Une nouvelle hausse des prix des fruits et des légumes a été constatée cette semaine à travers plusieurs marchés de la capitale à l'instar des autres wilayas du pays, et ce, à quelques semaines du mois sacré du Ramadhan. Une nouvelle hausse des prix des fruits et des légumes a été constatée cette semaine à travers plusieurs marchés de la capitale à l'instar des autres wilayas du pays, et ce, à quelques semaines du mois sacré du Ramadhan. En effet, après les prix très abordables enregistrés pratiquement tout au long de plusieurs semaines durant, la mercuriale connaîtune augmentation affolante,mettant les moyennes et faiblesbourses dans l'embarras,quand on considère le taux de cette flambée, qui frôle pour plupart des produits les 70 %, voire plus. Une tournée dans les espaces de commerce de la capitale, relève laconstante augmentation desprix des fruits et légumes.Aussi bien au marché Ali-Mellah à Sidi- M'Hamedqu'au marché populaire de Meissonnier, la situation est inquiétante, au vu des prix affichés sur les étals. La tomate, la pomme de terre, les courgettes, et le poivron sur pied pour ne citer que ceux-ci, ne sont plus à la portée des ménages, qui retournent bredouilles pour les uns, avant de quitter les marchés avec des paniers visiblement vides oupresque. La tomate est passéed e40 DA à 110 DA, de mêmepour la courgette qui a atteintles 120 DA alors qu'elle étaità 80 DA il y a quelques jours.Le prix de la pomme de terre est passé de 35 à 55 dinars. L'oignon à 50 DA alors qu'il était seulement à 30 DA. De leur côté, les chefs de famille expriment leur mécontentement quant à cette hausse des prix et ils craignent qu'elle ne perdure dans les prochains jours, notamment avec l'arrivée du mois de Ramadhan et la saison estivale qui approche à grand pas où le budget des ménages est souvent soumis à rude épreuve. En attendant les ménages essayent de trouver le moyen d'amortir le choc. "C'est devenu une habitude depuis quelques années, les prix des fruits et légumes s'envolent à l'approche de chaque fête religieuse ou grand événement", dira une ménagère restée perplexe devant cette situation qui devient de plus en plus un cauchemar pour les familles aux moyennes et faibles bourses. Aucun produit n'échappe, malheureusement, à ce qui est visiblement devenu une règle, et ce, au grand désarroi des citoyens. Les arguments avancés par les vendeurs sont les prix élevés à l'achat chez les grossistes en cette période de l'année. Les marchands et les commerçants apostrophés sur la question, mettent toujours en avant les sempiternelles excuses. En conclusion, c'est le consommateur qui paye les conséquences ! En dépit des plans élaborés par les pouvoirs publics pour contrecarrer cette flambée, la hausse vertigineuse, particulièrement des produits agricoles, est toujours de rigueur. Une rigueur qui renseigne sur l'ampleur de l'intervention, en amont des spéculateurs au marché de gros. Une ténacité qui met du coup à nu l'incapacité des servicesde la direction du contrôle des prix (DCP), chargés de lutter contre cette situation, qualifiée d'insoutenableparplus d'un En effet, après les prix très abordables enregistrés pratiquement tout au long de plusieurs semaines durant, la mercuriale connaîtune augmentation affolante,mettant les moyennes et faiblesbourses dans l'embarras,quand on considère le taux de cette flambée, qui frôle pour plupart des produits les 70 %, voire plus. Une tournée dans les espaces de commerce de la capitale, relève laconstante augmentation desprix des fruits et légumes.Aussi bien au marché Ali-Mellah à Sidi- M'Hamedqu'au marché populaire de Meissonnier, la situation est inquiétante, au vu des prix affichés sur les étals. La tomate, la pomme de terre, les courgettes, et le poivron sur pied pour ne citer que ceux-ci, ne sont plus à la portée des ménages, qui retournent bredouilles pour les uns, avant de quitter les marchés avec des paniers visiblement vides oupresque. La tomate est passéed e40 DA à 110 DA, de mêmepour la courgette qui a atteintles 120 DA alors qu'elle étaità 80 DA il y a quelques jours.Le prix de la pomme de terre est passé de 35 à 55 dinars. L'oignon à 50 DA alors qu'il était seulement à 30 DA. De leur côté, les chefs de famille expriment leur mécontentement quant à cette hausse des prix et ils craignent qu'elle ne perdure dans les prochains jours, notamment avec l'arrivée du mois de Ramadhan et la saison estivale qui approche à grand pas où le budget des ménages est souvent soumis à rude épreuve. En attendant les ménages essayent de trouver le moyen d'amortir le choc. "C'est devenu une habitude depuis quelques années, les prix des fruits et légumes s'envolent à l'approche de chaque fête religieuse ou grand événement", dira une ménagère restée perplexe devant cette situation qui devient de plus en plus un cauchemar pour les familles aux moyennes et faibles bourses. Aucun produit n'échappe, malheureusement, à ce qui est visiblement devenu une règle, et ce, au grand désarroi des citoyens. Les arguments avancés par les vendeurs sont les prix élevés à l'achat chez les grossistes en cette période de l'année. Les marchands et les commerçants apostrophés sur la question, mettent toujours en avant les sempiternelles excuses. En conclusion, c'est le consommateur qui paye les conséquences ! En dépit des plans élaborés par les pouvoirs publics pour contrecarrer cette flambée, la hausse vertigineuse, particulièrement des produits agricoles, est toujours de rigueur. Une rigueur qui renseigne sur l'ampleur de l'intervention, en amont des spéculateurs au marché de gros. Une ténacité qui met du coup à nu l'incapacité des servicesde la direction du contrôle des prix (DCP), chargés de lutter contre cette situation, qualifiée d'insoutenableparplus d'un