Les prix des fruits et légumes enregistrent une augmentation scandaleuse depuis déjà quelques semaines. Les citoyens subissent la loi imposée par les commerçants "cupides", qui ne leur donnent que le choix de retourner chez eux bredouilles, le panier vide ! Les prix atteignent des sommets. Les prix des fruits et légumes enregistrent une augmentation scandaleuse depuis déjà quelques semaines. Les citoyens subissent la loi imposée par les commerçants "cupides", qui ne leur donnent que le choix de retourner chez eux bredouilles, le panier vide ! Les prix atteignent des sommets. Du jamais vu ! La pomme de terre, produit de consommation de base pour les Algériens, atteint les 60 DA, une hausse de 60 % par rapport au mois de décembre dernier. Tomate, courgette, oignon, haricots verts, carotte et pratiquement tous les légumes ne font pas exception. Certains connaissent une hausse de 100 %, voire plus. Les fruits, même ceux de saison, connaissent des hausses inexplicables pour le simple citoyen dont le pouvoir d'achat ne cesse de dégringoler. Le record de la hausse est battu par l'ail dont le prix dépasse 1.800 DA le kilogramme et la banane qui était à 600 DA, a connu (encore) depuis peu, une flambée vertigineuse pour atteindre 900 DA le kilo, sur le marché du détail. L'ail local, qui vient de faire son entrée sur le marché, est proposé à 300 DA le kilogramme, mais les quantités restent insuffisantes pour le rééquilibrage du marché. Les haricots verts, la tomate et la courgette sont affichées respectivement à 500, 150 et 180 dinars le kilo. Même les légumes de saison sont touchés par la flambée comme les petits pois (140 DA), l'artichaut (150 DA). Outre les légumes, les fruits sont également touchés par la flambée. La pomme algérienne oscille entre 180 et 600 DAle Kg, la poire est proposée à 550 DA. Pour l'orange, un fruit de saison, son prix varie entre de 80 DA et 250 DA le kilo, selon la qualité. Les fruits exotiques ont quasiment disparu des étals. Et lorsqu'ils sont disponibles, ils sont hors de prix. Le kiwi est un peu plus cher, son prix s'approche des 1.000 DA le kilo. Des produits hors de portée de la majorité des Algériens. A deux mois du mois sacré de Ramadhan, les ménagères commencent à se déjà à se plaindre. Les petites bourses s'inquiètent déjà. Le mercure serait à la hausse. Pas celui de la température mais celui des prix des fruits et légumes, des viandes blanche et rouge. Nos commerçants seront sûrement fidèles à la tradition. Cette année n'échappera pas à la règle. Même si cette saison, le jeûne interviendra à la fin du mois de mai, où les récoltes en fruits et légumes doivent être abondantes vu qu'il a beaucoup plu. Sans oublier les produits stockés dans les chambres froides. Selon les observateurs, le blocage des importations des fruits et légumes est l'un des facteurs à l'origine de la hausse vertigineuse de certains produits. La décision du ministre du Commerce par intérim, Abdelmadjid Tebboune, d'accorder les contrats d'importation à 8 importateurs, a mis le feu dans un marché déjà bien chaud. Tebboune, et depuis sa prise en main du ministère du Commerce, et sa volonté de réguler le marché afin, disait-il, "de préserver la devise", a provoqué (directement ou indirectement) une hausse extraordinaire des prix de plusieurs produits alimentaires . Du jamais vu ! La pomme de terre, produit de consommation de base pour les Algériens, atteint les 60 DA, une hausse de 60 % par rapport au mois de décembre dernier. Tomate, courgette, oignon, haricots verts, carotte et pratiquement tous les légumes ne font pas exception. Certains connaissent une hausse de 100 %, voire plus. Les fruits, même ceux de saison, connaissent des hausses inexplicables pour le simple citoyen dont le pouvoir d'achat ne cesse de dégringoler. Le record de la hausse est battu par l'ail dont le prix dépasse 1.800 DA le kilogramme et la banane qui était à 600 DA, a connu (encore) depuis peu, une flambée vertigineuse pour atteindre 900 DA le kilo, sur le marché du détail. L'ail local, qui vient de faire son entrée sur le marché, est proposé à 300 DA le kilogramme, mais les quantités restent insuffisantes pour le rééquilibrage du marché. Les haricots verts, la tomate et la courgette sont affichées respectivement à 500, 150 et 180 dinars le kilo. Même les légumes de saison sont touchés par la flambée comme les petits pois (140 DA), l'artichaut (150 DA). Outre les légumes, les fruits sont également touchés par la flambée. La pomme algérienne oscille entre 180 et 600 DAle Kg, la poire est proposée à 550 DA. Pour l'orange, un fruit de saison, son prix varie entre de 80 DA et 250 DA le kilo, selon la qualité. Les fruits exotiques ont quasiment disparu des étals. Et lorsqu'ils sont disponibles, ils sont hors de prix. Le kiwi est un peu plus cher, son prix s'approche des 1.000 DA le kilo. Des produits hors de portée de la majorité des Algériens. A deux mois du mois sacré de Ramadhan, les ménagères commencent à se déjà à se plaindre. Les petites bourses s'inquiètent déjà. Le mercure serait à la hausse. Pas celui de la température mais celui des prix des fruits et légumes, des viandes blanche et rouge. Nos commerçants seront sûrement fidèles à la tradition. Cette année n'échappera pas à la règle. Même si cette saison, le jeûne interviendra à la fin du mois de mai, où les récoltes en fruits et légumes doivent être abondantes vu qu'il a beaucoup plu. Sans oublier les produits stockés dans les chambres froides. Selon les observateurs, le blocage des importations des fruits et légumes est l'un des facteurs à l'origine de la hausse vertigineuse de certains produits. La décision du ministre du Commerce par intérim, Abdelmadjid Tebboune, d'accorder les contrats d'importation à 8 importateurs, a mis le feu dans un marché déjà bien chaud. Tebboune, et depuis sa prise en main du ministère du Commerce, et sa volonté de réguler le marché afin, disait-il, "de préserver la devise", a provoqué (directement ou indirectement) une hausse extraordinaire des prix de plusieurs produits alimentaires .