Le rendez-vous entre le Portugal et l'Algérie, disputé avant-hier à Lisbonne, ressemblait beaucoup à une rencontre entre des "maîtres" et leurs élèves. Le rendez-vous entre le Portugal et l'Algérie, disputé avant-hier à Lisbonne, ressemblait beaucoup à une rencontre entre des "maîtres" et leurs élèves. Un énième échec de l'équipe nationale qui confirme une nouvellefois les déboires du footballnational depuis l'an 2014, lorsqueles Verts se sont offert un huitième definale historique de la Coupe du monde en terre brésilienne. "Avant 'était mieux", confirme le défenseur Carl Medjani qui fait allusion à l'ère Halilhodzic où il y avait un bon équilibre technique. Le joueur reconnaît la grandeur de l'adversaire et confirme que leur équipe se cherche toujours. Alors que l'Algérie est considérée comme étant une nation moyenne entermes de football, certaines personnes vendent l'image d'un sérieux prétendant pour dominer le continent. Ils chauffent les esprits et alimentent "malheureusement" des ambitions démesurées. Au fur et à mesure que l'équipe avance dans le temps, leschoses se compliquent davantage. La prestation des coéquipiers de Brahimi contre le Cap Vert et le Portugal laisse à désirer. Après un peu plus de huit mois, puisqu'il a été installé en octobre dernier,n Rabah Madjer n'a rien pu changer dans cette équipe qui est sur une courbe descendante. L'instance fédérale, premier responsable du sport, dit roi, en Algérie, ne peu plus continuer à financer l'échec. Des sommes faramineuses sont dépensées à tous les niveaux sans pour autant qu'il y ait une quelconque amélioration. Après avoir défendu son entraîneur, Kheïredine Zetchi, avoue qu'un bilan sera établi après ce match contre le Portugal pour évaluer le parcours de cette équipe pendant la période préparatoire. Les bilans sont négatifs et une décision sera prise dans les toutes prochaines heures avant même la tenue de la prochaine réunion du bureau fédéral, le 24 juin prochain. Arrivé à la tête de la sélection en octobre dernier en remplacement de l'Espagnol Lucas Alcaraz, Madjer estloin de faire l'unanimité, alors qu'il reste sur trois défaites de rang, dont une concédée avec l'équipe A', composée de joueurs locaux, le 9 mai à Cadix face à l'Arabie saoudite.Madjer, dont l'objectif assigné est d'atteindre le dernier carré de la prochaine CAN-2019 au Cameroun, a indiqué à maintes reprises qu'il ne démissionnera pas de son poste, sachant pertinemment bien que son avenir, de même que celui de ses adjoints, est incertain à la tête des Verts. Des milliards ont été déboursés par l'instance fédérale ainsi que les pouvoirs publics pour qu'au final, le onze national montre un niveau aussi bas. Même sur le plan individuel, rien n'a été démontré sur le terrain. Et pourtant, certains joueurs étaient présents au Brésil en 2014. L'on parle beaucoup et on insiste même sur l'importance des petites catégories qui doivent constituer un vivier pour l'équipe première, tandis que la France forme les joueurs de l'équipe nationale. La Fédération algérienne de football est attendue à prendre des mesures qui s'imposent sur tous les plans pour espérer remettre les choses sur rail. L'instance fédérale est appelée aussi à revoir sa copie et préparer la relève. Certains joueurs ne peuvent plus rien donner à l'équipe qui s'apprête à renouer avec les qualifications de la Coupe d'Afrique des nations 2019, en affrontant en septembre prochain à Banjul la Gambie. Un énième échec de l'équipe nationale qui confirme une nouvellefois les déboires du footballnational depuis l'an 2014, lorsqueles Verts se sont offert un huitième definale historique de la Coupe du monde en terre brésilienne. "Avant 'était mieux", confirme le défenseur Carl Medjani qui fait allusion à l'ère Halilhodzic où il y avait un bon équilibre technique. Le joueur reconnaît la grandeur de l'adversaire et confirme que leur équipe se cherche toujours. Alors que l'Algérie est considérée comme étant une nation moyenne entermes de football, certaines personnes vendent l'image d'un sérieux prétendant pour dominer le continent. Ils chauffent les esprits et alimentent "malheureusement" des ambitions démesurées. Au fur et à mesure que l'équipe avance dans le temps, leschoses se compliquent davantage. La prestation des coéquipiers de Brahimi contre le Cap Vert et le Portugal laisse à désirer. Après un peu plus de huit mois, puisqu'il a été installé en octobre dernier,n Rabah Madjer n'a rien pu changer dans cette équipe qui est sur une courbe descendante. L'instance fédérale, premier responsable du sport, dit roi, en Algérie, ne peu plus continuer à financer l'échec. Des sommes faramineuses sont dépensées à tous les niveaux sans pour autant qu'il y ait une quelconque amélioration. Après avoir défendu son entraîneur, Kheïredine Zetchi, avoue qu'un bilan sera établi après ce match contre le Portugal pour évaluer le parcours de cette équipe pendant la période préparatoire. Les bilans sont négatifs et une décision sera prise dans les toutes prochaines heures avant même la tenue de la prochaine réunion du bureau fédéral, le 24 juin prochain. Arrivé à la tête de la sélection en octobre dernier en remplacement de l'Espagnol Lucas Alcaraz, Madjer estloin de faire l'unanimité, alors qu'il reste sur trois défaites de rang, dont une concédée avec l'équipe A', composée de joueurs locaux, le 9 mai à Cadix face à l'Arabie saoudite.Madjer, dont l'objectif assigné est d'atteindre le dernier carré de la prochaine CAN-2019 au Cameroun, a indiqué à maintes reprises qu'il ne démissionnera pas de son poste, sachant pertinemment bien que son avenir, de même que celui de ses adjoints, est incertain à la tête des Verts. Des milliards ont été déboursés par l'instance fédérale ainsi que les pouvoirs publics pour qu'au final, le onze national montre un niveau aussi bas. Même sur le plan individuel, rien n'a été démontré sur le terrain. Et pourtant, certains joueurs étaient présents au Brésil en 2014. L'on parle beaucoup et on insiste même sur l'importance des petites catégories qui doivent constituer un vivier pour l'équipe première, tandis que la France forme les joueurs de l'équipe nationale. La Fédération algérienne de football est attendue à prendre des mesures qui s'imposent sur tous les plans pour espérer remettre les choses sur rail. L'instance fédérale est appelée aussi à revoir sa copie et préparer la relève. Certains joueurs ne peuvent plus rien donner à l'équipe qui s'apprête à renouer avec les qualifications de la Coupe d'Afrique des nations 2019, en affrontant en septembre prochain à Banjul la Gambie.