Le MSP refuse d'admettre l'existence d'un conflit dans ses rangs. Lors d'une conférence de presse organiséehier, le président de la Commission de préparation du septième congrès du parti qui se tiendra début mai préfère parler de "débat vif". Le MSP refuse d'admettre l'existence d'un conflit dans ses rangs. Lors d'une conférence de presse organiséehier, le président de la Commission de préparation du septième congrès du parti qui se tiendra début mai préfère parler de "débat vif". Nous "avons un grand parti connu qui a descadres et au sein duquel il y a un débat nonpas houleux mais vif quienrichit le mouvement. Un débat fort dans l'intérêt duparti et de l'Algérie",balaie BoubakeurGueddouda, président de la Commission de préparation du septième congrès etprésident du Conseilconsultatif.Interrogé sur les sortiesintempestives de l'ancienprésident du parti,Bouguerra Soltani, contrela direction actuelle, M.Gueddouda fait l'éloge de la démocratie au sein du MSP. "Nous sommes unparti démocratique et on veut la démocratie enAlgérie. M. Soltani a desdroits comme n'importequel membre du mouvement. Ce n'est pas illicitede critiquer le président duparti. On veut que ce soitdans les structures (...).Bouguerra Soltani a fait des propositions qui ont étéacceptées. Il a déjeunéavec le président du parti", tempère-t-il.Abderrezak Makri tente-til d'influencer la commission chargée de la préparation du congrès ? Boubakeur Gueddouda s'interroge : "Je me demande comment Abderrezak Makri pourrait influencer la commission.Je ne l'ai pas vu intervenir et les mécanismes ne lui permettent pas d'intervenir. On veut que notre parti soit un exemple de démocratie. Et on pense que le parti l'a prouvé", a souligné M. Gueddouda qui rappelle la réussite de la fusion entre le MSP et le Front du changement de Abdelmadjid Menasra. "Si on dit qu'il y a une sérénité, cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de discussions et de débat", insiste c e responsable. Selon lui, la campagne pour la présidence du MSP n'a pas encore commencé. Le Conseil consultatif du parti se réunira vendredi prochain pour trancher sur une proposition faite par la direction consistant à permettre aux candidats de présenter leurs programmes et de contacter les militants à travers toutes les wilayas avant le congrès. Aucun cadre n'a encore déposé sa candidature même le président du Mouvement. Abderezzak Makri a d'ailleurstenu un point de presse juste après la conférence de presse deBoubakeur Gueddouda. Comment expliquer sa programmation ? "Ce n'est pas une conférence de presse qui a été planifiée. Nous avons décidé de la faire vu l'insistance des journalistes à nous poser des questions", répond Abderrezak Makri avant de rappeler qu'il occupe toujours le poste du président du parti qui exerce normalement ses prérogatives jusqu'au jour du congrès. Abderrezak Makri dément être déjà en campagne. "J'ai dit que la campagne va commencer quand le Conseil consultatif validera la proposition qui a été faite. Ce que j'entreprendsfait partie des activités du président du MSP, ce n'est pas l'activité d'un candidat. Quand la campagne commencera, tous les candidats seront sur un même pied d'égalité. Et jusqu'à maintenant, il n'y a aucun candidat", assurel'actuel patron du MSP qui revient également sur les prochaines présidentielles. "Nous sommes fidèles à la ligne que nous avons adoptée lors du cinquième congrès du parti et qui est liée au consensus politique", précise-t-il. Pour lui, ce sont les circonstances politiques qui vont dicter le comportement à adopter. Le président de la Commission de préparation du septième congrès du parti a estimé que c'est à la prochaine direction et au Conseil consultatif de décider si leparti participe ou non à l'élection présidentielle. Le MSP "ne participera pas" à cette élection "pour les autres". Nous "avons un grand parti connu qui a descadres et au sein duquel il y a un débat nonpas houleux mais vif quienrichit le mouvement. Un débat fort dans l'intérêt duparti et de l'Algérie",balaie BoubakeurGueddouda, président de la Commission de préparation du septième congrès etprésident du Conseilconsultatif.Interrogé sur les sortiesintempestives de l'ancienprésident du parti,Bouguerra Soltani, contrela direction actuelle, M.Gueddouda fait l'éloge de la démocratie au sein du MSP. "Nous sommes unparti démocratique et on veut la démocratie enAlgérie. M. Soltani a desdroits comme n'importequel membre du mouvement. Ce n'est pas illicitede critiquer le président duparti. On veut que ce soitdans les structures (...).Bouguerra Soltani a fait des propositions qui ont étéacceptées. Il a déjeunéavec le président du parti", tempère-t-il.Abderrezak Makri tente-til d'influencer la commission chargée de la préparation du congrès ? Boubakeur Gueddouda s'interroge : "Je me demande comment Abderrezak Makri pourrait influencer la commission.Je ne l'ai pas vu intervenir et les mécanismes ne lui permettent pas d'intervenir. On veut que notre parti soit un exemple de démocratie. Et on pense que le parti l'a prouvé", a souligné M. Gueddouda qui rappelle la réussite de la fusion entre le MSP et le Front du changement de Abdelmadjid Menasra. "Si on dit qu'il y a une sérénité, cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de discussions et de débat", insiste c e responsable. Selon lui, la campagne pour la présidence du MSP n'a pas encore commencé. Le Conseil consultatif du parti se réunira vendredi prochain pour trancher sur une proposition faite par la direction consistant à permettre aux candidats de présenter leurs programmes et de contacter les militants à travers toutes les wilayas avant le congrès. Aucun cadre n'a encore déposé sa candidature même le président du Mouvement. Abderezzak Makri a d'ailleurstenu un point de presse juste après la conférence de presse deBoubakeur Gueddouda. Comment expliquer sa programmation ? "Ce n'est pas une conférence de presse qui a été planifiée. Nous avons décidé de la faire vu l'insistance des journalistes à nous poser des questions", répond Abderrezak Makri avant de rappeler qu'il occupe toujours le poste du président du parti qui exerce normalement ses prérogatives jusqu'au jour du congrès. Abderrezak Makri dément être déjà en campagne. "J'ai dit que la campagne va commencer quand le Conseil consultatif validera la proposition qui a été faite. Ce que j'entreprendsfait partie des activités du président du MSP, ce n'est pas l'activité d'un candidat. Quand la campagne commencera, tous les candidats seront sur un même pied d'égalité. Et jusqu'à maintenant, il n'y a aucun candidat", assurel'actuel patron du MSP qui revient également sur les prochaines présidentielles. "Nous sommes fidèles à la ligne que nous avons adoptée lors du cinquième congrès du parti et qui est liée au consensus politique", précise-t-il. Pour lui, ce sont les circonstances politiques qui vont dicter le comportement à adopter. Le président de la Commission de préparation du septième congrès du parti a estimé que c'est à la prochaine direction et au Conseil consultatif de décider si leparti participe ou non à l'élection présidentielle. Le MSP "ne participera pas" à cette élection "pour les autres".