancé une invitation à l'intersyndicale, qui compte notamment le SATEF, l'UNPEF, le SNTE, le CLA, le SNAPEST, pour une réunion mardi 3 avril. Nouria Benghabrit, a lancé une invitation à l'intersyndicale, qui compte notamment le SATEF, l'UNPEF, le SNTE, le CLA, le SNAPEST, pour une réunion mardi 3 avril. Des sources syndicales proches de la Coordination qui ont révélé l'information, ont confirmé leur participation à cette réunion pour discuter « des revendications qui restent encore en suspens». Le choix de la date du 3 avril n'est pas fortuit, car c'est la veille de la grève générale à laquelle avaient appelé plusieurs syndicats de l'Education, la Santé, la Fonction publique, les Télécoms et les Collectivités locales pour dénoncer la baisse du pouvoir d'achat des travailleurs. Benghabrit parviendra-t-elle à faire changer d'avis à ses partenaires syndicaux, à l'occasion de cette énième réunion de concertation ? Faut-il qu'elle ait la latitude de lâcher un peu de lest par rapport à certaines des revendications ? Le CNAPESTE pour sa part, a fait le choix de la rupture du dialogue et de la confrontation frontale avec la ministre en optant, dès la reprise des cours demain, pour une grève en pointillés, au rythme de deux jours par semaine. Des sources syndicales proches de la Coordination qui ont révélé l'information, ont confirmé leur participation à cette réunion pour discuter « des revendications qui restent encore en suspens». Le choix de la date du 3 avril n'est pas fortuit, car c'est la veille de la grève générale à laquelle avaient appelé plusieurs syndicats de l'Education, la Santé, la Fonction publique, les Télécoms et les Collectivités locales pour dénoncer la baisse du pouvoir d'achat des travailleurs. Benghabrit parviendra-t-elle à faire changer d'avis à ses partenaires syndicaux, à l'occasion de cette énième réunion de concertation ? Faut-il qu'elle ait la latitude de lâcher un peu de lest par rapport à certaines des revendications ? Le CNAPESTE pour sa part, a fait le choix de la rupture du dialogue et de la confrontation frontale avec la ministre en optant, dès la reprise des cours demain, pour une grève en pointillés, au rythme de deux jours par semaine.