Le secrétaire général du parti FLN Djamel Ould Abbès semble contrarié par certains noms de "présidentiables" apparentés ou qui seréclament de l'ex-parti uniquepour leur serviréventuellement de rampe de lancement pour la présidentielle de 2019. Le secrétaire général du parti FLN Djamel Ould Abbès semble contrarié par certains noms de "présidentiables" apparentés ou qui seréclament de l'ex-parti uniquepour leur serviréventuellement de rampe de lancement pour la présidentielle de 2019. C'est du moins le coup de gueule,qu'il a poussé ce matin lors d'un point de presse en marge de sa rencontreavec les ouhafedh et les présidents descommissions permanentes à l'hôtel lesSables d'or . «Tout le monde a le droit d'avoir de l'ambition mais il est interdit d'être cupide... Le FLN ne se vend ni ne s'achète», s'écrie Ould Abbès visiblement gêné des bruits qui courent sur la possibilitéde voir d'anciens cadres du parti se présentersous son parapluie protecteur.Bien qu'il se soit gardé de citer des noms, le secrétaire général du parti majoritaire a évoqué des « milieux qui tente d'exploiter politiquement le parti en prévision des prochaines élections présidentielles».Il n'a d'ailleurs pas manqué de réitérer l'allégeancedu FLN au président de laRépublique qu'il a qualifié d'« homme des miracles qui ne parle pas beaucoup mais quiintervient dès qu'il y a blocage ». OuldAbbès a rappelé la fameuse tension surle sucre et l'huile en 2011, la crise enKabylie et récemment le conflit entre le Cnapeste et le ministère de l'Education.Ces déclarations récurrentes du patron duparti majoritaire prouvent en tout cas qu'ilest dans une position pas très confortable du fait qu'il ne sait pas trop si le présidentBouteflika est tenté ou pas par un 5èmemandat. Il renvoie un peu l'écho à d'anciensPremiers ministres et autres personnalitésnationales citées dans la presse comme étant de sérieux prétendants à défendre les couleursdu « pouvoir » avec le soutien bien sûr du FLN. On évoque notamment l'inévitable Mouloud Hamrouche et Ali Benflis. Opération déminage Djamel OudAbbès a réuni, ainsi hier à l'hôtel ''Sables d'Or'' d'Alger, les ouhafedh et les secrétaires des commissions permanentes pour débattre de la situation organique du parti, dans un climat de tension provoquépar la traduction de membres du CC devantla commission de discipline et le renvoisine die de la session du Comité central.Dans son intervention devant la presse, Ould Abbès a indiqué que les structures debase ont achevé le travail de bilan dont elleavaient été chargées pour mettre en valeur l'action du président Bouteflika, depuis son arrivée au pouvoir en 1999. « Ces rapports sont prêts, ils serviront debase pour l'élaboration d'un document global qui sera remis au président Bouteflika,après son actualisation et ceux qui posentdes questions sur les 1.000 milliards de dollarsy trouveront les réponses à leurs interrogations», dit OuldAbbès qui fait un large survol des secteurs qui ont bénéficié des investissements, citant les écoles, les stades, les hôpitaux, les barrages, l'électrification. Le chef du FLN, multipliant les hommages à son égard, qualifie le présidentBouteflika de « l'homme, des miracles », mettant en relief son "flair politique" qui a permis des dégoupiller des tensions qui ont émaillé ses quatre mandats. Il cite, entre autre, la crise de la Kabylie en 2001, le «Printemps arabe », la promotion politique de la femme avec l'amendement de la Constitution qui permet aujourd'hui pas moins de 155 femmes à l'APN.« Le président Bouteflika suit tous lesdossiers dans le moindre détail, il faitconfiance à ses collaborateurs, mais quandces derniers n'y arrivent pas, il intervient personnellement pourtrancher », fait valoir OudAbbès qui cite àce sujet l'intervention du Président dans le réglement de la crise de l'Education, précisant à ce propos que « le FLN a fait lemédiateur sur instruction du président Bouteflika », sou igne OudAbbès C'est du moins le coup de gueule,qu'il a poussé ce matin lors d'un point de presse en marge de sa rencontreavec les ouhafedh et les présidents descommissions permanentes à l'hôtel lesSables d'or . «Tout le monde a le droit d'avoir de l'ambition mais il est interdit d'être cupide... Le FLN ne se vend ni ne s'achète», s'écrie Ould Abbès visiblement gêné des bruits qui courent sur la possibilitéde voir d'anciens cadres du parti se présentersous son parapluie protecteur.Bien qu'il se soit gardé de citer des noms, le secrétaire général du parti majoritaire a évoqué des « milieux qui tente d'exploiter politiquement le parti en prévision des prochaines élections présidentielles».Il n'a d'ailleurs pas manqué de réitérer l'allégeancedu FLN au président de laRépublique qu'il a qualifié d'« homme des miracles qui ne parle pas beaucoup mais quiintervient dès qu'il y a blocage ». OuldAbbès a rappelé la fameuse tension surle sucre et l'huile en 2011, la crise enKabylie et récemment le conflit entre le Cnapeste et le ministère de l'Education.Ces déclarations récurrentes du patron duparti majoritaire prouvent en tout cas qu'ilest dans une position pas très confortable du fait qu'il ne sait pas trop si le présidentBouteflika est tenté ou pas par un 5èmemandat. Il renvoie un peu l'écho à d'anciensPremiers ministres et autres personnalitésnationales citées dans la presse comme étant de sérieux prétendants à défendre les couleursdu « pouvoir » avec le soutien bien sûr du FLN. On évoque notamment l'inévitable Mouloud Hamrouche et Ali Benflis. Opération déminage Djamel OudAbbès a réuni, ainsi hier à l'hôtel ''Sables d'Or'' d'Alger, les ouhafedh et les secrétaires des commissions permanentes pour débattre de la situation organique du parti, dans un climat de tension provoquépar la traduction de membres du CC devantla commission de discipline et le renvoisine die de la session du Comité central.Dans son intervention devant la presse, Ould Abbès a indiqué que les structures debase ont achevé le travail de bilan dont elleavaient été chargées pour mettre en valeur l'action du président Bouteflika, depuis son arrivée au pouvoir en 1999. « Ces rapports sont prêts, ils serviront debase pour l'élaboration d'un document global qui sera remis au président Bouteflika,après son actualisation et ceux qui posentdes questions sur les 1.000 milliards de dollarsy trouveront les réponses à leurs interrogations», dit OuldAbbès qui fait un large survol des secteurs qui ont bénéficié des investissements, citant les écoles, les stades, les hôpitaux, les barrages, l'électrification. Le chef du FLN, multipliant les hommages à son égard, qualifie le présidentBouteflika de « l'homme, des miracles », mettant en relief son "flair politique" qui a permis des dégoupiller des tensions qui ont émaillé ses quatre mandats. Il cite, entre autre, la crise de la Kabylie en 2001, le «Printemps arabe », la promotion politique de la femme avec l'amendement de la Constitution qui permet aujourd'hui pas moins de 155 femmes à l'APN.« Le président Bouteflika suit tous lesdossiers dans le moindre détail, il faitconfiance à ses collaborateurs, mais quandces derniers n'y arrivent pas, il intervient personnellement pourtrancher », fait valoir OudAbbès qui cite àce sujet l'intervention du Président dans le réglement de la crise de l'Education, précisant à ce propos que « le FLN a fait lemédiateur sur instruction du président Bouteflika », sou igne OudAbbès