à propos d'élection justement, le chef du FLN a tenu àpréciser que "le FLN n'a pasdéposé la candidature deBouteflika, mais il lui a justedemandé de poursuivre samission en réponse à l'appel des militants et des citoyens". à propos d'élection justement, le chef du FLN a tenu àpréciser que "le FLN n'a pasdéposé la candidature deBouteflika, mais il lui a justedemandé de poursuivre samission en réponse à l'appel des militants et des citoyens". Cette précision se veut comme une mise au point, de la part de OuldAbbès, à ceux qui ont vu dans son appel au président de briguer un cinquièmemandat une candidature de facto. Pour rappel,Ould Abbès a toujours précisé que le"dernier mot revient au Président". Après cette mise au point à qui de droit, le patron du FLN est revenu sur le bilan duprésident en évoquant les 4 millions delogements realisés en 20 ans, les 27.000écoles, les lignes de métro et de tramway.Le règlement définitif du problème del'eau potable pour les habitants d'Oran,grâce au projet MAO (Mostaganem,Arzew, Oran) et les habitants deTamanrasset grâce au gigantesque projet detransfert sur 750 kilomètres de Aïn- Salah jusqu'à la capitale du Hoggar. Au crédit du bilan politique du présidentBouteflika, Ould Abbès met en valeur enpremier lieu "la réconciliation nationale",sa mission prioritaire, après son arrivée aupouvoir en 1999. A ce propos, OuldAbbès révélera qu'il était chargé par le président,de suivre en sa qualité de ministre de la Solidarité nationale, le dossier des repentis. Il indiquera aussi que l'ancien Président Ahmed Benbella avait joué, à la demande du Président Bouteflika, un rôle de médiateur avec les islamistes. La consécration progressive de tamazight, langue nationale, puis langue nationale et officielle et la création d'une académie sont au nombre des avancées politiques mises en valeur par OuldAbbès qui évoque, par ailleurs la promotion du rôle politique des femmes, dont le nombre est passé de 15 en 1997 à 156 femmes députés. La liberté de la presse avec 170 quotidiens, la dépénalisation du délit de presse, la liberté du culte, sont également soulignés par Ould Abbès, comme autant d'acquis de ce bilan politique. Ce dernier évoque aussi la crise de Kabylie en 2001 avec ses 126 morts, les émeutes de Kabylie qui ont pu être désamorcées"grâce à la politique clairvoyante et à la sagesse du Président Bouteflika". "La Kabylie est le bastion du patriotisme" Djamel Ould Abbès a encensé également hier la Kabylie. Lors d'une conférence de presse animée au siège du parti, Djamel OuldAbbès a évoqué la polémique enclenché autour de la Kabylie après la finale de la Coupe d'Algérie. "La Kabylie est le bastion du patriotisme", a estimé Djamel Ould Abbès, qui rappelle que 8 des 9 fondateurs de l'Etoile nord-africaine étaientkabyles. Selon le SG de l'ex-parti unique, seul Messali Hadj ne l'était pas. Il reconnait, cependant, qu'en Kabylie, il existe une "minorité séparatiste". Pourquoi l'Algérie est mieux que tous les pays arabes "Nous sommes mieux que tous les pays arabes. Et pas seulement en terme sécuritaire". C'est ce qu'a déclaré Djamel Ould Abbès, hier matin à l'issue d'une conférence de presse animée au siège de son parti. Ainsi, "le Maroc est empêtré dansses problèmes dans le Rif. Et vous voyezce qui se passe en Tunisie", a-t-il indiqué. Il s'attardera toutefois sur la Libye. Ne citant rien concernant ce pays, il secontentera de dire à plusieurs reprises"Qadafi, paix à son âme, paix à son âme". Allusion faite à ce qu'est advenu de ce pays après l'assassinat de son président en 2011. "Sans s'attarder sur ce qui se passe en Syrie, Y émen, ou encore en Irak", a-til encore évoqué. Il indiquera, enfin, que parmi les cinq Etats arabes appelés "Le front de résistance (Syrie, Libye, Irak, Y émen, et Algérie) : Seule l'Algérie a résisté". Les quatre autres ont été détruits dans le cadre d'un plan sioniste et impérial i s t e . "Ceux-là même qui pont créé ce qui est appelé Le printemps arabe". Cette précision se veut comme une mise au point, de la part de OuldAbbès, à ceux qui ont vu dans son appel au président de briguer un cinquièmemandat une candidature de facto. Pour rappel,Ould Abbès a toujours précisé que le"dernier mot revient au Président". Après cette mise au point à qui de droit, le patron du FLN est revenu sur le bilan duprésident en évoquant les 4 millions delogements realisés en 20 ans, les 27.000écoles, les lignes de métro et de tramway.Le règlement définitif du problème del'eau potable pour les habitants d'Oran,grâce au projet MAO (Mostaganem,Arzew, Oran) et les habitants deTamanrasset grâce au gigantesque projet detransfert sur 750 kilomètres de Aïn- Salah jusqu'à la capitale du Hoggar. Au crédit du bilan politique du présidentBouteflika, Ould Abbès met en valeur enpremier lieu "la réconciliation nationale",sa mission prioritaire, après son arrivée aupouvoir en 1999. A ce propos, OuldAbbès révélera qu'il était chargé par le président,de suivre en sa qualité de ministre de la Solidarité nationale, le dossier des repentis. Il indiquera aussi que l'ancien Président Ahmed Benbella avait joué, à la demande du Président Bouteflika, un rôle de médiateur avec les islamistes. La consécration progressive de tamazight, langue nationale, puis langue nationale et officielle et la création d'une académie sont au nombre des avancées politiques mises en valeur par OuldAbbès qui évoque, par ailleurs la promotion du rôle politique des femmes, dont le nombre est passé de 15 en 1997 à 156 femmes députés. La liberté de la presse avec 170 quotidiens, la dépénalisation du délit de presse, la liberté du culte, sont également soulignés par Ould Abbès, comme autant d'acquis de ce bilan politique. Ce dernier évoque aussi la crise de Kabylie en 2001 avec ses 126 morts, les émeutes de Kabylie qui ont pu être désamorcées"grâce à la politique clairvoyante et à la sagesse du Président Bouteflika". "La Kabylie est le bastion du patriotisme" Djamel Ould Abbès a encensé également hier la Kabylie. Lors d'une conférence de presse animée au siège du parti, Djamel OuldAbbès a évoqué la polémique enclenché autour de la Kabylie après la finale de la Coupe d'Algérie. "La Kabylie est le bastion du patriotisme", a estimé Djamel Ould Abbès, qui rappelle que 8 des 9 fondateurs de l'Etoile nord-africaine étaientkabyles. Selon le SG de l'ex-parti unique, seul Messali Hadj ne l'était pas. Il reconnait, cependant, qu'en Kabylie, il existe une "minorité séparatiste". Pourquoi l'Algérie est mieux que tous les pays arabes "Nous sommes mieux que tous les pays arabes. Et pas seulement en terme sécuritaire". C'est ce qu'a déclaré Djamel Ould Abbès, hier matin à l'issue d'une conférence de presse animée au siège de son parti. Ainsi, "le Maroc est empêtré dansses problèmes dans le Rif. Et vous voyezce qui se passe en Tunisie", a-t-il indiqué. Il s'attardera toutefois sur la Libye. Ne citant rien concernant ce pays, il secontentera de dire à plusieurs reprises"Qadafi, paix à son âme, paix à son âme". Allusion faite à ce qu'est advenu de ce pays après l'assassinat de son président en 2011. "Sans s'attarder sur ce qui se passe en Syrie, Y émen, ou encore en Irak", a-til encore évoqué. Il indiquera, enfin, que parmi les cinq Etats arabes appelés "Le front de résistance (Syrie, Libye, Irak, Y émen, et Algérie) : Seule l'Algérie a résisté". Les quatre autres ont été détruits dans le cadre d'un plan sioniste et impérial i s t e . "Ceux-là même qui pont créé ce qui est appelé Le printemps arabe".