Le secrétaire général du FLN, Djamal OuldAbbès, a présidé avant-hier jeudi une réunion élargie des membres du bureau politique (BP) et des mouhafedhs pour annoncer officiellement le dispatching des responsables du parti en charge de la supervision de l'opération des candidatures pour les locales du 23 novembre. Le secrétaire général du FLN, Djamal OuldAbbès, a présidé avant-hier jeudi une réunion élargie des membres du bureau politique (BP) et des mouhafedhs pour annoncer officiellement le dispatching des responsables du parti en charge de la supervision de l'opération des candidatures pour les locales du 23 novembre. Cette réunion aura été l'occasion pour le premier responsable du FLN de revenir, par la bande, sur le changement de gouvernement pour dire que "nous sommes contre la politique des quotas dans la répartition des postes des ministres". Une façon pour OuldAbbès de prendre les devants en prévision d'éventuelles attaques de ses adversaires dans le parti qui ne manqueraient pas de lui renvoyer à la figure les départ de Tebboune et Mahdjoub Bedda, comme des déboires du FLN, sous sa conduite. Ne tarissant pas d'éloges sur Ahmed Ouyahia, le chef du FLN le qualifie d'"homme d'Etat qui prend ses responsabilités", avant de préciser qu'il (Ouyahia) travaillera en fonction du programme présenté par Tebboune devant les députés. "Le gouvernement n'est pas un butin à partager selon des calcults étroits, ajoute le chef du FLN, nous soutenons sans réserve le choix du président Bouteflika". En s'adressant aux mouhafedhs et aux membres du BP, OuldAbbès leur rappelle qu'il "est strictement interdit d'évoquer l'échéance présidentielle de 2019". Ce qu'il se permet lui-même en expliquant que "celui qui a une ambition présidentielle, la voie est ouverte pour 2019", avant d'ajouter que "le prochain président de la République sera une figure du FLN". Ould Abbès est revenu dans son propos sur sa dernière conférence de presse pour lever l'équivoque suscitée par l'usage de la formule populaire : "Ki yzid nsemih Siid", en référence à la présidentielle de 2019. OudAbbès se défend d'avoir fait allusion à Saïd Bouteflika (sans le citer), expliquant que cet adage populaire, a plusieurs déclinaisons qui différent d'une région à une autre. Au sujet des élections locales, OuldAbbès prône la transparence et la démocratie dans le choix des candidats au cours des assemblées générales électives, mettant en garde contre la marginalisation et l'exclusion des militants. "Nous sommes le parti de l'Etat, le parti du pouvoir, nous devons donner l'exemple de transparence et de démocratie aux autres partis politiques", dit-il, mettant en garde contre la "chkara" pour le choix des candidatures. Cette réunion aura été l'occasion pour le premier responsable du FLN de revenir, par la bande, sur le changement de gouvernement pour dire que "nous sommes contre la politique des quotas dans la répartition des postes des ministres". Une façon pour OuldAbbès de prendre les devants en prévision d'éventuelles attaques de ses adversaires dans le parti qui ne manqueraient pas de lui renvoyer à la figure les départ de Tebboune et Mahdjoub Bedda, comme des déboires du FLN, sous sa conduite. Ne tarissant pas d'éloges sur Ahmed Ouyahia, le chef du FLN le qualifie d'"homme d'Etat qui prend ses responsabilités", avant de préciser qu'il (Ouyahia) travaillera en fonction du programme présenté par Tebboune devant les députés. "Le gouvernement n'est pas un butin à partager selon des calcults étroits, ajoute le chef du FLN, nous soutenons sans réserve le choix du président Bouteflika". En s'adressant aux mouhafedhs et aux membres du BP, OuldAbbès leur rappelle qu'il "est strictement interdit d'évoquer l'échéance présidentielle de 2019". Ce qu'il se permet lui-même en expliquant que "celui qui a une ambition présidentielle, la voie est ouverte pour 2019", avant d'ajouter que "le prochain président de la République sera une figure du FLN". Ould Abbès est revenu dans son propos sur sa dernière conférence de presse pour lever l'équivoque suscitée par l'usage de la formule populaire : "Ki yzid nsemih Siid", en référence à la présidentielle de 2019. OudAbbès se défend d'avoir fait allusion à Saïd Bouteflika (sans le citer), expliquant que cet adage populaire, a plusieurs déclinaisons qui différent d'une région à une autre. Au sujet des élections locales, OuldAbbès prône la transparence et la démocratie dans le choix des candidats au cours des assemblées générales électives, mettant en garde contre la marginalisation et l'exclusion des militants. "Nous sommes le parti de l'Etat, le parti du pouvoir, nous devons donner l'exemple de transparence et de démocratie aux autres partis politiques", dit-il, mettant en garde contre la "chkara" pour le choix des candidatures.