Au lendemain de la décision des résidents de Tizi-Ouzou de durcir leur mouvement de contestation, le ministère de la Santé monte au créneau pour défendre ses propositions. Au lendemain de la décision des résidents de Tizi-Ouzou de durcir leur mouvement de contestation, le ministère de la Santé monte au créneau pour défendre ses propositions. Le président de la commission interministérielle chargée du dialogue avec les résidents des sciences médicales a défendu, avant-hier, les réponses «concrètes » données par le département deHasbellaoui aux grévistes en ce qui concerne la majorité des points contenus dans la plateforme de revendications, dont le principal est lié au service civil. « Nous avons répondu aux résidents de manière claire. L'abrogation de l'obligationdu service civil n'est pas à l'ordre dujour. Le principe de solidarité est un principe fondamental dans notre système de santé », rappelle Omar Beredjouane qui est également inspecteur général auministère. « Parallèlement, nous avons proposé une chose concrète aux résidents dans ledomaine de la modulation du service civil. Lundi passé, nous avons tenu uneréunion avec eux. Pour la première fois,ils nous ont fait une proposition écrite concernant lamodulation du service civil, on a étudié et on a pris en considération leur proposition ainsi que les conclusions et recommandations de la commission nationale d'affectation des praticiens spécialistes assujettis au service civil. Nous avons fait un travail et nous leur avons communiqué ce travail hier », poursuit la même source. Pour ce responsable, le ministère de la Santé a fait un « effort considérable en matière de modulation du service civil ». « L'objectif est de rendre ce service civil incitatif afin de permettre aux résidents d'aller dans différentes wilayas », soutient- il. Omar Beredjouane est revenu également sur la revendication portant sur le service militaire en expliquant la proposition du département de la santé. « Le ministre a pris la décision pour défalquer la durée du service militaire accompli de la durée du service civil. Il y a eu d'autres avantages en matière de regroupement familial, de statut », assure-t-il. Selon le président de la commission interministérielle chargée du dialogue avec les résidents, aucun poste budgétaire ne sera également ouvert en l'absence du plateau technique. « On n'affecte pas aussi les médecins s'il n'y a pas de logement (de fonction) », certifie-t-il. Et d'ajouter : « Lundi prochain, la première réunion sur la révision de certains aspectsliés au statut des résidents (aura lieu) ». Interrogé sur le départ des médecins spécialistes algériens à l'étranger, Omar Beredjouane répond : « Nous sommes en train de réunir toutes les conditions favorablespour permettre à nos médecins d'exercer chez nous. » Le président de la commission interministérielle chargée du dialogue avec les résidents des sciences médicales a défendu, avant-hier, les réponses «concrètes » données par le département deHasbellaoui aux grévistes en ce qui concerne la majorité des points contenus dans la plateforme de revendications, dont le principal est lié au service civil. « Nous avons répondu aux résidents de manière claire. L'abrogation de l'obligationdu service civil n'est pas à l'ordre dujour. Le principe de solidarité est un principe fondamental dans notre système de santé », rappelle Omar Beredjouane qui est également inspecteur général auministère. « Parallèlement, nous avons proposé une chose concrète aux résidents dans ledomaine de la modulation du service civil. Lundi passé, nous avons tenu uneréunion avec eux. Pour la première fois,ils nous ont fait une proposition écrite concernant lamodulation du service civil, on a étudié et on a pris en considération leur proposition ainsi que les conclusions et recommandations de la commission nationale d'affectation des praticiens spécialistes assujettis au service civil. Nous avons fait un travail et nous leur avons communiqué ce travail hier », poursuit la même source. Pour ce responsable, le ministère de la Santé a fait un « effort considérable en matière de modulation du service civil ». « L'objectif est de rendre ce service civil incitatif afin de permettre aux résidents d'aller dans différentes wilayas », soutient- il. Omar Beredjouane est revenu également sur la revendication portant sur le service militaire en expliquant la proposition du département de la santé. « Le ministre a pris la décision pour défalquer la durée du service militaire accompli de la durée du service civil. Il y a eu d'autres avantages en matière de regroupement familial, de statut », assure-t-il. Selon le président de la commission interministérielle chargée du dialogue avec les résidents, aucun poste budgétaire ne sera également ouvert en l'absence du plateau technique. « On n'affecte pas aussi les médecins s'il n'y a pas de logement (de fonction) », certifie-t-il. Et d'ajouter : « Lundi prochain, la première réunion sur la révision de certains aspectsliés au statut des résidents (aura lieu) ». Interrogé sur le départ des médecins spécialistes algériens à l'étranger, Omar Beredjouane répond : « Nous sommes en train de réunir toutes les conditions favorablespour permettre à nos médecins d'exercer chez nous. »